Jeudi 3 août 4 03 /08 /Août 00:05

Hello, ami du blog

 

Pour aujourd'hui, je te propose une petite histoire chaude :

 

L'Afrique torride (première partie)
Je me demande comment ces diables d'africains ont encore le courage de s’entre-tuer. L'Afrique équatoriale connaît une vague de chaleur comme elle n'en a encore rarement subie. Les températures de l'après-midi sont depuis plus de 15 jours supérieures à 45° et atteignent dans les régions déboisées les 52 ou 53° degré à l'ombre d'un rocher en feu. Le Sokoto est à nouveau à feu et à sang. Des cadavres jonchent le sol de Kaduna sa capitale.
Les uburus, petits oiseaux éboueurs, attendent à l'ombre des feuillages, la nuit pour s'approprier leurs proies. Ils évitent celles tuées au petit matin. Elles ont passées toute la journée au soleil et la peau déjà desséchée offre une plus grande résistance à leur bec crochu.
Le soleil est un poêle rougi au feu, posé à quelques centimètres au dessus de nos têtes. De 10 heures du matin à 5 heures du soir tout le monde reste prostré chez soi, suffocant et délirant dans la fournaise. Le soir, les africains ressortent de chez eux pour se massacrer. La communauté européenne reste chez elle, hébétée prise entre deux fléaux.
La bière est rationnée. La source qui alimente l'usine de production est tarie à cause de la sécheresse. Malgré les incessants allers et retours des camions citernes, la production a légèrement chutée alors que la consommation atteint des records. Les Wambaras, communauté ethnique majoritaire du pays, reprochent au pouvoir de mieux approvisionner en bière importée les quartiers Bamouléwés, minorité dont est issu le gouvernement.
Personnellement, je ne bois plus de bière. La situation est devenue trop dangereuse pour en posséder quelques bouteilles à l'ambassade. Les militaires livrent à la communauté blanche le nombre de caisses qu'elle souhaite. Le gouvernement a besoin de son soutien. Je connais même certaines délégations faisant un trafic important de bouteilles. Se servir de l'ambassade comme entrepôt de simple transit peut rapporter une fortune en quelques jours. Mais cette pratique est réservée aux diplomates peu scrupuleux dont le rôle au Sokoto est des plus incertains. La contrebande de pierres précieuses à été l'occasion pour certains pays d'ouvrir leur ambassade. Les relations économiques et politiques que ces derniers peuvent avoir vis à vis d'un pays aussi petit que le Sokoto ne justifiaient pas l'ouverture de relations diplomatiques.
L'ambassade de Suisse n'est d'ailleurs composée que d'un seul membre, moi. J'essaye dans cette guerre tribale de calmer les esprits car la Suisse, réputée pour sa neutralité, est un pays qui peut encore arborer son drapeau en face de chacun des camps. Bien que la croix blanche représentée sur ce dernier soit évidente, de nombreuses personnes prennent notre drapeau pour l'emblème de la croix rouge. Pour tous, j'ai aussi une rare qualité, malgré la chaleur torride, je ne bois plus de bière. Ces jours-ci, une bière économisée, c'est un Sokoto vivant de plus.
Chaque soir vers onze heures, je prends ma vieille Land Rover et fonce en direction du palais du gouvernement pour réfléchir avec le président à la façon de relancer la production de bière. La production n'est pas des plus homogène c'est vrai, mais la raison de cette tuerie est surtout que la production de la boisson nationale des Sokotos ne suit pas.
