Histoires

Jeudi 24 août 4 24 /08 /Août 00:28

Hello, ami du blog,

Il y a des jours où tu es vraiment génial.

Je n'en reviens pas de tous les commentaires qui ont été faits, en particulier mercredi. C'était très chaud et particulièrement convivial, avec quelques bouts d'histoires à faire bander un mort. Ces petits messages ont mis une belle ambiance dans le blog et j'en suis particulièrement heureux. C'est un peu ce que je souhaitais lorsque je t'ai invité à mettre des petits messages à l'intention des autres visiteurs sur le blog au même moment que toi. Le petit dialogue entre Julien et Chozizi m'a beaucoup plu. Par ailleurs, j'attends avec impatience la suite de la petite histoire de Julien avec son père. Il dit me l'avoir envoyée mais je n'ai rien reçu. Enfin, il n'est pas trop tard, il peut toujours me contacter en cliquant ici. Bien entendu, cette adresse ne lui est pas réservée... J'ai reçu cette semaine une histoire envoyée par un visiteur qui raconte ses aventures avec son cousin. Je la mettrai en ligne dans quelques jours.

Pourquoi n'irait-on pas un peu plus loin ? Une petite idée m'est venue aujourd'hui : faire une rubrique 'Annonces et contacts'. Chacun pourrait y ajouter un 'commentaire' disant ce qu'il cherche, un coin drague en quelques sortes. J'aimerais que tu me donnes ton avis sur ce point en ajoutant un commentaire ici en dessous.

Un seul être vous manque et tout est dépeuplé... Je n'étais pas bien du tout en ce début de semaine. J'ai beaucoup tourné en rond, j'avoue sincèrement que mon Petit Coeur me manque et, d'après les sms qu'il envoie, ce n'est guère mieux pour lui.

Maintenant, ça va un peu mieux. Je me suis remis au travail. Ce mercredi, je suis allé faire du jardinage chez mon vieux prof émérite, le temps n'était pas trop mauvais ; il ne pleuvait pas et il ne faisait pas trop chaud. Ca s'est donc bien passé. En travaillant, j'ai pensé à la BA des scouts, bien que les conditions n'étaient pas du tout les mêmes. Enfin je dois avouer que mon petit vieux est très sympa et encore vif d'esprit. Nous avons eu une longue discussion sur mon sujet de mémoire, il m'a donné quelques pistes très intéressantes. Il m'a aussi proposé une supervision 'non officielle'. Comme il a encore des contacts réguliers avec mon prof, je crois que je serais mal inspiré de ne pas prendre sa proposition au sérieux. Je suis retourné chez lui ce jeudi mais le temps n'était pas aussi beau. Avec la pluie, j'étais trempé jusqu'aux os, si bien que je me suis retrouvé à poils, avec une sortie de bain que le vieux m'a passé, pendant que mes vêtements tournaient dans le sèche linge.

Je me suis aussi trouvé un autre boulot mais pas pour longtemps. Il s'agit de donner quelques cours particuliers à un jeune voisin qui a un examen de seconde session vendredi prochain. Pas mal, le gars, je vais devoir faire attention ; il ne faudrait pas qu'entre les dérivées et les intégrales les séances dérivent en nu intégral. 

Puisque tu aimes beaucoup cette aventure, je te livre la suite et la fin du 'camps scout' publiée par Philippe sur le site 'Textes Gays'.

