Etant étudiant dans une université située à plus de 100 km de chez moi, je ne suis pas très souvent à la maison sinon pendant les vacances et le week-end.

Agé de 45 ans, agriculteur de profession, mon père est un homme de plein air qui jouit d’une excellente condition physique.

A l’époque des faits que je vais raconte, c'est-à-dire l’an dernier, le couple de mes parents battait de l’aile et mon père s’était installé dans l’ancienne chambre à coucher de ma sœur, reliée à la mienne par une salle de bain.

Ce jour-là, ma mère était partie avec un ami. Nous étions donc seuls, mon père et moi. 

Il devait être aux environs de 18 heures quand j’entrai dans ma chambre pour me changer avant de sortir avec des copains. Mon père devait être dans la salle de bain puisque j’entendais le bouillonnement  de l'eau dans la baignoire.  Il m’appela :

- David? Es-tu là ? 

- Oui, papa, qu’est-ce qu’il y a ? 

- Entre, viens voir ce que j’ai acheté. 

J’étais loin de me douter de ce qui m’attendais. 

En ouvrant la porte, j’ai failli tomber à la renverse. 

La salle de bain, dans laquelle je n’étais pas encore entré ce week-end là, était complètement transformée. Mon père y avait fait installer un immense bain à bulles dans lequel on pouvait facilement se mettre à quatre ou cinq. Mon père y trônait majestueusement. 

- Et bien, me demanda-t-il, comment trouves-tu cette nouvelle baignoire ? 

J’avais les yeux écarquillés, ne pouvant rien répondre en le voyant ainsi rayonnant de bonheur, dans le plus simple appareil avec l’eau qui tourbillonnait autour de lui sans pouvoir toutefois cacher sa nudité virile. 

Ce n’est pas qu’on est particulièrement pudibond dans la famille, mais je n’avais jamais eu l’occasion de voir mon père nu avant ce jour-là et je dois reconnaître que j’avais des difficultés à ne pas regarder son sexe qui se tournoyait dans l'eau tourbillonnante. 

Il commença à m’expliquer le fonctionnement de ‘la machine’ et je l'écoutais à moitié car j’étais plus occupé à lui mater la bite cherchant des points de comparaison avec la mienne. Il était circoncis et pas mal proportionné avec ses 15 cm environ à l’état de repos. D’après ce que je voyais, nous avions donc à peu de chose près la même, bien que son gland me semblait plus grand que le mien. 

Obnubilé par son sexe, je n’avais pas entendu qu’il avait terminé toutes ses explications et ne disait plus rien. 

- J’ai l’impression que tu es plus intéressé par regarder la queue de ton vieux père que par ses explications, me dit-il en riant. 

Mes parents savaient depuis longtemps que j’étais Gay et cela n’avait jamais posé de problème particulier. 

- Quoi ? Heu, excuse-moi, papa,  répondis-je en bredouillant, je voulais simplement vérifier si j’avais bien hérité de ton sexe. 

La réponse le fit rire et il me proposa : 

- Pourquoi ne viens-tu pas te joindre à moi ? Il y a de la place et on pourra comparer plus facilement. 

Je le regardai d’un air inquiet en me demandant s’il n’était pas en train de se foutre de moi, mais il repris en souriant : 

- Allez, viens, ne sois pas si sérieux, l’eau est bonne. 

Je suis allé dans ma chambre pour enlever mes vêtements puis je suis retourné dans la salle de bain complètement nu. 

J'étais assez nerveux, craignant de bander devant mon père. 

-Et bien voilà, regarde nous sommes équipés exactement de la même manière, me dit-il en me regardant fixement, tu as un très beau corps ; je suis heureux de voir que tu t’entraînes régulièrement. 

Il me souriait gentiment pour essayer de me mettre à l’aise. Je me suis approché du bain puis suis entré dans l’eau et me suis à côté de lui. 

- Alors, tu ne trouves pas que c’est très agréable ce bain avec ces bulles ? Me demanda-t-il. 

- Si bien sûr, lui répondis-je. 

- Je l’ai vu dans un catalogue et j’ai pensé que ce serait une bonne idée pour cette  salle de bain. Tu sais, je n’ai plus d’autres plaisirs maintenant depuis que ta mère batifole ailleurs. 

- Oui, c’est très bien, papa, tu as raison. On n’a que le plaisir qu’on se donne 

En regardant ma queue tourbillonner dans l'eau, j'ai réalisé que je commençais à bander sous l’effet agréable de l'eau chaude, des tourbillons et de la présence inimaginable de mon père nu à côté de moi. J'ai essayé de cacher l’érection, mais c’était inutile. Mon père s’est mis à rire. 

- Ne t’inquiète pas si tu bandes, cela m’arrive aussi très souvent quand je suis ici dedans. Regarde-moi maintenant. 

J'ai regardé et j’ai remarqué qu’en effet son sexe s’allongeait avec chaque impulsion du tourbillon. Il s’est soulevé légèrement hors de l'eau pendant, nous nous sommes observés mutuellement et sommes arrivés rapidement en pleine érection. Nous avions nos deux bites dressées bien droite hors de l’eau, deux belles tiges de 20 cm au moins, le gland de mon père étant toutefois plus volumineux que le mien. 

- Et bien, nous ne sommes pas beaux ? Deux très jolis jumeaux bien droits, dit-il en riant. A ton avis, on fait combien ? 20 cm, 21 ? 

- Oui, je crois, répondis-je nerveusement en me léchant les lèvres. 

