Mercredi 16 août 3 16 /08 /Août 13:42

Salut l'ami

Si j'ai bien compris, les photos publiées hier ont disparu pendant plusieurs heures. J'en suis désolé et j'espère que le problème ne se reproduira pas prochainement.

Cet incident résulte de la combinaison d'une réduction de mon espace de stockage sur over-blog et d'une panne de serveur chez ifrance.

En effet, alors qu'il me restait près de 30% de l'espace de stockage pour les photos avant mon départ en vacances, je n'en avais plus aucun lorsque je suis rentré lundi. Pour parer au plus pressé, j'ai donc mis les images de cette semaine sur mon site ifrance. Malheureusement, une panne de ce serveur vous a empêché de les voir. Maintenant, tout est rentré dans l'ordre, mais il me semble nécessaire de faire un petit nettoyage au niveau des photos du blog si je souhaite poursuivre l'aventure.

Je ne le ferai pas aujourd'hui car je t'voue que j'ai un peu mal aux cheveux après la nuit que je viens de passer dans les petites rues de la République libre d'Outremeuse. Bouquettes, bières et pèkets, me voilà bien barbouillé. 

Pour tout dire, mon Tchantchès est en train de ronfler comme une vieille tronçonneuse, couché sur le ventre avec son petit cul à l'air qui m'invite à le rejoindre. Je ne vais pas tarder à aller me recoucher près de lui mais je crains bien qu'au point où il en est, il ne se rende compte de rien si je lui grimpe sur le dos. De toute façon, je ne suis pas sûr de pouvoir encore dresser la queue même si j'en ai très envie.

 

Ne te fais pas de soucis, je te dépose une petite histoire avant d'aller me recoucher. Je l'ai trouvée sur Textes Gays, une véritable mine d'or pour les amateurs d'histoires à branler.