Au réveil les gars de la patrouille étaient encore tout heureux d?avoir passé une très bonne journée « BA ». Nous en parlions comme si nous avions vécu un rêve, comme si ça n?avait pas été réel. Bref nous conservions chacun un très bon souvenir de cette journée. Certains semblaient dire que c?était la meilleure journée du camp. Pour moi, je savais que c?était le meilleur camp auquel j?ai participé. J?avais vécu tellement de moments de grandes intensités que ce camp resterait déjà pour moi un souvenir impérissable.
Aujourd?hui c?est la journée olympiade. C?est le jour où les patrouilles peuvent se mesurer et voir laquelle est la plus forte en sport. Nous avons participé à dix épreuves. Pour commencer nous avons couru le 100 mètres, puis le saut en hauteur, le lancé du poids, le parcours d?obstacles, le saut en longueur, la course du tronc (il s?agit d?une course relais dans laquelle il faut porter un tronc d?arbre de 2 mètres de long sur une distance de 15 mètres et le remettre à son coéquipier qui à son tour parcours les 15 mètres et ainsi de suite jusqu?au moment où les six membres de la patrouille sont passés deux fois), le ramping, la natation, la traction à la corde et pour conclure le cross sur environ six kilomètres. A l?issue de cette journée nous étions très contents d?être second à trois points seulement de la première patrouille. Les gars de la patrouille se sont très bien comportés et nous n?avons pas à rougir de notre seconde place. Bien sûr nous aurions pu être premiers, mais en fin de compte, ce n?était qu?un jeu.
Après le cross, nous avons été nous laver à la rivière. Nous avons été retrouvé notre petit coin à l?abri des regards, dans la courbe que fait la rivière à proximité du camp. Sans aucune pudeur nous nous sommes déshabillés, nous étions à nouveau six, nus et content d?être entre nous. Nous avions pris l?habitude d?être nus et de nous voir ainsi l?un l?autre. Nous étions tous des ados qui vivaient ensemble une belle aventure. C?était devenu également une habitude de nous laver l?un l?autre. Henri me lavait et ensuite c?est moi qui lavais Henri. Marc et Philippe faisaient de même, ainsi que Jean et Roland. Nous étions tous en érection, et c?était aussi le moment des caresses et des baisers. Henri était face à moi et prit l?initiative. Il avait posé sa main sur mon sexe déjà à la verticale et il me masturbait voluptueusement avec une main tandis que l?autre main caressait mes fesses. Il avait fait de réels progrès, il avait compris comment donner du plaisir à un garçon, comment se faire désirer aussi. Il avait toujours son air angélique et ses yeux pétillants, il semblait vivre intensément chaque moment, chaque instant. Les mouvements de va et vient le long de mon pénis tendu se faisaient parfois lents, parfois rapides, la pression exercée par la main était changeante, cela procurait un plaisir un peu plus subtil. Je me suis approché de son visage, j?ai posé mes lèvres sur les siennes, doucement. Henri a voulu ouvrir la bouche pour inviter ma langue à aller titiller la sienne, mais je ma suis reculé, j?ai reculé mes lèvres. Il m?a regardé, il avait l?air de se demander pourquoi je ne le laissais pas faire. Il me regardait intensément avec une lueur particulière dans les yeux. Après un petit moment, j?ai reposé mes lèvres sur les siennes doucement, je lui ai donné une série de petits baisers sur les lèvres et petit à petit les baisers se faisaient de plus en plus fougueux. J?y allais crescendo, puis nous avons ouvert nos bouches et nos langues se sont trouvées. Elles se roulaient et se déroulaient dans nos bouches, elles se cherchaient, elles s?écartaient pour revenir ensuite. Je retrouvais cette lueur d?extase dans les yeux d?Henri, cette lueur candide que j?étais habitué à voir dans ses yeux. Nos salives se mêlaient, nos sexes étaient de plus en plus gros. Henri continuait à me masturber, moi je me suis mis à caresser son pénis doucement, lentement, avec des mouvements de va et vient très subtils, décalottant doucement à chaque passage le gland violet d?Henri. Henri de son côté s?appliquait pour me faire plaisir. Effectivement ses caresses me procuraient beaucoup de plaisir, je sentais la sève monter en moi, je savais que j?allais bientôt arriver à l?éjaculation. J?ai demandé à Henri d?y aller plus doucement, de ne pas y aller trop vite et de me faire durer encore un peu de temps. De mon côte je m?appliquais à donner de plaisir à Henri, je sentais à sa respiration que le plaisir montait aussi chez lui, je sentais que lui aussi n?étais pas loin d?arriver à l?éjaculation. Je sentais que nous allions bientôt jouir ensemble, je me suis rapproché de lui, je me suis collé à lui, nos sexes se sont rejoints, ils étaient collés l?un à l?autre et nos deux mains se sont unies pour masturber nos deux sexes réunis. Nous avions pris le même rythme, nous exercions la même pression, nous étions à l?unisson, nous vivions intensément ce moment, nous étions au bord de l?extase, nous sentions ce que l?autre ressentait aussi au même moment, à la même seconde. Nos deux corps se sont raidis et ensuite ils ont été pris de spasmes, nous nous sommes laissés aller et nous avons enfin joui ensemble, nos spermes se sont libérés en jets qui sont retombés sur nos doigts et nos mains. Nous avons encore échangé un long baiser avant de nous relaver mutuellement.
