Dimanche 30 juillet 7 30 /07 /Juil 00:05

Pip en vacances

Te souhaite un bon dimanche.

Histoire chaude du jour :

Le routier

Cette histoire remonte à mon adolescence, l'époque bénie des 16 ans où rien n'a d'importance sinon soi-même. On a l'impression que le monde est incapable de nous comprendre et de nous aimer. Alors, il ne reste plus que soi à aimer. C'est l'époque des branlettes furieuses, des érections incontrôlées, des éjaculations de plus en plus vigoureuses et abondantes... Bref, le bon temps quoi!
Pour ma part, j'ai commencé à être rassuré sur mon avenir à cet âge là: je me suis bien développé, mes muscles se dessinaient lentement sur une poitrine qui s'élargissait, mes membres commençaient à perdre leur aspect maigrelet de l'enfance pour devenir fuselés et bien dessinés. Il n'y avait pas que cela d'ailleurs qui changeait: depuis quelques temps déjà, un petit duvet de poils s'était formé en triangle sur mon pubis et ma bite et mes couilles se mettaient à grossir. J'avais maintenant deux belles couilles, qui étaient couvertes par de jolis poils. J'aimais bien les soupeser parce que je les sentais chargées de sperme blanc et chaud. C'était marrant de voir à quel point elles pendaient d'ailleurs. J'étais pratiquement le seul à les avoir comme ça au lycée, les autres, je le voyais bien sous la douche, étaient pourvues d'attributs souvent aussi gros que les miens, mais visiblement plus collés au corps.
Ma teub aussi s'était mise à grossir... Elle était pas mal, j'en étais assez fier. Elle avait foncé, petit à petit, jusqu'à paraître bronzée, la peau s'était distendue autour et rendait la bite bien épaisse. J'avais un gland assez gros, qui se décalottait bien et qui avait un gros trou. C'est peut être pour ça que je crachais vachement loin! Je dis ça parce qu'une fois, avec un pote, on avait regardé un film de cul ensemble, et on se branlait peinard... Il a commencé à gicler. Quand je l'ai suivi, ça a été un vrai feu d'artifice, j'en avais foutu partout! On a tout nettoyé, mais ça avait épaté l'autre. On a alors attendu un peu et on a recommencé, cette fois, à genoux par terre, l'un à côté de l'autre, avec un mètre étalé par terre. Résultat: 1m57 pour une deuxième éjac'!
Les filles me tournaient bien autour, et ça aussi, c'est rassurant. Ce qui m'inquiétait plus, c'était que moi, je ne tournais pas trop autour d'elles! Je savais depuis longtemps que j'étais pédé, mais ça n'est pas très facile à se l'avouer. Quant à l'annoncer aux autres, c'était tout bonnement hors de question. Alors, tous les jours, quand je me branlais, je pensais à des potes de classe, et à ce qu'on pourrait faire ensemble. J'étais même carrément amoureux de mon meilleur ami, David. Lui aussi, je crois. Mais il ne s'est jamais rien passé, même si nous le savions tous les deux. Un jour, il a pris les devants et m'a dit qu'il valait mieux qu'on ne se voit plus avant que ça empire. Un vrai chagrin d'amour, alors qu'il ne s'était rien passé...
Et puis l'été de mes seize ans est arrivé: le premier que mes parents m'autorisaient à passer loin d'eux et avec des amis. Nous devions tous nous retrouver au fin fond de la Bretagne, alors que nous habitions tous dans le sud de la France: 1302 kilomètres exactement! Le voyage, comme le reste de mes vacances d'ailleurs était entièrement à la charge de mes économies. Je me taperai donc ces 1300 bornes en stop. Sur les autoroutes, ça devrait fonctionner. De plus, j'ai une bonne tête, je suis seul... et puis j'aime l'aventure!
Me voilà donc un beau matin de juillet, au sud de la ville, à l'entrée de l'autoroute. Il ne me fallut que quelques minutes pour me faire prendre par un V.R.P. très sympa qui montait jusqu'à Valence. Il était un peu jaloux de me voir partir en vacances, on a parlé pendant tout le voyage. Très gentil, vraiment. Un peu avant la sortie de l'autoroute, il m'a laissé sur une aire de repos pour que je puisse trouver le prochain qui veuille bien m'emmener faire un bout de chemin avec lui. Un peu perdu, un peu timide, je décidais de prendre le temps avant de tendre le pouce. Je commençais par aller remplir ma gourde aux sanitaires et aller pisser un coup.
Je m'installais devant une pissotière à côté d'un routier, que je remarquais du coin de l'oeil: bien baraqué, blond, absolument imberbe, le visage taillé à la hache en treillis rangers. Il avait roulé son treillis jusqu'aux hanches qu'on distinguait un peu. Une bien belle bête! Je fis tout comme si je ne l'avais pas vu. Mais c'est lui qui entama la conversation, alors que nous avions tous les deux la queue en main:
