Mercredi 26 juillet 3 26 /07 /Juil 09:20

Hello, ami du blog

Gay, bi ou hétéro, sois le bienvenu.

Le premier tournoi de pénis de Belbouldom est à présent terminé.

Je remercie chaleureusement tous les amis qui par leur vote de supporter-arbitre ont permis le bon déroulement de ce championnat. La cérémonie de cloture et le podium sont à présent en ligne. Pour y accéder, clique ici.

Le Mecamater, c'est parti pour une nouvelle sélection.

Tu as apprécié la première édition de ce concours ? Tu es satisfait ou déçu par les résultats ? Qu'importe. Une nouvelle édition commence avec 10 mecs encore plus chauds que dans la première série. Qui sera le nouveau Mecamater ? C'est à toi d'en décider. Mais attention, fais le bon choix cette fois car ils ne sont pas tous d'égale valeur. Il y a des tacards et des gicleurs !

Les photos d'été

Nouvelle série : sur la plage.

En ce temps de grande chaleur, un peu de fraîcheur au bord de l'eau ne peut que faire du bien. Le ciel bleu, les chaudes caresses du soleil et la fraîcheur de l'eau, que peut-on souhaiter de mieux ? Dix nouvelles situations te sont proposées ici, vers laquelle ton choix va-t-il ? 

Dans les dunes.

Les plaisirs de l'été et des vacances à la mer, ces deux mecs en chaleur les connaissent. Sans se préoccuper des voyeurs, ils s'en donnent à coeur joie. Surtout, n'hésite pas à laisser quelques commentaires.

 

Vacances et repos

Avec quel mec voudrais-tu te coucher ?

Tous à poil pour l'été

Avec quel mec voudrais-tu t'amuser dans un coin discret ?

Le Flash Back

Après Les Nounours Noirs et Le Beau Black, voici une autre série mise en ligne précédemment sur le blog que je t'invite à revoir aujourd'hui : plaisirs du cul.

Histoire chaude du jour :

