Mardi 1 août 2 01 /08 /Août 01:05

Ami du blog, Gay, bi ou hétéro,

je te salue bien

 

 

 

Pour aujourd'hui, je te propose une petite histoire de famille recomposée.

Le fils de ma femme

Je m’appelle Richard et j’ai 45 ans. Je suis divorcé. Je vis depuis deux ans avec  une femme qui vit avec son fils de 21 ans. C'est un beau grand garçon très sportif qui a énormément de succès auprès des filles. Il a les cheveux coupés courts, de grands yeux marron, une peau hâlée et il porte un petit bouc qui lui donne un air canaille. Nous vivons en parfaite harmonie et je m’entends très bien avec mon beau-fils.
Depuis quelques temps, quand il vient prendre son petit déjeuner le matin, il porte des tenues assez suggestives. T shirts et boxers moulants qui montrent plus que de cacher... En mangeant, mon regard est constamment attiré par son corps magnifique et sa petite gueule de charmeur. Je crois bien qu’il a fini par le remarquer et qu’il joue avec...
Un soir, alors que je travaillais à l’ordinateur et que sa mère était au travail - elle est infirmière et fait régulièrement la nuit - il est venu me trouver pour me dire qu’il s’était blessé au basket et qu’il souffrait d’un claquage. Il s’est planté devant moi, en mini short serrant, et m’a demandé si je voulais bien le masser.
-
Tu as du gel pour masser? lui ai-je demandé.
-
Oui, dans ma table de chevet.
Il est sorti du bureau et je l’ai suivi dans sa chambre. Je regardais son adorable petit cul se balancer devant mes yeux. Je me suis mis à bander.
-
Voilà! dit-il en me tendant le tube de gel.
Il s'allongea alors sur le ventre, sur son lit, me montrant où il avait mal. À travers le tissu du short, je voyais les rondeurs de deux fesses parfaites et les contours de son jockstrap de sport. Je me mis au travail. Tout en lui massant la cuisse douloureuse, je commençais à bander très fort. J’avais si souvent imaginé que je faisais l'amour avec lui. Là, je sentais qu’il allait se passer quelque chose!
-
Ça va?
-
Beaucoup mieux, oui! Tu es doué pour masser...
-
Et ton dos, ça va?
-
Tu peux le masser aussi... Je suis un peu raide...
Je commençais à lui masser le dos. Il se laissait porter par ce qui était plus une caresse qu'un massage. Il avait fermé les yeux et la tête enfoncée dans l’oreiller, je l’entendais gémir doucement. En descendant le long de ses hanches, j'effleurais le haut de ses fesses. Il ne bougeait toujours pas.
-
Enlève mon short si tu veux! m’a-t-il dit.
-
Ce sera plus facile, oui!
J’ai fait glisser le short et j’ai pu découvrir ses jolies fesses rondes et musclées. Un vrai cul de sportif! Je n'en pouvais plus et je bandais de plus en plus fort. Ses soupirs s’accentuaient et mon érection me faisait mal. L’ambiance était électrique.
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C’est délicieux! m’a-t-il dit. Tu as des mains de fée.
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Merci.
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Maman a bien de la chance...
J’ai commencé à masser le long de sa colonne vertébrale, partant de la nuque jusqu’à ses fesses. Un frisson imperceptible a parcouru son dos. Il avait les yeux fermés mais je devinais qu’il n’en pouvait plus d’excitation.
-
Je continue? ai-je demandé.
-
Je t’en supplie... oui... C’est trop bon!
Je lui ai descendu complètement son jockstrap. Il était complètement nu sous mes yeux. Je massais maintenant ses deux lobes les enserrant avec plus de vigueur à pleines mains. J'avais oublié son dos et il n'y avait plus que ses fesses qui attiraient mon regard et mes mains. La tension était à son comble et j’ai osé... Je me suis légèrement baissé et j’ai doucement embrassé son petit cul ferme. Il frissonna à nouveau. Sans réaction verbale de sa part, j’ai décidé d’aller plus loin et de masser son entrejambe et l’intérieur de ses cuisses. J'écartais doucement ses fesses et j'introduis ma langue dans son intimité. Ses gémissements étaient évocateurs. Je n’en pouvais plus.
- J’en rêvais depuis très longtemps! m’a-t-il dit.
-
C’est vrai?
-
Je vous ai déjà épiés maman et toi... lorsque vous baisiez... enfin je veux dire...
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J’ai compris.
-
Tu m’excites grave.
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Tu es sûr de vouloir aller plus loin?
-
Je ne vais sûrement pas laisser passer une chance pareille.
-
Tu sauras tenir ta langue?
Il a agité la tête en souriant.
Doucement, je glissais mon doigt dans sa bouche pour qu’il le suce et salive bien dessus puis je l’ai pressé à l'entrée de son anus. Il a poussé un doux râle. Il était là offert pour mon plaisir. Je bandais comme un fou. J’ai commencé à lui travaillé le cul pour l’assouplir avant la sodomie. Il a écarté largement ses cuisses pour faciliter le travail. Il était très étroit.
-
On t’a déjà enculé?
-
Oui, un copain... Il avait une queue très fine. La tienne est énorme à côté.
Il était si étroit que je sentais mon doigt pris dans un doux étau. Si je voulais éviter de lui faire mal avec ma bite, il fallait à tout prix lui assouplir l’oignon. J’ai commencé à cracher sur son trou puis à faire entrer la lubrification avec mon doigt. Il devait trouver ça bon car il a commencé à bouger ses fesses afin de me donner la cadence. Il cambrait de plus en plus ses reins comme pour me demander de venir à lui, en lui.
