Pip Moustache - Masturbateur Gay

Ami du sexe entre hommes et de la branle,

je te salue chaudement.

Aujourd'hui, je t'ai sélectionné une histoire très chaude de derrière les fagots dont tu me diras des nouvelles. Réalité ou fantasme ?

Je suis Aziz, kabyle, 24 ans, 1,79 m, 72 kg, une grosse queue de 22 centimètres dans la culotte, épaisse, oblongue, circoncise.
Je suis fin et souple, muscles bien dessinés, brun, mat imberbe, bi, viril, peau foncée, beau gosse d'après tout le monde.
Pas con non plus, j'ai fait des études, la preuve je sais écrire, j'ai un vrai boulot mais j'adore faire des plans très putes et très exhibs quand j'en ai l'occasion.
Ainsi, assez souvent, le jeudi soir, je me produis dans un des rares bars gay de la rive Gauche.
Je fais le hard stripper, c'est-à-dire le strip-teaseur totalement nu et disponible à certaines sollicitations du public.
Etrange public, à vrai dire. J'ai toujours été frappé et pour tout dire affligé par le nombre de gens qui viennent là en sachant pertinemment qu'ils y verront du strip-tease mais ne le regardent pas et continuent à parler entre eux, comme si je n'existais pas.
Ce n'est pourtant pas faute d'être beau et excitant, dit-on, et d'en faire beaucoup : je suis le plus exhib et salope des strip-teaseurs de la boîte, au dire des gérants.
D'autres spectateurs, au contraire et heureusement, s'intéressent à moi ; c'est le moins qu'on puisse dire. Regards fouillant mon corps, j'adore ça, caresses, mains au paquet, doigts dans mon cul et bouches sur ma queue quand je leur en donne l'occasion.
Et je leur donne souvent, à la fin de mes trois passages, entre 1heure et deux heures et demie du matin.
Au premier round, en ce moment, car j'ai eu plusieurs « chorégraphies » selon les époques, j'entre à peu près habillé et monte danser sur le bar, en vraie racaille de banlieue, sur fond de rap musical : casquette noire, baskets bleus, survêt blanc, débardeur rouge. Ca flashe, y compris dans les yeux des voyeurs qui s'entassent à mes pieds. Certains sont bien tels qu'on les imagine : des vieux, cochons, moches, heureux du spectacle inespéré de voir un jeune et beau beur très bien monté se mettre nu et se laisser toucher. Mais il y a aussi, on l'imagine moins, toutes sortes d'autres gens dans les mateurs : des jeunes, des beaux, qui ne sont pas les derniers à tripoter leur braguette en me matant, même à sortir leurs queues à mon troisième passage quand je m'offre à tous.
Après avoir retiré le plus lascivement possible le débardeur et le survêt, je finis le premier passage en mini slip ; tripotant ma grosse queue, qui a gonflé, à l'intérieur, la faisant saillir à travers le nylon rouge, laissant parfois dépasser mon gros gland brun circoncis ou me rentrant le slip entre les fesses pour les écarter en m'abaissant, afin que les premières mains baladeuses puissent venir toucher mon cul, mes couilles, mon zob.
Puis, en général, je sors rapidement, avant que ça ne dégénère, peloté au passage en traversant la foule des mateurs pour rentrer dans le petit débarras qui sert de loge aux trois « artistes » qui se succèdent chaque jeudi soir.
C'est à ce moment là, souvent, d'ailleurs, que des types m'arrêtent, me remettent des petits papiers avec leur numéro de téléphone ou me demandent de revenir les voir pour me proposer de les baiser, de me baiser, ou des exhibitions de toutes sortes avec eux ou leurs amis.
Souvent, certains veulent me suivre dans la loge pour partouzer avec moi et mes collègues de travail. Je n'ai accepté qu'une fois ce dernier plan, et avec l'accord des deux autres : deux riches et vieux allemands nous ont photographié, sucé et bouffé partout dans la loge contre un confortable montant de Deutschemarks de l'époque.