? J'ai vu ton sac à dos, tu pars en vacances?
? Ben ouais, je dois aller à côté de Brest, et j'y monte en stop, pour l'instant, ça a l'air de pas trop mal marcher.
? T'es avec quelqu'un?
? Là? Non! Je cherche plutôt!
? Ben écoute, moi, je vais au Mans, si ça te branche. Mais je sais pas si je t'amène jusque là-bas, parce que je n'y arriverai que demain...
? Non, non, c'est parfait! Merci beaucoup!
? Et puis range ton machin quand t'as fini de pisser, tu vas attraper froid!
C'est vrai que j'avais fini de pisser depuis un moment, mais je continuais à tenir mon chibre bêtement devant la pissotière, en le branlant un peu, pour faire sortir la dernière goutte qui était partie depuis un moment. Je rougis violemment: j'espère qu'il ne s'était pas mépris sur mes idées, d'autant que je n'en avais aucune! Mais l'épisode l'a fait marrer. Lui-même en disant ça s'était tourné vers moi pour se rhabiller, ce qui m'avait valu un charmant coup d'oeil sur sa bite.
Nous sommes rapidement partis pour son camion. Il était temps de se remettre en route. C'était la première fois que je montais dans un engin pareil. C'est assez impressionnant de se retrouver si haut par rapport aux autres voitures. On est vite sortis de l'aire de repos, pour filer sur l'autoroute. C'est clair qu'un camion va moins vite qu'une voiture, mais j'espérais être le soir même vers Paris, ce qui était une très bonne chose. On a commencé à parler de la pluie et du beau temps, quand est arrivée LA question que chacun se sent obligé de poser à un mec de 16 ans: "Et, t'as une copine?" Je répondais vaguement que non... Mais il n'avait pas l'intention d'en rester là!
? Quoi, t'as pas de copine, à 16 ans? Putain, mais comment tu fais pour tirer un coup de temps en temps? Tu vas voir les putes?
Tiens, aller voir les putes, je n'y avais jamais pensé, berk! Bon, il fallait répondre, n'importe quoi, mais quelque chose!
? Non, non, là ça va, je me débrouille tout seul! (Quelle réponse de con!)
? Ah ouais, tu te branles, ben remarque, je faisais pareil à ton âge... Mais aujourd'hui, j'ai horreur de ça! Pourquoi, ben j'en sais rien, mais ça me fait débander, remarque c'est comme les putes, j'y arrive pas... et pourtant, c'est pas l'envie qui m'en manque, tu sais: ça fait un mois que je suis pas rentré à la maison et que je ne me suis pas vider les couilles. Elles sont prêtes à exploser, et moi aussi!
Je souriais, c'était marrant! Je sais pas si j'aurai tenu un mois!!!
? Ça te fais marrer! T'as du bol, moi ça me met dans des états pas croyables, dit-il en souriant lui aussi. Tu me crois pas? Regarde!
Et là, il me sort son engin, bien en érection, tout en continuant à conduire. D'une main, il l'a pris et l'a branlé un peu, puis s'est pris les couilles dans la main et me les montrait:
? T'as vu ça un peu, c'est plein de foutre, ça va péter et personne pour me les vider!
Il était bien insistant mon petit routier...
? Et ça va rester comme ça jusqu'à ce soir, c'est clair, je la connais.
Il s'était remis à conduire, avec la bite dressée à l'air, comme si de rien était! Moi, j'avais une énorme érection qui me donnait des idées incroyables et une audace pas possible. Il fallait attaquer, mais comment? Et si ce mec était pas pédé?
? Putain, dommage que tu sois pas une fille, me dit-il en me tapant sur la cuisse, je t'aurais bien limé. Ou tu m'aurais sucé un peu, de conclure cela avec un rire bien gras.
Je fis semblant de ne pas avoir entendu, de regarder par la fenêtre et surtout de me calmer avant de faire une connerie.
? Putain, si t'avais été une femelle!!!
Et il rigolait avec sa bite en érection mon routier. Tant pis, après tout, c'est lui qui l'aurait voulu.
? Tu veux que je te suce?
Voilà, c'était clair, net et précis. Il ne rigola plus, mais n'en débanda pas pour autant?
? T'es pédé?
? Non, j'suis pas pédé, mais je sais rendre service. Une pipe c'est rien, alors que m'emmener en vacances, c'est vachement sympa. Je te garantis pas le savoir-faire, mais prends le comme un service qui évitera à tes couilles d'exploser!
? Euh, ouais, non, enfin je sais pas, quoi. C'est dégueulasse, non?
? Écoute, je te propose, c'est tout, si tu veux pas, je peux comprendre.
Je me retournais vers la fenêtre et je fis semblant de m'endormir. Au bout de deux minutes, il me dit:
? Bon, c'est OK! si ça te dérange pas!
Je pris aussitôt l'air dégagé du mec qui va simplement aider un autre à changer un pneu. Je me penchais sur l'engin, quand il m'arrêta.