L'Europe s'émeut. On annonce depuis une semaine qu'Heineken affrète un 747 cargo pour le Sokoto. Kronembourg, face à une saison catastrophique des ventes en France à cause d'un climat estival pluvieux, propose au gouvernement français de lui vendre son surplus de production. La bataille publicitaire entre les grandes marques de bière en Europe exacerbe le Président du Sokoto. Il ne voit rien venir et n'a pas les moyens financiers e s'approvisionner suffisamment dans les pays voisins à peine mieux lotis. Le président et moi nous nous rappelons ces journées d'il y a trois ans où un problème d'approvisionnement en capsules avait déjà failli renverser le gouvernement. A cette époque, les Sokotos devaient aller directement à l'usine avec leurs propres capsules récupérées s'ils voulaient être servis. Le prix d'une capsule non détériorée valait plus que le prix d'une bière avant la crise. Toutefois l'usine étant située dans le quartier Wambaras, les émeutes n'avaient pas pris comme aujourd'hui un caractère racial.
Après de longues palabres souvent inutiles et des décisions à court terme, je retournais à l'ambassade chaque jour au petit matin pour me coucher.
Ce matin là, matin, alors que je rentrais en Jeep, j'aperçois un jeune homme blanc courir à perdre haleine. C'était dans un terrain vague situé entre l'université et le quartier des ambassades. Je quitte la route pour aller à sa rencontre. L'ayant rejoint, j'ouvre la portière droite. Tout en continuant à conduire, je lui intime l'ordre de monter. Complètement essoufflé ce dernier plonge dans la voiture en marche. Il était temps, un groupe de guérilleros Wambaras débouche de l'université. Le temps de regarder aux alentours s'il n'y a pas d'éventuels témoins, ils se mettent à nous canarder. Je fonce à toute allure dans le terrain vague pour retrouver le chemin de terre, l'ambassade n'est qu'à quelques centaines de mètres. Je klaxonne pour qu'on m'ouvre le portail. Les Wambaras, je le sais n'attaqueront pas l'ambassade. Le monde entier en serait averti.
L'ambassade est une maison entourée d'un grand jardin, ceinturée par un haut mur qui offre une protection réelle en cas de trouble. Je ne sais pas qui est ce jeune homme, mais il devra bénéficier de la protection de la Suisse. Visiblement les émeutiers souhaitent l'avoir entre leurs mains. Je l'interroge, c'est un photographe comme l'atteste son appareil qu'il tient précieusement dans ses mains.
- Je suis Grand Reporter, me dit-il, je travaille pour l'agence Oméga à Paris.
- Quel âge avez-vous ?
- Vingt cinq ans.
- Je vois que la valeur n'attend pas le nombre des années. Vous avez raison de commencer jeune, on ne sait jamais à quel âge on est forcé d’arrêter un métier comme le votre. Qu'avez-vous fait pour déclencher la fureur des Wambaras ?
- Devinez, je leur est piqué une de leur foutue bouteille de bière, ils n'ont pas apprécié. Merci pour votre ironie concernant mon âge.
Son sourire est sarcastique. Ce jeune homme est totalement inconscient. Je ne dis rien et attend qu'il veuille bien me dire la vérité.
- J'ai photographié des scènes dont les Wambaras n'ont pas à se vanter, le cannibalisme n'est pas mort au Sokoto.
L'affaire est beaucoup plus grave que je ne le pensais. Si photographier des morts peut faire parti d'un jeu macabre accepté par les africains. Les scènes de tueries ou de cannibalisme sont tabou car trop dangereuse pour n'importe qu'elle communauté.
Je téléphone à quelques ambassadeurs de mes amis pour les avertir de cette nouvelle situation explosive. IL faut faire savoir au Wambaras que toute la communauté européenne sait ce qu'ils ont fait, mais que rien ne sera divulgué sur le plan international. C'est pour ce photographe et pour moi notre seule chance de salut. Un coup de téléphone à la Présidence m'assure d'une production permanente de l'ambassade par des soldats.
Me retournant devant mon hôte, je lui dis sur un ton un peu amer.