Dans ces cas là, je suis gentil et accueillant avec les demandes de chacun des solliciteurs, mais leur précise très vite, ce qu'ils savent en général, que je peux sûrement leur faire plaisir, mais pour de l'argent.
Mes tarifs refroidissent le plus souvent leurs ardeurs, mais je noue ainsi chaque jeudi où j'y vais de, si j'ose dire, juteuses affaires qui, avec par ailleurs les pourboires glissés au passage par les clients, complètent heureusement le maigre cachet de 120 Euros que m'allouent les gérants.
Au deuxième passage, je remonte sur le bar, en slip et débardeur, pour les retirer peu après en dansant, super bien, parait-il. Je me déhanche dans tous les sens, me branle et bande de plus en plus, au fur et à mesure que je regarde des mateurs en rut dans les yeux, sens leur excitation, leur désir et en voit me faire des signes pour que je vienne danser au dessus d'eux.
Lorsqu'ils me mettent un petit billet dans les chaussettes, je m'accroupis lascivement, de face pour qu'ils touchent ma bite ou de dos pour qu'ils matent mon cul et me caressent les couilles. C'est souvent une forêt de mains qui me pelotent en même temps et des bouches s'ouvrent aussi pour happer ma queue ou simplement faire vriller leurs langues en me regardant, me signifiant qu'ils me boufferaient bien tout cru !
En général, je finis cette partie allongé sur le bar, bandant comme un turc, les jambes en l'air dans tous les sens, pour qu'ils voient tout, qu'ils touchent tout. J'adore ça. Y compris quand l'un des voyeurs, un jour, sortit de je ne sais où un gode bien graissé et me l'enfonça dans le cul. J'en fis des tonnes pour simuler une profonde jouissance anale mais c'est surtout d'être maté par tous ces mecs fous de mon corps que je jouissais. Dans la tête et dans la queue, même si je me retenais pour ne pas gicler. Souvent d'ailleurs j'arrête cette seconde partie quand je sens le foutre monter en moi. J'aimerais les arroser tous de mon sperme, ils l'attendent, mais je dois me retenir : ce spectacle là est pour plus tard et je dois conserver tout mon tonus pour la troisième partie.
La troisième partie est hallucinante, unique à Paris. J'entre nu dans la foule et gagne un petit podium de deux mètres carrés pas plus, installé au milieu du public. Je grimpe dessus en exhibant bien mon cul et danse dessus comme un fou, comme une salope. Je danse jusqu'à ce que des billets atterrissent à nouveau dans mes chaussettes. Puis c'est l'apothéose. Je crie à plusieurs reprises en me branlant « sortez vos queues ».
Bien des mecs s'exécutent, si ce n'était déjà fait. Agenouillé au bord du podium, je me fais sucer tour à tour ou en même temps la bite et le cul sans regarder qui me broute : c'est la sensation, l'exhibition, qui m'excitent. Plusieurs fois j'ai demandé à un mec du public qui me plaisait de venir me baiser sur le podium ou de me donner son cul. Beaucoup se dégonflent mais certains acceptent.
Un grand antillais est monté un jour, a fait rapidement un super strip-tease d'amateur, très bandant puis, après que nous nous soyons caressés, pellés, sucés, il m'a fait mettre a quatre pattes, a mis la capote sortie de ma chaussette que je lui tendais et m'a enculé au milieu des cris et des caresses des spectateurs qui se branlaient et partouzaient autour de nous. Là je l'ai fait pour le plaisir et j'ai joui vraiment de partout, même si des mecs nous donnaient encore des billets pour que nous changions de positions dans la baise, afin qu'ils nous voient mieux, nous touchent mieux, se branlent encore davantage.
Ce soir là, il m'a tringlé plus de trente minutes dans tous les sens et je l'ai enculé aussi, au milieu des spectateurs. Puis je me suis vidé en râlant comme une bête, envoyant des rasades de foutre dans le public. Lui a giclé dans la bouche d'un vieux qui lui tendait un billet de 200 francs de l'époque. Une soirée inoubliable.