? Non, si un camion me double, le mec va voir, mets-toi sous le volant!
Il écarta ses jambes tout en gardant le pied sur l'accélérateur. Je me glissais entre les pédales et sa bite. Pas très confortable, mais pour sa première pipe, on est prêt à tout! Je pris l'objet dans ma main, et le branlai un peu. Machinalement, je pesais les couilles pour les comparer aux miennes.
? Bon, écoute, si c'est pour me branler, je sais faire, et je t'ai dit que j'aimais pas.
Allez, au boulot, mon vieil Antoine. Je pris résolument la bite et je suçais d'abord le gland. Il mouillait le salaud: de grands filets me régalaient! D'un coup, je me suis mis à m'empaler sur son braquemart, je voulais sentir son gland au fond de ma gorge. Il commença à haleter, en appuyant sur ma tête. Qu'est-ce que j'aimais ça!
Je pensais tout à coup à ses couilles: elles étaient bien jolies. On aurait dit deux oeufs dans un nid d'or. Il n'avait pas beaucoup de poils mais ils formaient un délicat écrin aux deux boules qui recelaient, à l'en croire un véritable gisement de foutre. J'en gobais une. Il poussa un petit "han" qui m'encouragea pas mal. Je passais ma langue autour, je la faisais rouler en aspirant un peu. Allez, j'ai bien envie de tenter le deuxième. J'ouvre grand la bouche et je me lance sur la deuxième. Les deux en même temps, en essayant de pas appuyer. Je crois qu'il aime vachement, surtout quand j'enroule ma langue autour... Je jette un coup d'oeil sur le dard: décidément, il mouille énormément. Ce serait bien dommage de ne pas en profiter.
Je lâche les burnes pour téter du gland. Humm assez sucré, liquoreux plus que visqueux, j'en boirai tout l'après-midi. Pendant tout le temps où ça coulait, je tétais tranquillement. C'était vraiment bon. Et puis l'odeur me rendait dingue. Je n'avais jamais réagi à quel point la bite d'un mec peut sentir bon! Il avait plutôt l'air impatient car je sentis sa large main se poser sur ma nuque et m'empaler à mort sur son dard. Je manquais de m'étouffer. La hampe était bien pleine de salive, ce qui aidait bien l'engin à coulisser. Je le sentais cogner au fond de ma gorge. Il laissait, à chaque allée et venue ce goût inoubliable de bite.
Sa teub se durcit tout à coup, et son pied écrasa l'accélérateur, faisant rugir le camion. Il me prit par les cheveux et m'incita à un mouvement plus rapide et plus profond, ce que je fis sans me faire prier. Je gardais les yeux grand ouverts sur son toison blonde qui s'humidifiait. Il commença à râler, puis à beugler franchement. Je savais que LE moment était arrivé, et j'y allais de plus belle et frottant bien ma langue contre le gland. Ses cuisses se mirent tout à coup à avoir des spasmes, en même temps que ses reins donnaient des coups de boutoirs dans ma gorge.
La bite se figea un quart de seconde et je reçus la première goulée de sperme de ma vie, bientôt suivie par une autre, puis encore une! Ça n'en finissait pas. Et moi, j'avalais, j'avalais, en essayant de goûter au maximum pour pouvoir me souvenir du goût que j'aimais tant. Je pris soin de nettoyer sa bite, et je regagnais ma place. Il ne dit rien pendant quelques minutes. Moi, je n'en finissais pas de passer ma langue sur mes lèvres pour retrouver le goût de son foutre. Au bout d'un moment, il me dit:
? Je suis désolé de t'avoir craché dans la gueule, ça se fait pas. Surtout si t'es pas pédé, t'avais pas à avaler. Je men veux. Putain, il faut dire aussi que tu m'as sucé comme jamais on m'avait sucé! T'es sûr que c'était ta première bite. Même ma femme y arrive pas comme ça. Putain que c'est bon! Ça m'a bien vidé les couilles! Et toi ça va?
? Ben écoute, c'est la première et sûrement la dernière fois que je suce un mec. C'est clair que ça m'a un peu surpris de tout recevoir dans la tronche, mais, ça m'a permis de tenter une expérience!
J'avais jamais goûté de sperme... et ben c'est hyper bon! Mais ça je l'avouerais jamais! On se mit à rire tous les deux, pour exorciser notre gêne. Lui en avait oublié de rengainer son attirail qui trônait, cette fois bien mou entre les deux pans de sa braguette.

Je me disais que les vacances commençaient bien, que j'avais seize ans et qu'il faisait beau, et que la vie était décidément très belle! Je ne savais pas encore que j'étais loin de mes découvertes, qui seront pour vous l'occasion de me lire une nouvelle fois!

 

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Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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