-
Je n’en peux plus. Viens! Baise-moi!
-
J’ai peur de te faire mal. C’est pas pour me vanter mais je suis plutôt bien monté et...
-
Je t’en prie. Essaie. Si j’ai trop mal, je ne manquerai pas de te le dire... D’acc?
J’ai saisi ses hanches pour le relever un peu et le pénétrer en douceur. L’introduction du gland fut laborieuse mais il fut stoïque. Ce petit enculé savait ce qu’il voulait et il n’était pas prêt de s’avouer vaincu. Lorsque les cinq premiers centimètres sont entrés, j’ai compris que c’était gagné. Son conduit s’était assoupli et, si je voulais rester modéré dans mes coups de reins, je pouvais nous donner du plaisir à tous les deux.
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Vas-y! Entre plus profond encore.
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D’accord mais doucement...
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J’adore te voir au-dessus de moi... en train de me baiser... Maintenant, je sais ce que ressens ma mère!
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C’était à ce point, cette obsession?
-
Tu ne peux imaginer! Et je ne suis pas le seul à qui tu fais de l’effet...
-
Pardon?
-
Mon copain Luc... Il est fou amoureux de toi! Il rêve de ton corps de mâle toutes les nuits...
J’étais estomaqué! Pris d’un accès de frénésie, j’ai donné un petit coup pour entrer plus loin dans son cul. Il a poussé un petit cri de douleur ou de plaisir mais dans un cas comme dans l’autre, j’ai vu le bonheur se lire sur son visage. Il m’a caressé le torse et trituré les pointes des tétons. J’ai pilonné son cul un long moment. Il s’est mis à dire des trucs cochons et c'est à ce moment là que j’ai déchargé toute ma semence sur son cul rebondi. Je l'ai tiré vers moi comme pour lui donner le maximum de ma jouissance. Ces superbes fesses étaient luisantes de sperme. Doucement je l'ai retourné.
-
À toi maintenant... Jouis pour moi!
Il m’a souri en se paluchant. J'avais sous les yeux le spectacle de tout son corps que j'avais possédé. Il passait sa langue sur ses lèvres en se branlant et en plongeant ses yeux dans les miens. J’avais rarement ressenti autant de trouble et d’excitation. Mon érection était à nouveau à son maximum. Il l’avait remarqué et souriait plus encore.
-
J’en veux encore! a-t-il murmuré. Nous jouirons ensemble.
Je l’ai pénétré à nouveau sans hésiter et, cette fois, de face... pour bien voir la jouissance se dessiner sur son adorable visage. Il s’est mis à pousser des cris de plus en plus fort secouant la tête dans tous les sens. Je lui ai mis un doigt dans la bouche qu'il s’est mis à sucer vicieusement. Je sentais son trou serré et lubrifié qui aspirait mon sexe.
-
Oh ouiiiiii, vas-y, baise-moi, c'est bon!
-
Tu aimes ma queue, hein? Tu la veux à fond!
-
Oui, baise-moi encore. Comme si j’étais ta femme...
Je commençais à cerner le personnage et je savais ce qui lui faisait plaisir. Lui dire des trucs vicelards le rendait dingue...
-
Tu aimes baiser, hein?
-
Oh oui, continue. Baise-moi, papa!
-
Tu veux une grosse bite pour te remplir. C’est ça que tu veux?
-
Plus que tout au monde, mon papa chéri. C’est ta grosse bite que je veux en moi. Je veux que tu me remplisses chaque jour et chaque nuit.
-
Je te remplirai chaque fois que j’en aurai l’occasion, fiston. Si c’est ça ton désir...
-
Pa, je viens, je viens.
Il poussa un grand cri au même moment que je giclais à nouveau sur lui. Son ventre a accueilli nos spermes qui se sont mélangés. Je me suis effondré sur lui et j’ai embrassé son front. Ses lèvres ont cherché les miennes. Je l’ai embrassé pour la première fois. Du moins de cette façon-là! Nous sommes restés plus de cinq minutes l'un contre l'autre. Je l'ai encore et encore embrassé dans le cou puis, un peu perdu, j’ai quitté sa chambre sans dire un mot. Il m’a regardé sortir sans rien demander.
Il s’est passé une semaine avant que nous nous retrouvions seuls pour en parler. Il aurait voulu que je devienne son amant mais j’ai réussi à lui faire comprendre que j’aimais sa mère. Comme beaucoup d’hommes, j’ai en moi des pulsions homosexuelles et des désirs inavoués. Je suis sûrement ce qu’on appelle un bon «bi».
Je garde de cette expérience un souvenir fabuleux.
Avec mon beau-fils, nous essayons de faire comme si rien ne s’était passé... C’est difficile...

Un flach back vidéo de trois petites séries

Un flach back photos glory hole et fellation

La troisième partie de la série Les jeux de vacances d'Alex vient d'être mise en ligne. Tu peux retrouver facilement la page à la date du 31 juillet.

Si tu ne l'as pas encore fait, n'oublie pas de voter pour le prochain Mecamater. A mon retour de vacances, celui qui aura reçu le plus de voix - pour autant qu'il en ait reçu au moins 50 - fera son show.

L'opération Spermathon en faveur de l"Association SOS se poursuit. Essaie d'être généreux aujourd'hui.

 

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A la prochaine

Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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