Vendredi 18 août 5 18 /08 /Août 01:47

Salut ami Gay, bi ou hétéro

Est-ce encore l'été ? Côté temps, ce n'est plus vraiment ça. Ce n'est pas ce jeudi que nous aurions pu faire une petite bronzette intégrale.

Comme prévu, nous sommes allés chez Tonton pour discuter d'un nouveau jeu à mettre en ligne sur son site BFG-Jeux. Le principe est assez simple. Il s'agit de retrouver le roi et la reine de coeur parmi les 54 cartes du jeu. On y arrive en retournant les cartes les unes après les autres. Jusque là, rien de bien chinois. Ce qui fait l'intérêt du jeu, c'est qu'il y a quelque chose sous chaque carte. Ca peut être une question à laquelle il faut répondre correctement sous peine d'être soumis à un gage ou un cadeau du type petite vidéo à mater...
Inutile de te dire que tout cela tourne autour du sexe.

Nous étions 5 : Tonton, Julien (c'est lui qui a eu l'idée du jeu), Martin, Sacha et moi. Nous avons beaucoup travaillé et très sérieusement. Mais nous avons aussi un peu testé. Malgré le temps, ça a été très chaud...

Je n'en dis pas davantage, tu pourras découvrir par toi-même quand le jeu sera mis en ligne. Je ne sais pas quand ce sera car le travail n'est pas encore terminé. On n'imagine pas le travail qu'il y a derrière un jeu comme ça. Enfin, le plus gros est fait, mais dans ce genre de chose, ce sont souvent les petits détails techniques qui prennent le plus de temps. Surtout que nous ne sommes pas des professionnels de la programmation.  

En tout cas, le jour où ça va sortir, je te conseille d'inviter des copains chez toi pour le découvrir à plusieurs, Evidemment, les copains à inviter son à trier sur le volet. C'est plus proche du strip poker que de la belotte à jouer avec la belle-mère.

Maintenant, je suis 'crevé', mais avant d'aller dormir, je te propose la suite de l'histoire du camps scout.

