Samedi 23 septembre 6 23 /09 /Sep 02:01

Ami du blog, bonjour

 

Que vas-tu faire ce week-end ? Si tu as envie d'un bon plan chaud sexe avec un mec qui ne se prend pas la tête ou d'une petite partie de branle entre mecs pas coincés, et si tu n'as encore personne avec qui réaliser ce plan, tu peux toujours consulter les annonces du blog ou déposer la tienne, sait-on jamais...

Si tu préfères rester seul chez toi ou si tu ne peux pas faire autrement, le chatàcam de Keumzone peut t'aider à passer de bons moments.

En attendant, je te propose une petite histoire à lire la main sur la queue :

Ce samedi, il faisait trop bon, le genre de samedi  où l’on veut  profiter des bonnes soirées bien chaudes. Moi, j’ai pas trop l’habitude des cités. Je bande quand j’y pense car j’imagine tous les lascars qui traînent la dedans. Ça doit se vider les couilles à la chaîne dans les caves et les parkings.
Ce samedi là, je suis a Lille et j’en profite pour aller visiter un ami qui habitait casablanca avant. Il habite maintenant une des cités de la ville. J’me pointe, il habite en haut d’une tour, au 15ème étage. Après avoir tapé la discute avec lui, j’lui dis au revoir, il ferme la porte et je vais sur le palier pour appeler l’ascenseur. J’attends qu’il arrive et j’entends derrière moi des voix graves de mecs et puis une porte qui s’ouvre : je kiffe trop ce que je vois : deux militaires, grands, les cheveux presque rasés, l’un imberbe, 1m85 l’autre avec une barbe de 2-3 jours, 1m90 au moins. Ils ont l’air carrément musclés sous leur survet. De vraies bêtes.
Ils se taisent en me voyant et ils se pointent à côté de moi pour attendre l’ascenseur. Je sens leur odeur, un mélange de sueur et de virilité. On se retrouve vite dans l’ascenseur, et moi, j’appuie sur le bouton du rdc. On était au niveau du 10ème étage quand le plus grand a appuyé sur le bouton du 4ème sous-sol, le dernier sous-sol. Quand les portes se sont ouvertes, au rdc, ils sont pas sortis. Je kiffais tellement de les sentir derrière moi, que je suis pas sorti non plus. Quand les portes se sont refermées, ils ont vite compris que j’avais changé d’avis…
" Alain, j’crois qu’on a chopé une bonne femelle qui va bien faire c’qu’on lui dit ce soir ! " lance le plus petit qui a la peau super lisse et des yeux bleus transperçant. Et vla qu’il commence à te tâter le paquet à travers son survet. Il s’appelle Stéphane celui-là. Je commence à avoir la trouille et à regretter de ne pas être sorti plus tôt, en particulier quand il sort sa queue : un morceau de bien 22 cm sur 4,5 de large, une queue bien droite, circoncise et qui semblait déjà dure comme du béton ! Elle est trop belle, je me mets à bander même si en vérité, j’commence à m’inquiéter : je me fais pas souvent prendre et j’ai le cul serré. J’espère seulement qu’il ne cherchera pas à me défoncer la rondelle.
En moins de deux, Alain, cette belle gueule, me chope par la nuque et me force à me mettre à genou devant le dard que Stéphane brandit fièrement. J’ai à peine le temps d’ouvrir la bouche qu’il me pousse la tête pour que ce pieux force ma gorge et s’y plante tout au fond. Mon front tape même le bas des abdos bien dessinés sous la peau mate de Soufiane. J’en ai les yeux qui pleurent. " Yéééé, j’ai les couilles trop pleines, je vais la gaver cette gueule ! " hurle Stéphane, et Alain m’oblige d’une main à des va et viens amples sur le chibre de son pote. J’en étouffe tellement il me gave la gueule, mais je peux pas sortir un son.
Quand les portes de l’ascenseur s’ouvrent au 4ème sous-sol, il fait vachement noir et je ne vois rien. Je sens les contractions de la queue de Stéphane qui ne va pas tarder à exploser me semble-t-il. Ni une ni deux, Alain me tire dans les couloirs obscurs et me plante dans une cave bien glauque, avec juste une pauvre petite ampoule sombre, et qui pue le sperme. Stéphane et Alain entrent eux-aussi et ferment la porte. " maintenant, t’es tout à nous, mec. Tu vas voir comment on sait remplir les trous d’une salope comme toi ".