- Le Président est furieux, il estime ne pas avoir besoin de ce problème. Il ne veut pas entendre parler de vous pour l'instant. Vous êtes sous la protection de la Suisse. Cette information sur le cannibalisme peut étendre les tueries jusqu'au fin fond de la brousse au lieu de les cantonner à la capitale. Cette affaire est bien plus grave que le manque de bière qui peut se résoudre en une ou deux semaines.
- Écoutez, je n'ai tué personne que je sache, je suis simplement témoin, ce n'est pas un crime ?
- Ce qui est un crime est d'être la cause d'une guerre civile. Vous. Vous êtes arrivés au Sokoto depuis combien de temps, il ne me semble pas vous avoir vu ici auparavant ?
- Depuis hier matin.
- Vous êtes particulièrement doué pour dénicher l'information.
La fureur me gagne, ce jeune con arrive droit de son pays pour foutre le bordel dans un pays qui n'a pas besoin de lui pour ça.
- Écoutez, il est tard, onze heures du matin, il commence à faire chaud, allez-vous coucher dans ma chambre, moi j'attends les soldats, de toute façon les Wambaras ne feront plus rien avant ce soir, il fait déjà trop chaud.
Assommé de fatigue par son voyage, le changement de climat et par ses émotions de la nuit, le jeune homme préfère obéir. Je ne souhaite pas créer entre nous une tension que l'on retrouve portée à son paroxysme au delà des murs de l'ambassade.
J'attends de mon côté allongé sur le transatlantique du salon que les militaires veuillent bien venir jusque chez moi. Je tombe de sommeil et maudit ma générosité d'avoir laissé mon lit au jeune reporter. Outre la moustiquaire qui le protège des attaques incessantes des moches, il a un énorme ventilateur qui accroché au plafond brasse lentement l'air surchauffé.
Au milieu de l'après-midi, ne tenant plus d'attendre, je décide d'aller voir dans ma chambre comment se porte mon pensionnaire. Je suis en eau et me lever me demande un courage que je remets à trois reprise à l'instant d'après.
Je le retrouve avec surprise nu, les fesses à l'air. Une légère transpiration coule de ses tempes, ses cheveux sont mouillés, mais le reste de son corps reste sec. L'air lourd que le ventilateur fait lentement glisser sur son corps balaie à grande peine sa sueur. Sa position sur mon lit est sensuelle. Afin de mieux faire profiter sa peau du contact de l'air, ce dernier a largement écarté ses cuisses. En me penchant au dessus de lui, je peux aussi bien voir une partie de ses testicules que le trou de son cul. Il y a longtemps que je n'ai pas eu l'occasion de voir le trou d'un homme, je le regarde attentivement. Niché au fond de la crevasse, il n'est pas facile à voir. Le seul fait de l'apercevoir entouré de quelques poils me fait immédiatement bander. J'examine les plis de son anus et m'étonne qu'ils aient la même couleur que le reste de sa chair. Je les aurais pensé roses ou plus foncés. Mon regard passe de ses fesses relativement plates au trou de son cul. A chaque fois que mes yeux accrochent ce dernier, mes pulsions sexuelles augmentent.
Ce jeune homme a la peau mat, bronzée partout sauf sur les fesses. Ses cheveux son collés sur son visage. Sa respiration est lourde et régulière. Il dort terrassé de fatigue. Je souris en pensant que je ne connais même pas son prénom.
Je ne tiens plus debout, je décide de m'endormir sur mon lit puisque celui-ci est double. C'est presque le cas de le dire, à la guerre comme à la guerre. Si son corps occupe la partie droite de son lit, il n'en va pas de même pour ses jambes largement écartées. Je lui prends le pied gauche et tout doucement le ramène sur le côté. Ce mouvement ne le réveille pas, mais le fait se retourner. Il montre alors son sexe qui pend sur sa cuisse. Il n'est pas circoncis, mais son gland est naturellement décalotté. Je m'allonge sur le lit après avoir ôté mon pantalon, je n'aurais pas supporté de dormir avec. Mon slip est tellement fin qu'il est presque transparent, le coton est si lâche que mon sexe ressort de tous les côtés bien que j'essaye de le cantonner au milieu. Je bande tellement que je ne peux cacher mon état. Si j'avais eu quelques forces physiques je serais allé me branler dans la salle de bains, mais je n'en ai pas le courage..