Mon père empoigna ma bite et la serra dans sa main, ce qui fit sursauter les muscles de mes jambes. 

- Je t‘ai donné une belle bite, n’est-ce pas ? me dit-il en me serrant et secouant la queue. Tiens, tu peux aussi empoigner la mienne pour voir si nous avons le même diamètre. 

Je l'ai regardé en me demandant s’il n’était pas devenu fou. Jamais je n’aurais imaginé cela de mon père. 

- A quoi penses-tu ? Tu te demandes si je perds la boule. C’est ça ? <allez, n’hésites pas, tous les fils n’ont pas la chance de pouvoir empoigner la bite de leur père. Profites-en ! 

Il a pris ma main et l'a enroulée autour de son mandrin. Nous nous sommes assis dans l'eau tourbillonnante en nous tenant mutuellement par la queue et il a commencé à me branler. J'ai commencé le même mouvement avec lui. Il a fermé ses yeux en se penchant vers l’arrière. 

- Que c’est bon, David, me dit-il avec un soupir, Ce n’est pas ta mère qui m’aurait fait un plaisir pareil. 

Je me suis aussi penché vers l’arrière en fermant les yeux pendant qu'il frottait mon gland, à l'aide de son pouce pour en utilisant le liquide lubrifiant qui sortait de mon sexe. Après quelque temps de délicieuses caresses, il a ouvert ses yeux et s'est assis sur le rebord du bassin. 

- Sortons de l'eau et continuons dans ta chambre, me dit-il. 

Il s'est levé et c'est à contrecœur que j’ai dû lâcher son pieu. Je l’ai observé pendant qu'il sortait du bain et me suis régalé du spectacle de ses couilles et de sa tige dure qui se balançaient. Je me suis levé et suis sorti du bassin. Il m'a tendu une serviette. Pendant que l’on s’essuyait, je pensais en moi-même que je devais rêver. Je l'ai suivi dans ma chambre, observant son dos velu. Il me dit : 

- Couche-toi sur le lit. 

Je m'étendis sur le lit puis il écarta mes jambes, arrangeant son bout velu sur mes cuisses, puis saisissant son sexe d’une main et le mien de l'autre, il commença à les branler lentement. Après une minute ou deux, il s'est déplacé pour joindre nos bites et, les serrant ensemble d’une seule main les frotter l’une contre l’autre. 

J'étais fasciné par le spectacle. Nous produisions tous les deux  un abondant liquide lubrifiant ce qui rendait nos bites particulièrement lisses. La sensation et la spectacle, c’étaient presque trop pour moi. Cela faisait plus de deux jours que je n’avais plus éjaculé. Je devais me forcer pour ne pas lâcher trop vite mon foutre. Laissant mon père jouer avec nos sexes, j’ai caressé sa poitrine velue frottant mes doigts autour de ses mamelons, ce qui le fit gémir. 

- Oui, c’est bon, continue ce jeu avec mes mamelons, me dit-il.  Ah, ouais, j'aime cela. 

Il a commencé à se trémousser sur mes cuisses en respirant de plus en plus plus rapidement. 

-Oh, oui, c’est si bon, a-t-il gémi. 

Sa main s’est déplacée plus rapidement et nos bites ont fait un bruit d'écrasement pendant qu'ils les frottaient ensemble. Je pouvais voir ses cuisses monter de plus en plus haut alors qu’il approchait du tir final. Il se basculait plus rapidement et sa main volait à travers nos bites qui produisaient de plus en plus de lubrifiant. Son gland grossissait de plus en plus et virait au rouge foncé. J’ai remarqué alors qu’il était prêt à éclater. 

Avec un gémissement il a doublé la pression et un long jet de foutre a giclé de la fente pour aboutir sur mon ventre. Il a été suivi d’un autre et encore d’un autre, de chaudes et blanches giclées qui aboutirent sur mon ventre, ma poitrine, mon visage et même mes cheveux. Au comble de l’excitation, je jetais en arrière ma tête et dans un léger gémissement mon sexe libéra de gros jets de sperme épais qui vint se mélanger à celui deb mon père sur mon corps. 

Mon père continua à caresser nos sexes faisant sortir les dernières gouttes de laiteuse semence qu’il mélangea dans les poils de mon pubis. Puis sa main a ralenti ses mouvements, il a caressé mes couilles et  m'a regardé en souriant : 

- Fichtre, c'était bon ! Nous avons bien juté et en grande quantité, n’est-ce pas ?" 

Il a pris sa main couverte de jus et la portant à sa bouche l’a léchée. Puis, reprenant du sperme sur mon ventre m’a présenté sa main que j’ai léchée aussi. Je me suis penché sur son sexe encore en demi érection et je l’ai sucé pour en récupérer la délicieuse semence. C’est alors qu’il me dit : 

- Mon fils, je ne vais pas dire que je n'ai pas apprécié, mais je n’aurais jamais dû commencé ce jeux. Je veux juste que tu saches que ça ne se produira plus, mais cela ne signifie pas que je t'aime moins. 

Il a souri d’un air triste pendant qu'il se penchait au-dessus de moi et m'embrassait sur le front. Avec un soupir, il s’est levé et m'a donné une tape sur la jambe. 

- Maintenant, lève-toi et viens prendre une douche. 

En se dirigeant vers la salle de bain il a ajouté : 

- Ce soir, nous sortons. Je t’invite pour un bon dîner. Je ne sais pas toi, mais moi, j'ai faim... je me demande pourquoi.