Je faisais partie d'une troupe de scouts et nous étions au camp dans les Ardennes. C'était mon troisième camp. J'étais dans une patrouille de six. Le CP était le plus âgé, il devait avoir un an de plus que moi et se prénommait Jean. Jean était assez mince, il mesurait 1 mètre 80 et avait les cheveux noirs. Il y avait aussi Roland, plus petit, assez trapu, il avait le même âge. Les trois autres, Philippe, Marc avaient et Henri étaient plus jeunes d'un an.
Comme tous les scouts nous logions sous la tente. Chaque patrouille avait sa tente et son auvent. Nous faisons du woodcraft (constructions en bois), nous construisions une table avec bancs, un feu sur table, et un portique. Après quatre jours de camp, les patrouilles partaient en hike. Pour partir en hike nous ne prenions que le minimum dans nos sacs à dos. Nous avions chacun notre sac de couchage, un pull pour le froid, une lampe de poche, la gamelle, une paire chaussette, et de la nourriture. Ma patrouille avait décidé de se rendre à plus de 25 kilomètres du camp, nous devions traverser une grande forêt avant d'arriver sur un plateau. Après quelques heures de marche nous sommes arrivés sur le plateau. Le temps s'est mis à changer. Les nuages arrivaient et le vent se levait. Ce que nous n'avions pas envie d'avoir, c'est la pluie. Rien n'y fit, la pluie s'est mise à tomber. Au fur et à mesure que nous avancions, il pleuvait de plus en plus fort. Jean, le CP, avait repéré une ferme au loin. Nous nous sommes dirigés vers cette ferme pensant avoir un toit pour s'abriter. Jean fut le premier à la porte et il pris contact avec la fermière. Nous voyant trempé jusqu'aux os, elle nous permis de nous installer dans la grange. Nous nous sommes installés dans la grange, sur la paille. Nous étions enfin à l'abri. Pour ne pas avoir froid avec nos vêtements mouillés, nous nous sommes déshabillés. Une fois en caleçon, nous avons préparé nos sacs de couchage. Avant de nous coucher, Jean nous a dis : pas de chichi, tous à poil, on ne va pas garder notre slip mouillé pour dormir. D'un geste il ôte son slip. Jean avait un sexe assez fin mais long, ses fesses étaient bien galbées. Les autres se mirent aussi à poil ; Marc avait aussi un sexe assez fin, Philippe lui avait un petit sexe, je me suis dit c'est peut-être dû au fait que nous avions froid ; Roland, avait ôté son slip en cachant son sexe avec sa main ; quant à Henri, il avait quelques poils blonds qui poussaient, il était au début de la puberté. Je me décide alors à enlever mon slip. Nous nous sommes mis à rire en nous voyant comme ça tous à poil au milieu de la paille. Pour ne pas avoir froid nous nous sommes couchés, de plus il se faisait tard. Une fois dans mon sac de couchage je me suis mis à bander. J'avais trouvé une place près de la porte de la grange et Henri était à mes côtés.
Marc avait froid, il tremblait tout comme Philippe. Jean se mis alors à frictionner le dos de Marc au travers du sac de couchage. Voyant ça Roland fit de même à Philippe. Je me suis tourné vers Henri. Il ne disait rien. Je lui demande s'il n'a pas froid, il ne me répond pas. Jean avait entre ouvert le sac de Marc et il lui caressait le dos, à mains nues ; Marc semblait apprécier les caresses de Jean. Roland lui aussi s'était en partie relevé pour réchauffer Philippe, il lui réchauffait les pieds en passant les bras dans le sac de couchage de Philippe. Je fis signe à Henri de se rapprocher de moi. Je me suis penché vers lui et je lui ai souffler à l'oreille « veux-tu que je te réchauffe ? » Henri, fit oui de la tête. J'ai ouvert mon sac de couchage, ensuite j'ai ouvert le sien. Je lui ai fait signe de venir se blottir près de moi dans mon sac de couchage. Henri ne se fit pas prier, il se glissa auprès de moi et se blotti de suite contre mon corps. Il me susurra à l'oreille « que tu as bien chaud,… heu… merci ». Les autres ayant vu ce que Henri et moi avions faits, firent de même de leur côté. Philippe alla rejoindre Roland et Marc alla rejoindre Jean dans son sac de couchage.
Henri était aux anges, il se blottissait tout contre moi, cherchant la chaleur de mon corps. Je caressais le dos, les bras et le ventre d'Henri. Henri se réchauffait petit à petit. Il ne tremblait plus et semblait apprécier mes caresses. Moi de mon côté, j'étais heureux d'avoir Henri dans mon sac de couchage. Je bandais à mort et j'essayais de ne pas le montrer à Henri.
Il faut avouer que j'avais déjà eu des pensées envers Henri, j'avais rêvé de le serrer dans mes bras, j'avais rêvé de lui faire découvrir mon corps, j'avais rêvé de lui donner du plaisir, en un mot le masturber, le faire jouir.
Henri s'est mis à son tour à me caresser le dos, à me « réchauffer », comme il disait ; or, je n'avais pas froid, dans l'état d'excitation dans lequel j'étais. Mon sexe était dur et semblait vouloir éclater suite aux sensations que j'éprouvais à l'égard d'Henri. Je me mis à caresser ses jambes, ses cuisses. Henri m'imitant fit de même ; il se mit à me caresser les jambes, les cuisses et il remontait vers le dos en passant par mes fesses. Mon sexe quant à lui palpitait, se gonflait d'avantage. Je me mis alors à caresser les fesses d'Henri et n'y tenant plus je mis ma main sur son sexe. Henri ne broncha pas, je sentais son sexe dur, il était assez petit et dur et dressé, n'attendant plus qu'on s'occupe de lui. Je me suis mis à décalotter sa verge, je me suis mis à faire de mouvements de va et viens sur sa tige, je voyais qu'Henri fermait les yeux, il semblait apprécier. Durant plus d'un quart d'heure j'ai branlé la tige d'Henri. Je multipliais les mouvements lents et rapides sur sa tige, je lui caressais les couilles à peine couvertes de poils blonds, je me rapprochais de lui, je le serrais dans mes bras, je lui procurais tout le plaisir possible. La respiration d'Henri se fit de plus en plus rapide, il gémissait de plus en plus, je sentais son sexe gonflé au maximum, prêt à répandre toute sa sève. D'un coup, Henri se mit à me crier, je vais pisser ! Il n'en était rien, je sentais son corps se contracter, et d'un coup il éjacula dans ma main cinq à six longs jets de sperme. En fait c'était la première fois qu'Henri éjaculais en dehors de ses rêves nocturnes et humides.
Henri me demanda pardon pour avoir ainsi sali mon sac de couchage. Je lui ai répondu en lui donnant un baiser sur la bouche. Il a fait un petit mouvement de recul et puis il s'est rapproché de moi. Il a tendu ses lèvres et nous nous sommes embrassés, il laissait ma langue titiller la sienne, il laissait la sienne passer dans mes lèvres. Nous nous sommes embrassés ainsi quelques minutes. Les autres de leur côté n'étaient pas en reste, ils se caressaient bien la tige mutuellement et ne s'intéressaient pas à ce que Henri et moi faisions.
Après ce long baiser, Henri posa sa main sur mon sexe encore dur et dressé. Il me rendit les caresses que je lui avais faites auparavant. Il s'y prenait maladroitement, et me faisait un peu mal. Je lui ai dit de ne pas s'énerver, de prendre tout son temps, de se relâcher, d'y aller voluptueusement. Henri prenait de plus en plus d'aplomb, il se concentrait pour me faire plaisir, pour me donner du plaisir. Je sentais qu'il aimait me branler, qu'il aimait me caresser, qu'il aimait le contact avec un autre garçon. Il me fit monter au ciel, il me fit décharger comme je n'avais encore fait, j'ai éjaculé à grand renfort de gémissement, j'étais en extase, Henri m'avait branler comme un homme sait le faire. Il venait d'apprendre à donner du plaisir à un garçon.
Les autres avaient arrêté de se caresser, ils avaient assisté à mon émoi, ils n'en revenaient pas. Henri et moi, nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre jusqu'au matin.
 

 

 

Et pour finir, la petite vidéo.

N'oublie pas de faire un petit don au spermathon, sois généreux, il n'est pas interdit de donner chaque jour.

En ce qui concerne le Mecamater, on est encore loin d'avoir les 50 voix nécessaires pour désigner le vainqueur.

Enfin, tu me ferais bien plaisir en répondant à ma petite enquête. Tu serais vraiment très sympa de faire ça pour moi.

A la prochaine

Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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