Je m'allonge et ferme les yeux pour m'endormir, mais une douce odeur envahi mes narines, elle est très agréable. Mon esprit lent prend un instant pour en déterminer la provenance. C'est une odeur de fauve, de sexe. Je pense que ça vient de mon sexe qui bande encore mollement. Je me redresse pour vérifier. Je le sens puis me penche sur celui du jeune garçon. C'est le sien, il transpire et les pales situées au dessus de son sexe répartissent sur le lit sa mâle odeur. Je jette encore un coup d'oeil sur ce dernier avant de m'écrouler vaincu par la fatigue.
Le soir même, c'est le reporter qui me réveille en me secouant.
- J'ai soif, tu n'as pas une bière ?
- Non, je hurle ce mot, aucune phrase ne m'aurait réveillé si brutalement que celle-là. Ce jeune garçon est véritablement un inconscient.
- Excuse moi, j'avais oublié, je débarque quasiment de Paris, tu sais.
Il est encore allongé près de moi, nu. Ses larges épaules penchées au-dessus de moi, il me regarde.
- Maintenant qu'on est camarade de chambrée, tu peux te foutre carrément à poil, me dit-il. T'auras moins chaud et t'auras moins l'air con qu'avec ce slip ridicule.
Je suis un peu vexé, mais puisque mon slip est ridicule, je le retire. Pour se moquer gentiment de moi, il siffle d'admiration en me regardant à poil. J'en suis gêné et mon sexe se gonfle, et ça, ça le fait rire.
- T'as quel âge, me demande t'il ?
- Trente quatre.
- Où là, jeune pour être ambassadeur, même au Sokoto.
- Tu t'appelles comment ?
- Marc
- Enchanté, Philippe.
- Philippe, tu as de la glace ? Est-ce que je peux en mettre dans un Thermos et en rapporter ?
Je m'éclipse quelques instants dans la cuisine pour lui chercher des glaçons. A ce moment là les soldats arrivent. Le temps de me rhabiller, je sors pour aller discuter avec eux. Ils resteront à l'extérieur autour de l'enceinte. Je rentre suivi de quelques soldats. Chacun d'eux porte une caisse de bière dans les bras. Je ne peux leur refuser de garder leur bière fraîche bien que cette situation me gène. Arrivés dans le salon, ils sont tous aussi étonnés que moi de croiser Marc nu. Cette situation m'embarrasse encore plus. Très naturellement ce dernier déclare :
- Ah de la bière fraîche, quelle bonne idée.
- Cette bière n'est pas pour nous, je ne fais que de la leur garder, c'est compris ?
Marc me fait un signe d'approbation, mais il en piquera une dès que les soldats seront repartis.
- Ça ne vaut pas une bonne Carlsberg, mais ça se boit.
J'ai envie de le massacrer et prie le seigneur que personne ne se mettent à compter ses fichus bouteilles.
- Alors ces glaçons, tu les as ? Apportes les dans la chambre.
Marc s'est de nouveau allongé sur le lit, toujours nu. Il me demande de lui passer un glaçon sur le dos pour le rafraîchir. Je me suis calmé et exécute sa demande. J'en passe un sur sa peau. Son dos est large et mon glaçon fond rapidement. Je dois rapidement en prendre un autre du thermos.