La réalité dépasse souvent la fiction et il y a quelques clubs particulièrement chauds dans lesquels le jus doit couler à flots. En connais-tu ? En as-tu déjà fréquenter ? Si c'est le cas, n'hésite pas à nous donner les adresses.

A la prochaine.

Jeu 8 fév 2007 8 commentaires
il aime sucer le petit cochon, j'aimerais être à sa place
dan53a - le 08/02/2007 à 22h40
slt mon pote vien vite découvrir la new version de mon blog
Anthony - le 08/02/2007 à 23h08
Quelle chance  , en tout cas ton histoire me fait bander
edouard - le 09/02/2007 à 12h20
histoire très bien, video aussi com dab
yakkun - le 09/02/2007 à 18h21

J’aI 53 ans , divorcés et actuellement avec une compagne , et suis bi-sexuel .

 



Mon grenier étant ma salle de jeu avec une table de ping-pong , une fenêtre donne accès au toit plat qui lui donne une vue plongeante sur la chambre de mon voisin Bernard .

 



J’avais à l’époque 15-16 ans , et savait très bien de quoi était fait une masturbation , et j’en prenais beaucoup de plaisir .

 



Un jour , prenant un bain de soleil sur ma terrasse , nu bien sûr car personne ne pouvait me voir à cette hauteur et la porte du grenier étant fermée .

 



En fin de journée , je me penchais par hasard en direction de la chambre de mon copain , et je vis qu’il était en train d’étudier .

 



Quoi de plus banal au mois de Juin , mais il avait ses deux pieds sur son bureau , et tout en lisant , avait ouvert son jeans 501 et plongeait sa main dans son slip .

 



Je me suis couché afin qu’il ne puisse me voir. Je ne restais pas indifférent à cette vue et mon sexe devenait d’un telle raideur qu’il me devenait difficile d’être à plat-ventre.

 



M’imaginer son sexe me faisait , à la limite , plus bander que de le voir directement . Je me disais bien que , tôt ou tard , avec un peu de patience , je le verrai .

 



Sa main agitait son sexe , que je pouvais imaginer conséquent , dans son slip blanc taille basse de marque HOM qui était le « top » dans les années 70 .

 



Je pouvais apercevoir son torse imberbe sous sa chemise déboutonnée , et les poils de son pubis noir et dru , mais pas trop , remontant jusqu’au nombril .

 



Ce qui devait arriver arriva .

 



Il commença à s’activer plus frénétiquement . Il souleva son bassin pour descendre son jeans jusqu'à mi-cuisse faisant apparaître une paire de cuisse bronzée et musclée.

 



Son sexe en pleine érection dépassait la ceinture de son slip .

 



Il fit glisser son slip à mi-cuisse également et je découvris un superbe membre en érection .

 



Etant persuadé d’être à l’abri de tout regard , il se masturba de plus belle en décalotant entièrement le gland , des mouvements de bas en haut .

 



De sa main gauche , il déposa son bouquin et se caressa tendrement les cuisses .

 



Son sexe devait bien avoir entre 15 et 18 cm . Je m’en apercevrai plus tard , mais çà , ce sera une autre histoire .

 



Moi-même , je commençais à me masturber également , et je dû arrêter plusieurs fois afin de ne pas jouir trop vite .

 



Soudain , je vis son corps se raidir , ses jambes s’écarter , se précipita pour prendre son mouchoir tout proche .

 



Il continua de plus belle sa masturbation , et je le vis jouir de deux grosses giclées de sa semence qui atérri sur son ventre bronzé .

 



Quelle beau contraste de cette semence blanchâtre sur un ventre plat et bronzé .

 



Quasi au même moment , j’éjaculais également et ce fût vraiment une grande jouissance .

 



Jouant régulièrement avec Bernard au football , jamais je n’aurais imaginé voir cette scène de masturbation en direct .

 



Je l’avais déjà maté dans les vestiaires , et j’avais pu constater qu’il était bien membré au repos et drôlement bien foutu .

 



Mais tout cela restait dans le cadre de mes fantasmes et je dois bien admettre que j’aurais bien voulu le caresser , masser , le toucher ….et même plus .

 




 




 



Voilà , mon premier épisode .

 



Ci cela peut vous intéresser , j’ai encore pas mal de chose à raconter .

 



Faites-moi signe de vie si cela vous intéressent .

 



Je suis encore un grand branleur , et toujours bi .

 



J’aimerais rencontrer des couples bi pour échanges en toute discrétions dans la région de Louvain La Neuve .

 



A+

 


ALEX - le 09/02/2007 à 20h13
pa mal du tout ton histoire ALEX !
brad - le 09/02/2007 à 22h10
bien bandante cette histoire on y croit. Et alors quand as tu fait l'amour pour la première fois avec un mec??
dan53a - le 09/02/2007 à 23h59
Très bandantes tes histoires de branle. Continue Alex. Comme j'aimerais pouvoir raconter aussi bien que toi. Bravo. Amicalement.
FM3 - le 10/02/2007 à 00h58