Henri avait passé la nuit avec moi dans mon sac de couchage. Au matin il s'était blotti une nouvelle fois dans mes bras. Il m'avait regardé me réveiller et il m'avait souri, il avait l'air angélique et ses yeux étaient pétillants, il y avait comme une douce chaleur qui se dégageait de son corps collé au mien. Il m'avait dit au creux de l'oreille « merci », merci pour ce qu'il avait vécu la veille au soir, merci pour la nuit qu'il avait passée avec moi, merci d'être encore dans mes bras au réveil.
Nous nous sommes tous levés et nous n'avons pas parlé de ce qui c'était passé entre nous. Nous avons bouclé nos sacs et après le petit déjeuné, nous avons remercié la fermière pour son accueil. Nous avons poursuivi notre chemin pour nous retrouver au soir au camp.
A la veillée, les CP des patrouilles racontaient au reste de la troupe le déroulement du hike. Jean, notre CP, a raconté le déroulement de notre hike ; il racontait notre marche sous la pluie, notre rencontre avec la fermière qui avait proposé de loger dans une grange, le retour au camp après avoir ramassé des fleurs et des feuilles pour notre herbier. Jean n'avait pas parlé de nos ébats dans la paille de la grange. Après avoir chanté à tue tête autour du feu de camp, après avoir salué les chefs, chaque patrouille regagna sa tente.
Contrairement à la nuit précédante, il faisait assez chaud. Jean se mis à se déshabiller, il ôta tous ses vêtements pour se retrouver nu comme un ver. Il se glissa dans son sac en tenue d'Adam. Chacun de nous fit de même et nous nous sommes tous retrouvés nus dans nos sacs respectifs. Nous nous sommes endormis assez vite après le hike qui nous avait épuisé.
Au matin, alors que je dormais encore, j'ai senti un frôlement, plutôt une présence à côté de moi. Je n'y fis pas attention. Quelques minutes après, le frôlement se fit plus précis, je sentais qu'une main s'était introduite dans mon sac de couchage, elle remontait le long de mon dos, elle redescendait vers mes fesses, passait dessus, et elle poursuivait le long des cuisses. Ces caresses ne me laissaient pas indifférent, je me mis à avoir la trique. Je ne bougeais pas, je me laissais caresser, je sentais cette main voyager sur mon corps, elle passa alors sur mon ventre pour descendre vers mon intimité dressée, elle s'arrêta sur mon sexe en érection, elle l'enveloppa et se mis à faire des mouvements de va et vient. Je commençais à gémir tellement la caresse était voluptueuse, je me demandais qui était à côté de moi, je me souvenais que je dormais à côté d'Henri. Je me suis mis à chercher d'une main l'ouverture du sac de couchage de mon branleur, ma main trouva le ventre de mon voisin, elle descendit directement vers l'intimité dressée d'Henri. En fait dès que j'ai posé la main sur son sexe, j'ai su que c'était Henri. J'avais pu avoir son sexe en main lors du hike et ma main se souvenait de ce contact doux avec cette peau lisse et des quelques poils blonds qui poussaient au-dessus de ce sexe d'adolescent que je caressais avec volupté. Henri avait fait des progrès, il alternait les mouvements lents et rapides, au bout de quelques minutes, il senti que j'allais déverser ma semence sur sa main, il resserra sa main sur mon sexe, et termina lentement sa masturbation. De mon côté je sentais qu'Henri était sur le point d'éjaculer, il se cambrait, il respirait plus fort, il se cabrait. D'un coup j'ai senti son sperme se répandre dans ma main et moi je me laissais aller dans la sienne. Henri avait le même regard, le regard qu'il avait au matin de notre réveil dans la grange, Henri était encore aux anges, il avait découvert le plaisir entre garçon et montrait qu'il y avait pris goût. Nous venions de vivre un moment très plaisant. Les autres dormaient toujours et n'avaient pas entendu nos ébats.
Avant ce camp je ne connaissais pas bien Henri, pour moi il était simplement un jeune scout dans ma patrouille et rien en lui n'avait de quoi m'attirer. Je ne savais pas que j'allais ainsi découvrir qu'Henri était un garçon assez timide, gentil et qui était toujours de bonne humeur. Il se rapprochait de moi, il m'étonnait de plus en plus. Chaque jour il progressait, il faisait tout pour plaire, pour me plaire. Moi je n'étais pas insensible à la façon de se comporter d'Henri. Je cherchais sa compagnie, je voulais l'accompagner pour la corvée bois ou la corvée eau. J'étais finalement attiré par Henri, par sa jeunesse, par sa sensibilité, par ses gestes précis et calmes, par ses attitudes, par ses sourires, par sa joie de vivre, par sa vitalité, insouciant de l'avenir.
Le soir suivant, nous nous retrouvions dans nos sacs de couchage, nus. C'était devenu une habitude, nous nous retrouvions nus dans la tente, nous avions surmonté nos pudeurs, nous pouvions nous montrer tels que nous étions, de beaux ados pleins de vie. Philippe dit alors, « j'ai la trique ». Nous nous sommes tous mis à rire. Jean lui a dit « branles-toi alors ». Philippe se mit sur son sac la queue en l'air et se mit à se masturber. J'avais la queue qui se dressait, je bandais aussi. Roland se mis aussi sur son sac et se mis à se caresser. Finalement nous étions six la queue en l'air en train de nous masturber. Ce fut Jean qui déchargea le premier suivi de Roland et moi, les autres éjaculèrent chacun à leur tour. Nous nous sommes ensuite coucher.
Au matin, avant le levé, j'ai senti la main d'Henri me caresser le dos, les fesses. Je me suis retourné face à lui, il avait encore ce regard d'ange, son visage était illuminé. Je me suis rapproché de son visage, mes lèvres se sont posées sur les siennes, j'ai ouvert ses lèvres avec ma langue, il me laissa fouiller sa bouche et à son tour il laissa sa langue aller dans ma bouche. Nous nous sommes enlacés, nous nous sommes étreints, nos mains se promenaient sur nos corps, sur nos fesses, sur nos jambes. Nos sexes étaient plaqués l'un sur l'autre, ils étaient dressés, ils étaient tendus à l'extrême par cette chaleur qui montait de nous, de nos ébats. Nous nous sommes masturbés mutuellement, nous nous sommes fait monter, nous avons laissé libre cours à nos instincts, nous avons jouis presque en même temps. Reprenant nos esprits, nous nous sommes rendus compte que Marc se branlait, il nous avait vu nous étreindre, nous donner du plaisir, il était sur le point de cracher toute sa semence, il se contractait, et d'un coup six longs jets tombèrent sur son ventre. Marc aussi était heureux, il venait de ressentir des émotions nouvelles, il venait de découvrir qu'il aurait aimé être à la place de l'un de nous pour connaître lui aussi cet émoi entre garçons.
Chaque matin c'était le réveil en douceur, les caresses échangées avec Henri sous les sacs de couchages avant que les autres ne se réveillent. Henri et moi nous étions devenus les meilleurs amis du monde. Nous ne redoutions qu'une chose, c'est que le camp finisse trop tôt.

Pour terminer en beauté, comme chaque jour, je te propose la petite vidéo coquine.

Clique et mate

N'oublie pas ton petit don au  spermathon. c'est pour les bonnes oeuvres de l'Association SOS.

En ce qui concerne le Mecamater, on est encore loin d'avoir les 50 voix nécessaires pour désigner le vainqueur.

Enfin, tu me ferais bien plaisir en répondant à ma petite enquête. Tu serais vraiment très sympa de faire ça pour moi.

 


 A la prochaine

Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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