Alain attrape de nouveau ma nuque pendant que Stéphane enlève mon survet. Là, je ne me fais plus d’illusion pour ma rondelle ! je me retrouve à quatre pattes, le cul en l’air, bien maîtrisé par Karim qui est devant moi et me tient l’arrière de la tête.
J’entends Stéphane dérouler une capote sur son méga chibre et il me crache abondamment sur la rondelle. Il glisse un doigt et se rend vite compte que je suis bien serré. " Putain, il est super étroit !!! je vais te l’élargir comme c’est pas permis !!! tu vas voir ça, Alain…Mon dard est tellement dur qu’il va creuser une auroroute ! ". Il a mis son gland sur ma rondelle, a bien attrapé mes hanches, et, toc, d’un coup, m’a déchiré le cul ! J’ai jamais eu aussi mal, mais le cri de bonheur qu’a laché Stéphane m’a vite encouragé. Une sorte de râle bestial. Oui, je croyais qu’il m’avait enfilé jusqu’à la garde, mais non, il en restait, et un deuxième coup de rein lui a suffi a faire bien claquer cette fois-ci ses couilles sur mes fesses.
Bien agrippé à mes hanches, Stéphane entame alors un mouvement de va et viens en se frottant le gland dans mon intestin… Alain l’encourage de " vas-y, ramone bien ce fion, il aime ça, éclate toi, vide toi les couilles dans ce ptit cul !!! " Moi, je commence à desserrer les dents et à gémir de plaisir. Alain met alors sa tête juste devant la mienne. Je suis trop excité par ce pieu qui va et vient et par la belle gueule de Alain. Je sens l’odeur de sa sueur qui dégouline sur sa moustache naissante " il va se répandre dans ton boyau. Ensuite, tu vas savoir ce que s’est qu’une bite de cheval ! " Stéphane se met alors à redoubler de violence et d’amplitude. C’est une vrai bête qui me pilonne le cul, un marteau piqueur. Il redouble de violence et pose sa tête sur mon dos. Je sens alors son pieu plus raide que jamais. Une vraie poutre de béton me défonce cette fois le cul et j’entends Stéphane gémir " oui, yé, je viens, je viens, j’vais jouir, ça fait trop longtemps, ouiii ". Il est pris de convulsions et balance des litres de sperme chaud dans la capote en continuant de me pilonner pour être sûr de ne rien laisser dans ses couilles.
Je sens le souffle rauque de Stéphane sur mon dos, et quelques convulsions enfoncent encore sa queue dans mon cul rempli. Il se retire, lache " il est trop bon ton cul ! A toi de lui arracher les fesses maintenant, Alain. Ma petite pute, t’a rien vu encore ". Je suis maintenant un peu inquiet.
Alain se lève et se dresse de son 1m90 devant moi. Il enlève son t-shirt et je suis bouche bée devant son torse dessiné, ses pecs puissants et ses abdos sexy. Il a le torse tondu sur une peau mate satinée. Ils défait la ficelle de son pantalon. A ce moment là, je remarque seulement la bosse de sa queue sous le tissu, et j’ai un vertige : ce n’est pas une bite qu’il a, c’est une batte de base-ball. En un mouvement, il enlève son bas de survet, et il montre une queue inouïe, de 25cm de long et 7 de diamètre, bien longue, légèrement courbée vers le bas, nervurée de veines apparentes, et un gland bien proéminent, rouge et gonflé. Elle aussi est en béton !
" Tu la vois bien ? maintenant, tu vas la sentir ma queue de cheval " lance-t-il d’un rire bestial. Stéphane se place devant moi, la queue encore odorante de sperme et Alain prend sa place derrière. Le temps d’enfiler une capote (il doit les faire sur mesure ma parole !), il s’agrippe à mes fesses se cale bien au sol pour assurer ses appuis. Je suis pas rassuré et j’esquisse un mouvement pour abandonner la partie. Mais je suis à leur merci, et ils me font vite comprendre qui commande " toi, tu bouges pas. C’est nous qui décidons. Tu nous as suivi, tu assumes ". J’ai pas le choix.
