Histoires

Mardi 18 avril 2 18 /04 /Avr 11:56

Salut ami Gay

J'espère que le long week-end de Pâques s'est bien passé pour toi et que tu es en pleine forem pour recommencer une nouvelle semaine. A moins que tu ne sois encore en congé.

Tout d'abord, je remercie tous ceux qui ont déposé un petit message dans les commentaires et ceux qui m'ont envoyé un petit mail pour souhaiter de joyeuses Pâques. C'est très sympa.

Aujourd'hui, en Belgique, c'est la reprise des cours, une bonne occasion pour te proposer cette histoire qui m'a été envoyée par Philippe, un ami visiteur que je remercie beaucoup.

Mes branles d'ado.
Je me souviens au collège, je bandais tout le temps. Toutes le occaz étaient bonnes pour me donner la trique : le regard d'un copain de classe, les pages sousvêtements du catalogue de la Redoute (j'en ai passé des heures à la feuilleter), les mecs sur la plage, les statuts dénudées dans les musées, les vestaires de sport... Et même sans aucun motif : tout les matins au réveil je sentais ma queue lourde et gonflée bien chaude sur mon ventre.
J'aimais me réveiller ainsi avec la bonne gaule du matin. Bander c'est très bien, et j'aimais rester longtemps avec cette excitation et mes couilles bouillonnantes ; mais forcément cela appelle à se soulager. Et je reconnais que je pratiquais la masturb sans modération: j'en ai arrosé des pages du catalogue de la redoute, j'ai éjaculer plus d'une fois des culottes de pyjama. J'adorais me branler en pensant aux mecs croisés la veille. Et j'en croisait tellement que j'étais obligé de me branler plusieurs fois par jour, 3 fois était le nombre minimum. Déjà obligatoirement avec la trique du réveil, j'étais obligé de me branler sous la douche. Les va et vient étaient facilités par l'eau et le gel douche : de plus la mousse m'a toujours fait triquer comme un âne :ce qui rendait donc la branle obligatoire. Dans les chiottes du collège c'était également un lieu habituel, et à entendre les gémissements dans les cabines voisines je n'était pas le seul, le soir avant de m'endormir quand je pensais à tous les beaux males avec qui j'aimerais faire l'amour : c'est fou comme un puceau peut être audacieux dans ses rêves. Au fil des mois je devenais un as de la branle, avec la main droite ou la gauche, avec de la crème pour mieux faire glisser, vite, doucement, accélerer, retarder le moment de l'éjac le plus tard, possible, lacher un maximum de purée et recommencer illico. Mais le meilleur, c'était les vestiaires du cours de sport. Pouvoir admirer et matter le corps de mes petits camarades, regarder et comparer le contenu de leur slip et de leur caleçon. J'évitais la douche, because gel douche = trique assurée. Et à l'époque j'étais trop timide pour bander ouvertement devant mes petits camarades même si je me rendis compte que je devenais de plus en plus exhib. Mais rien qu'à matter je bandais; et avec mon côté exhib qui commençait à s'affirmer, à travers mon caleçon on pouvait le voir assez facilement. Et certains potes me regardais le paquet furtivement; mais je préférais me dépécher de m'habiller pour pouvoir aller me branler dans les chiottes du vestiaire en pensant au corps de ces jeunes males. Puis vient mon entrée en 3ième, et là à la rentrée, je découvre mon nouveau prof de sport : 28 ans, brun, cheveux courts, corps d'hatlète forcément, son tee-shirt laissant dépasser des poils de sa poitrine. Je flashe immédiatement : je n'ai plus besoin de chercher très loin à qui penser pour me branler. Je m'aperçois vite que de son bureau il pouvait voir les vestiaires. Je prends donc l'habitude d'y rester le dernier (le cours de sport était le dernier de la journée ce qui était bien pratique). Je me mets toujours dans le coin qui donne directement dans son axe. Et comme je deviens de plus en pls exhib, je n'hésite pas à rester longtemps torse nu, ou en boxer qui moule souvent ma trique. j'ai l'impression que souvent il m'oberve voire me matte. Mais je
prends sans doute mes désirs pour la réalité ; je risque plutôt de prendre une réflexion. Mais je me rends compte que je ne fais plus petit garçon, j'ai beaucoup grandi et le sport ma bien musclé : je fais maintenant 1,88 m, mon corps est bien déssiné : je fais moins enfant que mes petits camarades.
Je me trouve pas mal et pas mal de mes petits camarades aussi vu comment ils me mattent. Et un jour, alors que je suis le dernier dans le vestaire, uniquement en caleçon, je vois le prof qui arrive en short torse nu avec un serviette sur l'épaule. Il se place sur le banc en face de moi en souriant.
Il me tourne le dos, je découvre alors qu'il est tatoué dans lebas du dos. Il enlève son short et son slip. Son corps est parfait tablettes de chocolat, beaux pec. Et il se dirige direct sous la douche. c'est sans doute ma chance. J'enlève mon caleçon et vais sous la douche égaement pas loin de lui. Là je matte encore son corps dégoulinant de mousse. Ah la mousse, la mousse, je sens ma queue qui commence à bander. Il est clair que je ne peux pas le cacher. Alors je préfère lui faire face, de plus en plusexhib je vous disais. Et là il me dit : "Et bien Philippe, qu'est-ce qui t'arrive, un grand garçon comme toi". Je me sens très mal je voudrais disparaitre et si je m'étais trompé. - "Oui, un grand garçon comme toi, qui bande un max parce qu'il a vu un autre mec" je suis de plus en plus mal - "mais l'autre mec ne va pas te laisser dans cet état". Il s'avance se met à genou et me pompe à fond. Je sens sa bouche chaude sur mon gland sa langue adroite et experte me fait monter au 7oème ciel, ses mains me carresse mes couilles. Même dans mes rêves je ne pensais pas que cela puisse être aussi bon. Tellement excité je
jouis assez vite, il avale, s'arrose le torse. Il me sourit, il me dit
  -aller rentre c'est bien pour une première fois.
Je rentre me rebranle à nouveau en pensant aux prochaines fois et en me répétant "je ne suis plus puceau". Benjamin ne serait plus seulement mon prof de sport mais également mon prof de sexe. Aujourd'hui en te racontant cette histoire je rebande à nouveau, comme lorsque je regarde  toujours les pages des mecsdu catalogue de la Redoute. Quoi les choses n'ont pas tellement changé, et come
d'habitude quand je bande il faut que j'aille me branler, ce que je vais faire de ce pas.

Je trouve que cette histoire est très excitante et je suis sûr que Philippe n'est pas le seul à se branler en y repensant.

Pour se remettre dans l'ambiance des cours de masturbation, voici une petite démonstration donnée par un jeune asiatique. Tu peux bien sûr faire l'excercice avec lui, à moins que tu ne te sois déjà vidé en lisant l'histoire de Philippe.

Clique ici pour voir la vidéo.

Bonne semaine et

A la prochaine

Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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