Le lendemain matin, avant le lever, alors que j?étais le seul à être réveillé, je me suis rapproché du sac de couchage d?Henri. Comme toutes les nuits nous dormions tous à poil, nus comme des vers, nous en avions pris l?habitude. Je regardais Henri qui dormait, je voyais son visage de jeune ado avec ce petit duvet qui naissait sous son nez, je pouvais presque deviner son sourire angélique. Je suis resté de longues minutes à observer Henri, a écouter sa respiration régulière, à rêver de ce que nous ferions après le camp. Je me posais un tas de questions, aurions-nous encore le temps de nous voir ?, où habitait-il ?, avait-il des frères ou des s?urs ?, quelle sera sa réaction si je lui avoue que je suis fou de lui ? comment pouvais-je être tombé amoureux d?un garçon comme Henri ? Bref je suis sorti de ma rêverie car Henri commençait à se retourner, signe qu?il allait bientôt se réveiller. C?est ce moment là que j?ai choisi, alors qu?il était tourné vers moi, pour passer ma main dans l?ouverture de son sac de couchage. Je sentais la chaleur qui se dégageait du corps d?Henri, cette chaleur caractéristique au bout d?une nuit. J?ai pris peur, je me demandais si ma main n?allait pas le réveiller en sursaut, je croyais qu?elle était trop froide. Je me suis quand même mis à caresser son bras, son épaule. Je suis descendu le long de son torse, je sentais qu?il allait se réveiller. J?étais rassuré, ma main n?était pas trop froide, mon audace m?avait également donné chaud. Je me suis ensuite dirigé vers ses jambes, je remontais le long de ses cuisses, attendant avant de lui casser l?entre jambe, je suis redescendu vers ses mollets pour remonter vers ses cuisses et puis ma main s?est glissée dans son entre jambe, elle est remontée vers ses bourses, et puis elle a rencontré son pénis déjà tendu. J?ai alors pu me rendre compte qu?Henri n?était pas insensible à mes caresses. Ma main s?est posée sur son sexe bandé et s?est mise à le caresser ; d?abord doucement et puis mes doigts se son serrés sur ce pénis en érection et je me suis mis à faire des mouvements de va et vient. Henri a ouvert les yeux et m?a souri, ce même sourire angélique que je retrouvais, ce sourire qui m?avait fait craquer pour lui. J?ai su qu?il aimait mes caresses, j?ai su qu?il m?aimait. Nous nous sommes encore rapprochés et Henri s?est occupé de mon sexe qui ne demandait que ça. Nous nous sommes masturbés divinement, essayant de donner le maximum de plaisir à l?autre, essayant d?être le plus doux possible. Nos bouches se sont rapprochées, nos lèvres se sont ouvertes et nos langues se sont cherchées, se sont trouvées, se sont titillées. Nos mains étaient occupées à prodiguer mille caresses, nos corps étaient collés l?un à l?autre, nous étions au nirvana. Nous faisions attention de ne pas réveiller les autres qui dormaient encore. Les doigts agiles d?Henri parcouraient ma hampe dressée, et le bout de ses doigts titillait à chaque passage le gland de mon sexe qui me brûlait de plaisir. Je continuais à masturber le pénis d?Henri avec volupté, je sentais que sa respiration s?accélérait, se sentais que les battements de son c?ur tout contre mon torse, Henri cherchait sa respiration, il était au bord de l?éjaculation ; moi-même je n?en étais pas loin, je prenais du plaisir à procurer du plaisir. Puis dans un râle contenu, nous avons déchargé presque en même temps. Henri s?est approché de moi et m?a dit à l?oreille « je t?aime ». C?était la première fois qu?un garçon me disait ça, je lui ai répondu doucement à l?oreille « moi aussi ». Je me mis à repenser aux pensées qui m?avaient traversé l?esprit avant de réveiller Henri. Je crois qu?Henri a senti mon trouble, il m?a souri. Nous nous sommes recouchés et nous avons encore dormi une bonne heure.
Le moment tant redouté est arrivé, c?est la fin du camp. Nous avions rangé tout le matériel, tout était dans le camion. Nous, les scouts nous devions prendre le train pour rentrer chez nous. Le voyage m?a semblé long, je ne savais que dire à Henri qui avait pris place à côté de moi sur la banquette du compartiment. Au bout de deux heures nous étions arrivés à destination. Nos parents nous attendaient sur le quai de la gare. Nous prenions nos sacs à dos pour rejoindre notre famille. Nous racontions nos activités (pas toutes évidemment) avec fébrilité. Au moment de quitter la gare, Henri est venu vers moi. Il avait un bout de papier et un crayon en main. Il m?a demandé d?y inscrire mon adresse et mon numéro de téléphone. Ce que je fis, me disant "il veut me revoir". Je lui ai demandé aussi son adresse et son numéro de téléphone. Puis pour prendre congé l?un de l?autre, nous nous sommes serrés la main d?une façon étrange, nous avions difficile à nous séparer. Nous ne pouvions faire autrement devant nos parents. Nous aurions bien voulu échanger un baiser, mais ce n?était pas possible. Il me restait l?espoir de revoir Henri, je pensais le revoir dans quelques jours le temps de laisser le temps faire son ?uvre. Henri penserait-il encore à moi dans quelques jours ? Quelle sera mon attitude envers Henri après quelques jours sans le voir ?
Le soir dans mon lit, je me suis mis à penser à Henri et je me suis masturbé en ayant son visage en tête.

La série de photos du séduisant Junior se termine aussi. Aujourd'hui, il participe activement au Spermathon en offrant une belle giclée pour l'Association SOS. Alors n'hésite pas à faire comme lui en allant à la page consacrée à la recolte des dons.

Pour le Mecamater, le vote n'est pas terminé. Je rappelle que le lauréat doit obtenir un minimum de 50 voix. On en est encore loin !  J'espère pourtant que le vainqueur pourra faire son show avant la fin du mois.

Enfin, si tu ne l'a pas encore fait, je t'invite à t'inscrire sur le site Interlacciatiitalia pour avoir accès à la vidéo (bon le début est un peu lent, mais après ça s'active).

A la prochaine

Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés