Jeudi 13 avril 4 13 /04 /Avr 00:12

Hello ami Gay

Quoi de neuf aujourd'hui ?

Tout d'abord, il faut te dire que je suis assez content car plusieurs visiteurs ont laissé des commentaires sur ma dernière page. J'ai ainsi quelques réponses aux questions que j'avais posées.  Remarque qu'il n'y a jamais que six messages. Pour plus de 400 visites, ce n'est quand même pas énorme. Ca ne fait que 1,5 % de participation. On pourrait faire plus. Enfin, je ne vais pas me plaindre, c'est quand même mieux que d'habitude. Mais, j'y pense, peut-être que toi, tu n'as pas encore répondu. Si c'est le cas, va bien vite à la page précédente et mets ton message. J'attends avec impatience ta réponse.

Il y a une autre page pour laquelle je n'ai eu aucune participation. C'est celle où je demandais si quelqu'un avait un truc contre l'éjacualtion précoce et si quelqu'un connaissait un mayen d'augmenter la quantité de jus à éjaculer. Pourtant, je cois que ça pourrait intéresser pas mal de visiteurs car il paraît qu'un homme sur trois à peu près rencontrent ce problème. Si on ajoute celui avec qui il fait ses petits jeux, ça pourrait même être 2 hommes sur trois. Evidemment, si on tient compte du fait que des éjaculateurs précoces peuvent s'amuser entre eux, ça doit réduire la statistique à 50 %. Ca fait quand même beaucoup : la moitié des hommes qui aurait un plaisir de courte durée. Je vous avoue que moi, j'aime bien faire durer le plaisir.
Quoi qu'i en soit, si quelqu'un a une idée, il peut toujours la communiquer en retournant à
la page concernée.

Aujourd'hui, je t'offre une petite histoire transmise par Martin à qui je fais des gros bisous.

La première fois que j'ai éjaculé, j'avais onze ans. C'était en été, début juillet. Je fréquentais alors une pleine de jeux organisée pour les enfants de la région. Nous étions répartis par âge et j'étais dans le groupe des 10 / 12. Je m'y amusais vraiment bien cette année-là, car nous avions un moniteur hyper sympa, d'une gentillesse à toute épreuve et toujours très doux avec nous. Vous avouerais-je que j'en étais tombé amoureux dès le premier jour ?
D'origine italienne, cheveux noirs, yeux marron, teint halé, mince mais musclé de toute part, Lorenzo était le plus beau des hommes, mais ce qui me plaisait surtout chez lui, c'était la chaleur de son regard, surtout quand il nous souriait.
Le matin, nous commencions assis par terre, en demi-cercle autour de lui, tandis qu'il nous expliquait les activités de la journée. Lui, se tenait en équilibre sur les doigts de pieds, assis sur les talons, les genoux à 10 cm du sol, les jambes écartées, les mains par terre, légèrement en arrière. J'aimais le regarder dans cette position qui mettait en évidence ses belles cuisses brunes et légèrement poilues.
Un matin, arriva l'inespéré. Il avait mis un short en nylon assez court, mais suffisamment large aux jambes, pour que, dans la position où il était mis, je puisse voir son sexe. Inutile de vous dire que ce jour-là, je n'ai rien entendu des explications, le monde aurait pu s'écrouler autour de moi, je ne m'en serais pas rendu compte. Plus rien n'existait pour moi que le beau zizi de mon moniteur adoré.
J'étais hypnotisé par le spectacle et pourtant, si j'avais pu, je me serais précipité sur cet objet précieux pour le voir, le toucher, le sentir, l'embrasser. J'attendais, j'espérais que ce sexe, dont je voyais essentiellement le gland, se découvre à mes yeux dans toute sa plénitude, dans toute sa splendeur.
Pour moi, le temps pouvait s'arrêter. J'avais là le plus beau spectacle de ma vie, un sexe admirable, comme je n'en avais jamais vu. Un beau gros gland tout rond, comme une boule de sucette à l'orange. A côté de lui, mon petit zizi n'était rien et pourtant, à force de le regarder, j'avais l'impression de sentir le mien qui grossissait, comme s'il voulait devenir aussi gros que le sien. C'était une sensation nouvelle pour moi, je sentais ma queue se gonfler dans mon short serrant, un peu à l'étroit et qui avait besoin d'être libérée de ce carcan de tissu, et pourtant, cette
gêne, je la trouvais agréable.
J'ai passé toute cette journée dans un état second, émerveillé par ce que j'avais vu et dans l'attente d'en voir davantage encore. Sitôt rentré chez moi le soir, je suis monté dans ma chambre. J'avais hâte de reproduire le spectacle auquel j'avais assisté le matin.
Je me suis mis devant le miroir dans la même position que Lorenzo, mais mon short était trop serrant pour que l'on puisse voir quelque chose. J'ai alors changé de short, tout excité par l'expérience, pour me rendre compte à ce deuxième essai qu'il fallait aussi que j'enlève le slip.
Ce que je fais avant de me positionner à nouveau devant le miroir. Non ce n'est pas tout à fait cela. Je dois donc placer ma queue autrement dans le short, passe la main à travers la jambe pour bien la mettre dans le short, nouveau regard dans le miroir, un ajustement est encore nécessaire. Ce petit jeu plusieurs fois répété m'excite.
Cette fois, c'est sûr, ma queue se gonfle, grossit et devient dure comme un os. Le prépuce me serre le gland, je décalotte. Hummm, c'est vraiment agréable. Le gland est devenu bien gros, tout rouge, une petite goûte transparente sort de mon sexe, je la prends sur le doigt pour en sentir la consistance, d'autres apparaissent que je prends de nouveau sur le doigt qui à chaque fois effleure le gland en me procurant une sensation étrange, jamais ressentie, à la fois douloureuse et agréable. Je récupère le liquide sur le doigt, l'étends sur toute la surface du gland. Waouwww, c'est vraiment bon. Mon sexe s'est fait très dur et gros comme il ne l'a jamais été. Je sens qu'il se contracte et soudain un jet de liquide blanc, suivi d'un deuxième, puis d'un autre. Je vacille...
Ohwwwwwww, j'ai vécu là une expérience du tonnerre, et que c'est bon !
Sur que je la répéterai souvent par la suite.
Si toi aussi tu as une histoire chaude à raconter ou à transmettre n'hésite pas à le faire. Pour m'écrire, tu cliques sur 'contact' tout en bas de la page mais tu peux aussi mettre un petit mot en cliquant sur 'commentaire'.
Petit indice Alphabit :
Pour le 7 pense à Astérix et son gros copain.
Et pour teminer, la voici, la voilà, celle que tu attends avec tant d'impatience et que tous ceux qui ont écris réclament à grands cris :
Sois sympa maintenant, laisse un petit mot en cliquant sur 'commentaire'.
A la prochaine
Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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