Dépucelé par mon élève

Je suis issu d'une famille de magistrats dont les ancêtres portaient la robe de juge sous Louis XV, j'ai 29 ans et je suis avocat d'affaires dans une grande ville française, dans le cabinet de mon oncle. Je donne aussi des cours dans une école supérieure de commerce, 6 heures par semaine exactement. Enfin, en garçon de bonne famille, je pratique un sport peu commun, en l'occurrence le water-polo.
Au cours du mois d'octobre dernier, un nouveau nageur provenant de Mulhouse s'est inscrit au club. Pas très grand, un peu plus d'un mètre soixante-dix, très blond, le corps rasé, avec surtout une technique incroyable, un "coulé" fantastique. Il nage comme une fleur, presque sans vagues. Accessoirement, c'est un de mes étudiants de première année... Imaginez la surprise quand je l'ai vu la première fois à la piscine!
Un soir en fin d'entraînement, je suis resté faire des longueurs, charge à moi de déposer la clef chez le gardien. Eric, c'est son prénom, est resté lui aussi. Nous avons nagé sans un mot pendant vingt minutes environ, puis il est sorti le premier du bassin. Quand je suis arrivé sous la douche, il se rinçait sous l'eau, le savon coulait sur son corps nu. Moi qui suis un hétéro exclusif, charmeur de ces dames, tombeur de mes étudiantes et un des meilleurs partis à marier de la ville, j'ai senti comme du désir venir en moi. Je suis resté maître de mes émotions, ai pris mon gel douche au vestiaire, déposé mon slip et suis entré dans la salle de douches au moment où lui en sortait. Sans nous voir, nous nous sommes heurtés dans l'encadrement de la porte, nus, mon sexe contre son pubis. J'ai eu un sourire gêné tandis que tout naturellement il me laissait le passage. Alors, seul sous l'eau, une érection formidable m'a gagné très vite. J'étais heureux que personne ne soit là et en même temps très déçu qu'il soit sorti.
Je me savonnais vigoureusement, la verge si tendue qu'elle me faisait mal, quand il est apparu à la porte. Du shampoing plein la tête, il m'a fallu plusieurs secondes pour me rendre compte qu'il me regardait. J'étais stupéfait, très gêné, immobile. Il n'a rien dit, m'a souri et fait un petit signe avant de disparaître derrière la porte.
Sous la douche, les yeux fermés, j'encaissais le choc progressivement quand j'ai senti sa main sur ma nuque. En quelques secondes, il s'était complètement déshabillé avant de me rejoindre! Ahuri, je me suis laissé faire; il a baissé ma tête et m'a embrassé, roulé une pelle, une galoche comme je ne savais pas qu'il en existait. Serré contre moi, sa bite se tendait peu à peu alors que la mienne était raide. Il a bougé son ventre contre elle, tandis que sa main palpait mon dos et mes fesses. Je ne faisais rien que répondre à son baiser.
Puis je l'ai enlacé. Je le tenais contre moi tout en bougeant mon bas-ventre en même temps que lui. Nos bites se frottaient, la sensation était furieuse, incroyable, je n'avais jamais vécu ça avant. Alors sa main sur mes fesses a glissé vers mon anus, il y a mis un doigt, puis deux qui bougeaient. Son autre main a quitté ma nuque et, se faufilant entre nous deux, est venue se plaquer sur ma bite. J'étais tellement excité que j'ai joui dans sa main en quelques secondes. Il s'est écarté un peu, m'a embrassé de nouveau en me tenant la tête puis est parti.
Je restais seul, du sperme plein les cheveux, assommé.
Je n'y ai fait aucune allusion et m'étais promis d'oublier cet épisode. Une semaine plus tard, j'étais à un concert de rock avec quelques amis avocats. Nous avions bu quelques bières et salué quelques connaissances de rencontre. Dont Eric qui était là avec d'autres étudiants. Vers la fin du concert, j'avais complètement oublié sa présence. Fatigué, également déçu par la musique très pauvre, j'ai pris congé de mes collègues qui ensuite continuaient la soirée dans un bar de nuit. Juste avant la sortie, une main m'a attrapé le bras pour me tirer dans un recoin. Et là, à nouveau une galoche formidable avec sa main collé sur ma braguette: Eric ne voulait pas m'oublier, lui! Il m'a demandé: "Tu viens?" et sans attendre ma réponse est sorti avec moi.
Dans ma voiture, je conduisais vers son appartement quand il a défait sa ceinture de sécurité, s'est penché vers moi, a déboutonné ma braguette. Ma bite a jailli tout de suite de mon slip et il a commencé à me sucer comme un goulu. C'était très inconfortable en conduisant mais hyper excitant, je bandais comme un taureau.
Chez lui, nous nous sommes tout de suite retrouvés à poil sur le lit. J'étais sur le dos, lui sur moi quand il m'a dit: "Je sais ce que tu veux". Sur la table de nuit il a pris une capote et déchiré le papier. Je l'ai prise et ai commencé à la lui enfiler, avec la bouche et les mains. Sa bite n'est ni très grosse ni très longue mais Dieu qu'elle est dure! Et belle avec ça! Ceci fait il m'a remis sur le dos tout en m'embrassant. Nos corps se frottaient, lui sur moi c'était délicieux. A un moment il a mis ses mains sous mes genoux pour les remonter sous ses épaules. Ses couilles ballottaient contre mon anus, le but de la manoeuvre devenait évident. Il a pris un tube de gel en m'en a enduit le cul. C'était froid, un peu désagréable. Ensuite, il m'a enfoncé deux doigts, très doucement, en me massant et dilatant mon trou. Il les a retiré, a placé son gland et de tout son poids s'est appuyé dessus. Ca faisait mal, je crois bien que j'ai crié un peu quand mon trou du cul s'est ouvert d'un coup pour laisser entrer sa bite. J'avais les genoux sur ses épaules, ses mains qui me tenaient les bras, il me besognait comme une brute et je restais abandonné, voluptueusement pris par cette sensation. Il a joui après plusieurs minutes, s'est retiré en sueur et est parti vers la salle de bain jeter la capote, me laissant seul et presque assommé de plaisir sur le lit, la bite en feu.
En revenant il s'est allongé à côté de moi et m'a léché tout le corps. S'attardant sur mes couilles, il a pris ma bite en main pour me branler doucement avant de l'engloutir dans sa bouche et me pomper à fond. Il arrêtait, me léchait le gland, posait sa langue sur le méat, m'embrassait le nombril avant de revenir me sucer tandis que je me tordais sur le lit en gémissant. J'ai joui dans sa bouche comme jamais, avec la sensation de me vider complètement. Il a tout avalé.
Exténué, nous nous sommes endormis très vite et au matin c'est moi qui l'ai enculé. Il avait remonté ses fesses en se calant sur ses genoux, les cuisses écartées, les épaules sur le matelas et la tête dans l'oreiller. Je l'ai pris comme une brute et j'ai crié en jouissant dans son cul.
Depuis, nous baisons autant que possible. J'adore commencer un cours avec dans la bouche le goût de son sperme, la perversité de la situation exaspère mes sens. J'aime poser une question à une étudiante en jouant innocemment avec un crayon tout en regardant Eric du coin de l'oeil. Avant-hier j'ai fait rougir Aude, Aude et ses pudeurs de jeune fille bien élevée, son air romantique et innocent, ses grands yeux bleus étonnés, ses cheveux blonds, son petit cul tout rond, ses petits seins durs, Aude que j'ai sauté il y a deux semaines, qui s'est laisser sucer le clitoris longtemps avec un doigt dans le fion avant d'accepter de se laisser enculer, les yeux bandés pendant qu'Eric nous filmait sans qu'elle le sache! Il a fait des gros plans splendides de ma bite et de son cul!

 

Vidéo du jour

Clique et mate 

Chaud l'été sur les plages du blog

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Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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