Lundi 7 août 1 07 /08 /Août 00:05

Bonne semaine, ami du blog

 

 

Durant toute cette semaine, je serai encore en vacances, loin du stress et du net, le corps nu sur la plage à me faire dorer au soleil.  

Cela n'empêche pas le blog de continuer à bouger grâce à ta précieuse collaboration. Les articles qui paraissent actuellement ont été préparés avant mon départ.

Pour commencer cette semaine, je te propose une bonne petite histoire :

Aventure avec Kamel

Kamel, je l'ai connu grâce à son frère Amir qui était à la maternelle avec moi et avec qui j'ai fait les quatre cents  coups : les premiers touches pipi, la première cigarette, ...
Amir, c'est plus qu'un copain pour moi, c'est un ami, c'est mon frère.
Dommage qu'aujourd'hui il préfère draguer les filles; et là j'arrive pas à le suivre. 
Avec Kamel, par contre, on est sur la même longueur d'onde. Les premières expériences que je n'ai pas faites avec Amir, je les dois à Kamel.
Du plus loin que je me souvienne, entre Kamel et moi, le courant est toujours bien passé. De trois ans mon aîné, il m'a tout de suite pris sous sa protection, me prodiguant gestes affectueux et câlins plus qu'il ne le faisait vis-à-vis de son frère pourtant du même âge que moi. A-t-il découvert inconsciemment quelque chose de particulier en moi ? M'a-il trouvé plus sensible, plus fragile que son frère ? C'est possible. Il est vrai qu'Amir s'est toujours montré plus fort, plus viril que moi. De la paire d'ami que nous formions, c'est lui qui dirigeait. Moi, je ne faisais que le suivre.
L'histoire que je vais raconter date d'il y a quelques années. J'étais alors en quatrième. Je n'étais plus dans la même classe que Amir qui n'était  pas très doué pour les études. On se voyait pourtant très souvent, le soir après l'école et surtout les jours de congé.
Ce mercredi-là, je devais le retrouver chez lui, je ne sais plus pour faire quoi. Toujours est-il que lorsque je suis arrivé chez lui, près de l'entrée des garages où on se retrouvait habituellement, il n'y était pas.
Par contre, Kamel était là, assis dehors près de la porte qui donne accès aux caves. Il m'expliqua tout de suite que je ne devais pas attendre Amir qui s'était fait collé pour tout l'après-midi. Kamel, lui attendait un mec pour qui il devait faire une petit boulot, lui monter un meuble à son appartement. Il me dit alors que c'était un mec cool qui payait bien avec plein de "petites faveurs sur le côté". Et il ajouta que c'était le mec avec lequel il avait déjà vu les films X dont il m'avait parlé à plusieurs reprise, puis après un temps d'hésitation, il me dit que si ça m'intéressait je n'avais qu'à monter le meuble avec lui et que le mec me laisserait sans doute regarder aussi. Il m'avoua alors qu'il devait avoir à peu près mon âge la première fois que le mec lui avait laissé voir un film.
Quelque temps plus tard, le mec arriva en voiture avec une remorque dans laquelle se trouvait une petite armoire. Il salua Kamel puis, en me regardant de la tête aux pieds, lui dit : "c'est bien, je vois que tu as pris du renfort". Kamel lui répondit que j'étais un copain désoeuvré qui avait très envie de voir sa collection de cassettes.
Le meuble fut vite monté, on avait pu le caser dans l'ascenseur. Il fallait aller le mettre en place dans la chambre du mec. Enfin quand je dis la chambre, c'était plutôt un vrai capharnaüm; tout était sans dessus dessous ; les vêtement jetés n'importe comment par terre, mélangés avec des revues pornos, des essuies tout usagés, sur la table de nuit un cendrier qui débordait, une bouteille de vodka vide et encore une revue ouverte à une page sur laquelle il y avait un poster d'un mec en train de se branler et de juter. Je dois dire que je n'avais jamais imaginé jusqu'à ce jour-là qu'on pouvait faire de telles revues.
Une fois le meuble en place, le mec nous dit que nous avions bien mérité une petite collation, que nous pouvions nous installer à notre aise et nous servir de ce qu'on voulait, pendant que lui, il allait arranger la chambre et remplir l'armoire. Il ajouta que Kamel connaissait la maison et qu'il pouvait faire comme chez lui.
Kamel m'entraîna dans le salon et m'attira vers l'étagère où étaient rangées les cassettes. Il me les montra et je dois dire que rien qu'en voyant les pochettes, j'en étais tout excité et pour la deuxième fois depuis que j'étais dans l'appart, je sentais ma queue se gonfler dans mon boxer. 
Il m'est difficile de vous dire quel était vraiment mon état d'âme à ce moment-là. J'étais un peu gêné de découvrir toutes ces images que je n'imaginais pas, mais surtout très excité par cette découverte ; j'avais le coeur qui battait à toute allure comme après une course. Je crois que je devais être tout rouge et en transpiration. Ca devait se voir car Kamel me regarda et se mit à rire :"Ah ah ! T'en reviens pas hein de voir tout ça. Tu es sûr que tu veux voir les films ? Surtout t'en parle pas aux autres, hein, sinon j'aurais des ennuis moi". Comme je lui répondais que c'était sûr que je voulais le voir et que j'oserais pas en parler chez moi, il me sera fort contre lui et m'embrassa dans le cou en me disant qu'il m'aimait beaucoup et qu'il se ferait damner pour moi.