Amusé, je joue avec son corps, je laisse le glaçon fondre tout seul sur sa peau et observe ses réactions. J'en passe un autre sous ses aisselles, il ne réagit pas, son cou est l'objectif d'une nouvelle tentative pour le faire protester mas sans grand succès. Visiblement, il prend plaisir à ce jeu. Il ne dit toujours rien lorsque l'un d'entre eux placé sur la chute de ses reins fond en inondant son entrefesse. Au contraire il écarte les cuisses de plus belle. Une première goutte coule lentement jusqu'à son anus et s'arrête là. Une seconde la rejoint aussitôt en suivant le lit tracé par la première? Ces deux gouttes d'eau commencent à former un mini lac sur son anus. Une troisième le fait presque déborder. Une quatrième précipite le tout sur ses testicules d'où les gouttes éclatent sur l'intérieur de ses cuisses.
Marc à ce moment soulève son bassin et passe rapidement la main sur son sexe. Ce dernier gonflé à bloc, le gène, il le déplace. Le mien aussi bande comme celui d'un taureau. Allongé sur le côté je ne le cache même pas. Marc le visage enfoui dans son oreiller ne le voit pas.
Je décide de lui enfoncer dans l'anus un glaçon à peine fondu, sa forme me fait penser à un suppositoire. Celui-ci glisse avec facilité et mes doigts appliquent une caresse furtive sur cette douce partie de son anatomie. Marc hurle mais ses cris restent étouffés par l'oreiller. Il ne relève pas la tête et se contente d'éjecter le glaçon et de serrer les fesses. Ces dernières se rouvrent toutefois presque aussitôt. Ils me semblent qu’elles s’offrent. Je repasse délicatement un doigt glacé sur son anus, celui-ci s'entrouvre légèrement. J'enfile à nouveau un glaçon, Marc de réagit cette fois pas.
Je n'en peux plus, je monte sur Marc qui ne réagit pas. Je le pénètre, il hurle. Mon gland s'enfonce tendrement dans ce havre de fraîcheur. Enserré dans ce trou je sens mon sexe plus gros qu'il ne l'a jamais été. Le bout de mon gland enfonce à chaque va et vient le reste du glaçon encore plus profondément. Celui-ci disparaît vite, j'en remets un gros à sa place. Marc geint doucement, moi je fais un effort de volonté pour me retenir. Je ne sais pas quelles sont les sensations qui habitent mon corps. Il y a la fournaise de la pièce, la fraîcheur relative de son dos que je continue à caresser d'un glaçon et sur lequel mon ventre se rafraîchit. Il y a aussi sa muqueuse serrée autour de mon sexe et le froid de la glace que mon gland repousse à chaque instant.
N'en pouvant plus, je mords son épaule. Sa peau est douce est élastique, elle s'enfonce dans ses muscles sous la pression de mes dents. D'un coup de canine je raye sa peau qui devient rouge et je m'attaque à son cou que je mordille de ma bouche ouverte. Jamais pulsion ne m'a étreint comme ça. Mes mouvements se font de plus en plus rapides et brutaux. Marc déjà raidit se retient d'hurler à chacune de mes poussées. Je ne veux pas l'abîmer, mais je ne peux plus me contenir. L'odeur de son corps me rend fou.
J'explose en de nombreuses vagues de sperme. A la fois exténué et apaisé. Un océan de bien-être m'envahi. J'aimerais rester là des heures si je ne savais quel monument de souffrance c'est pour moi que de m'avoir sur lui. Je glisse mon énorme sexe en dehors de son anus qui n'a même plus la force de se refermer. La vue de mon gland sortant de ce trou béant me ferait presque bander de nouveau.
Je décolle lentement le visage de Marc collé par la sueur à l'oreiller. La transpiration lui marque le visage, ses yeux restent fermés collés. Il ne bouge plus, totalement abandonné à la chaleur. Je pose lentement mes lèvres sur ses paupières et les lèche consciencieusement, mais Marc préfère garder les yeux fermés. Ma langue glisse alors doucement entre ses dents. Les faibles mouvements de sa bouche contre la mienne m'indique tout le plaisir qu'il a eu de moi.

A suivre . . .

Vidéo du jour

N'oublie pas le Spermathon, sois généreux.

Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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