Mon cul est encore ouvert du pieu de Stéphane. Mais quand je sens le gland d' Alain se présenter sur ma rondelle, j’ai l’impression d’être encore vierge. Ses mains passent de mes fesses à mes épaules. Je le sens se pencher sur moi, je sens ses abdos effleurer le bas de mon dos, je le sens prendre de l’élan. Prévoyant, Stéphane, qui commence déjà à rebander devant le spectacle de la queue monumentale de son pote sur le point de me pistonner, m’enfourne sa belle queue dans la gueule. J’ai à peine le temps de réaliser que je sens la poussée d'Alain. C’est énorme, il m’explose les fesses d’un coup! Pan Pan, je suis empalé par une poutre énorme prête à se répandre… je ne peux même pas gueuler car le gland de Stéphane prend toute la place dans ma gorge…
La suite est une succession de coups de boutoir qui écrasent à chaque fois ma tête sur le ventre de Stéphane. Alain râle de plaisir et reculant ses fesses puis en allant chercher au plus profond de mon intestin. Le rythme s’accélère progressivement. " Yéé, j’ai jamais pris aussi profond un petit cul serré comme ça. J’ai la queue qui va exploser ! " Je me sens à la merci de bêtes. La force bestiale d' Alain est sans issue. Je suis la proie d’un bazooka. Karim râle de plus en plus fort derrière moi. A chaque coup, je sens un énorme bloc monté en moi. Sa force physique phénoménale est concentrée dans mon cul ouvert, béant. J’arrive à émettre quelques râles alors que la bite de Soufiane a aussi repris sa taille dans ma gueule. Ils sont maintenant 2 à râler. Je suis trop excité. J’ai la queue raide aussi, mais celle d' Alain est tellement épaisse qu’elle me laboure les parois de l’intestin. Je me touche pas…. et pourtant, j’en peux plus et je lache plusieurs jets de spermes. Il m’a fait jouir sans me toucher la queue ! C’est ce moment que choisit Alain pour augmenter la cadence. Il commence à crier " oui, t trop bon. J’ai les couilles archi pleines, j’ai pas joui depuis une semaine, je sens que ça vient ". Moi, je sens son pieu remonter encore plus loin et plus vite dans mon cul. " Yé, j’ai la queue qui brûle, elle est tendue à bloc ". Maintenant, la souplesse naturelle de son dard a disparu. Et je sens à la raideur phénoménale de son chibre qu’il va bientôt m’inonder de jus chaud et dégoulinant. Alain hurle maintenant " Oui, je jouis, c trop bon " mais il se passe plusieurs secondes entre le début de sa jouissance et le moment où il se retire pour balancer de sa queue de 25cm veinée à souhait 8 énormes giclées de spermes qui arrosent mon dos, mes cheveux et atteignent même le ventre de Stéphane, qui, lui, continue ses va et viens dans ma gueule. Le sperme d' Alain dégouline sur le ventre de Stéphane qui se retire de mes lèvres au même moment et m’inonde le visage de son foutre.
Je sens la queue brûlante et poisseuse de Karim sur mon dos, et le gland visqueux de Stéphane qui s’essuie sur mon nez et mes joues. J’ai le cul ouvert comme jamais. Alain et Stéphane ma lâchent un " t’es notre vide couilles préféré. On te remplira encore et encore… On fera profiter de toi les potes de la cité. Faudra nous obéir à chaque fois qu’on viendra te chercher chez toi". Ils se ressapent et je les entends se tirer dans le couloirs de caves en évoquant les noms d’un bonne dizaine de copains à eux, Pascal, Momo, Rachid…. Moi, je mets bien 10 minutes à me relever. J’ai mal au cul mais je me ressape tant bien que mal. Quand je sors, il est déjà 2 heures du mat. Je ne suis pas inquiété des menaces de Karim et Soufiane. A vrai dire, je tiens pas trop à les voir débarquer chez moi. Je ne vois pas comment ils pourraient d’ailleurs savoir où je crèche.
Mais, en arrivant à la voiture, je me rends compte qu’il me manque mon agenda perso, où j’avais fais la connerie d’écrire mon adresse.
Avec les vidéos de nos amis de Interlacciati Italia chez qui je vais piquer les petites vidéos du jour, tu as toujours de quoi t'amuser aussi. Vas-y faire un tour et quand tu auras bien juté, ne garde pas ton foutre pour toi tout seul, viens le mettre avec celui des autres dans les vases du Spermathon.
Bon week-end
Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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