Il fit le choix d'un film en précisant que c'en était un qu'il n'avait jamais vu et me fit m'asseoir en me disant de me mettre à mon aise car je risquais d'avoir chaud.
Après avoir mis la cassette dans le magnéto, il s'assit dans le fauteuil à côté de moi, détacha la ceinture de son pantalon qu'il déboutonna et comme j'avais l'air surpris, il m'expliqua que ça valait mieux, qu'il faisait toujours comme ça et que bien souvent, il enlevait tout de suite le pantalon.
Le film n'était pas commencé depuis longtemps que j'avais la queue complètement dure qui me faisait mal dans mon pantalon. Les scènes que je voyais pour la première fois m'excitaient au plus haut point. Je comprenais pourquoi Kamel s'était déboutonné dès le début et m'avait dit que d'habitude il enlevait directement le pantalon. J'avais bien envie maintenant de le faire, mais j'étais un peu gêné, surtout que je craignais que le mec n'arrive après son rangement et nous surprenne.
Je jetai un regard vers Kamel, il se caressait lentement la queue à travers le slip. La forme de son sexe en érection était visible et de le voir ainsi se caresser m'excitait plus que le film lui-même. Je me décidai donc de suivre son exemple et de me déboutonner le pantalon. Kamel passa alors la main sur ma jambe en me disant de me mettre à mon aise. Il retira son pantalon et m'aida à retirer le mien. Il me fit remarquer qu'il n'y avait aucune honte à avoir et que lui aussi il bandait comme un malade.
Il arrêta le film et me proposa un verre, un Martini pour fêter mon premier film porno. La pose était la bienvenue pour me calmer l'excitation dans laquelle j'étais et qui me donnait une très grosse envie de me branler pour jouir. Après avoir servi les verres et bu une première gorgée, il entreprit de se déshabiller ne gardant sur lui que son caleçon. Il m'invita à faire de même et je lui obéis. J'étais résolu de me laisser complètement guider par lui dans mon apprentissage et de découvrir avec lui tous les plaisirs du sexe.
Kamel se rassit tout contre moi, sa main sur ma jambe pour me caresser. Enhardi par ses caresses, je mis ma main sur sa jambe et nous reprîmes la vision du film.
Ses caresses étaient délicieuses et me donnaient très envie de jouir. Progressivement, je dirigeai ma main vers sa queue, il me laissa la prendre en me serrant la cuisse avec la main qu'il avait sur ma jambe, puis soudain se retourna vers moi pour m'embrasser à pleine bouche, puis descendant lentement, il m'embrassa dans le cou, puis plus bas encore sur les seins puis le nombril, le pubis et, baissant mon slip, sur les cuisses entre les deux jambes et les couilles qu'il se mit à me lécher. C'était divin. Jamais je n'avais ressenti de telles sensations. C'était nettement mieux que le plaisir que je pouvais me donner à moi même quand je me branlais. Je me mis à gémir ; je n'allais pas tarder à jouir.
Kamel dû le sentir. Il s'arrêta en me demandant si j'aimais. Je lui répondis dans un gémissement de plaisir que j'aimais et qu'il pouvait continuer. Il me dit alors qu'il ne fallait pas aller trop vite et que plus on faisait durer le plaisir et plus la jouissance était grande. Puis en me disant que tout cela lui donnait soif, il me tendit mon verre et prenant le sien, il le fit cogner contre le mien en disant "à ta santé, mon frère de sexe ; je sens qu'on va faire de grandes choses ensemble".
Je ne pensais plus au film. Je n'avais plus en tête que l'idée de me donner totalement à Kamel et du plaisir intense que cela me procurait. Je ne regardais plus un film, je le vivais. J'en fis la remarque à Kamel, ce qui le fit rire.
Son rire m'excita davantage. L'envie me prit d'embrasser la bouche qui laissait échapper ce rire et du même coup, nos langues se trouvèrent réunies. Couché l'un sur l'autre, nos sexes se rencontrèrent et se frottèrent l'un contre l'autre. Je n'en pouvais plus et me mit à gicler sur lui.
"Petit cochon" me dit-il doucement en m'embrassant, "regarde ce que tu as fais ; tu mérite une correction". Puis se redressant au dessus de moi, il se mit à se branler rapidement.  Bien vite, il m'arrosa de son foutre chaud.

 

Pour continuer agréablement, voici la petite vidéo du jour :

Clique et mate

 

Le Flash Back

Publié le 25 mai, ce joli pic en pleine ascension mérite le détour. Je t'invite à le revoir. 


Pour améliorer le blog j'ai besoin de ton avis

 

 

Choisis le prochain Mecamater

Participe généreusement au Spermathon

 

 

A la prochaine

 

 

Avant de quitter cette page, sois sympa, laisse un petit mot amical à l'attention des autres visiteurs en cliquant sur 'Ajouter un commentaire'.
Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Retour à l'accueil
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés