Mercredi 27 septembre 3 27 /09 /Sep 17:47

Salut, ami de la bite et du plaisir entre mecs

Le début d'une nouvelle année accadémique est toujours l'occasion d'initier les petits bleus aux plaisirs de la vie estudiantine. Je ne resiste donc pas aujourd'hui au plaisir de t'offrir une petite histoire de circonstance que j'ai trouvé sur le Net.

C'était la 1ere nuit au pensionnat. La rentrée venait d'avoir lieu et je partageai ma chambre avec Mathieu, un copain depuis le lycée. Nous étions tous les deux en pension depuis le lycée et cette année, c'était l'école d'ingé. On se doutait bien que nous aurions droit au bizutage et cela n'a pas manqué quand vers 22h, alors que nous commencions à nous endormir, plusieurs mecs de dernière année rentrèrent dans la chambre, nous firent lever et nous attachèrent dos à dos en nous liant les mains. Ceci fait, ils nous laissèrent ainsi, au milieu de la chambre. 
J'étais en pantalon de pyjama, torse nu, Mat en caleçon, nos peaux d'ado l'une contre l'autre. Les penchants de Mat pour les mecs, je les connaissais depuis longtemps. Nous avions eu quelques parties de jambes en l'air ensemble, il adorait se faire prendre. Moi, j'avais quand même une large préférence pour les filles. C'était un obsédé du cul ce Mat ! Il avait passé sa journée de rentrée à mater ! A chercher ses nouvelles proies, ses futurs amants d'un soir. Bref, il n'avait rien du retenir de la présentation de l'école.
Nous étions toujours dos contre dos, attachés, toujours au milieu de la chambre puisqu'on nous avait déconseillé de changer. Et, comme cela durait, Mat commença à  me faire part de ses flashs. Notamment sur un type de dernière année qui l'avait rendu raide dingue. Il n'avait qu'une hâte, celle de l'aborder, d'en faire son 4h, son minuit, de le sucer, de s'empaler sur ce qu'il imaginait être un pieux de belles dimensions. J'eu droit à la description complète de ses fantasmes !
Soudain, la porte s'ouvrit et un type rentra. La porte se referma, la lumière qu'il alluma nous éblouit, puis nous découvrîmes que ce type était justement celui qui avait rendu raide dingue Mat !
« Alors le bizut, on mate les aînés ? » commença-t-il. Ca ne m?étonnait pas comme remarque. Connaissant Mat, il avait dû insister lourdement, ne fût-ce que du regard, quand il matait. Et je n'osais imaginer les gestes et postures équivoques qu'il avait pu prendre aussi pour faire comprendre ses désirs.
« Mais c'est qu'il bande déjà le bizut !! » poursuivit-il en s'approchant de Mat. Et il lui arracha le caleçon.
J'imaginai la scène qui se déroulait dans mon dos. Ce type en jean tee-shirt, planté devant Mat qui devait avoir les yeux déshabilleurs  et qui rêvait de se faire prendre par l'objet de ses désirs de la journée.
J'entendis une ceinture qu'on enlève, le bruit d'une braguette qui s'ouvre et d'un jean qui tombe à terre. « Suce-moi alors puisque tu en rêves depuis ce matin ! »
Sans aucune parole, je sentis mon Mat se pencher, et se mettre à genoux direct ! Pas facile pour moi de suivre son mouvement ! J'essaye de trouver une position supportable alors qu'il est à genoux, les mains toujours attachées aux miennes dans le dos, et que les bruits enlèvent tout doute sur ce qui se passe. Mat est en train de tailler une pipe ! Et je lui fais confiance pour qu'il ne soit pas déçu. En la matière, c'est un pro !
Après quelques minutes qui me semblèrent des années, les râles du dernière année démontrent que Mat est arrivé à ses fins, et je sens Mat se redresser lentement. Il doit embrasser les abdos, les pecs de son amant, et remonter vers la bouche.
Je sens effectivement des mains caresser Mat, m'effleurant de temps à autre. Ces contacts éphémères, de la part d'un inconnu, l'ambiance sexe qui règne dans cette chambre, me foutent une  trique d'enfer, mais je tente de rester zen.
« Et bien, ton pote, il bande lui aussi ! Je suis tombé dans une chambre de sacrés cochons ! »
« C'est pas mon pote, c'est mon mec » dit alors Mat.
Mais qu'est-ce qu'il dit ce con ! Il n'a jamais été question de couple tous les deux ! Une baise de temps en temps quand le manque de fille est trop fort pour moi, mais c'est tout ! Et pourtant, je n'ai aucune volonté de démentir ses propos. Putain la réputation qu'on va avoir si ce type cause !
Je le sens alors se glisser entre nous. Il a du finir de se dessaper car je ne sens aucun vêtement. Son torse sur mon dos, ses fesses contre celui de Mat, sa queue humide contre ma cuisse. Je sens son souffle sur ma nuque, et il commence à me caresser le torse, le ventre, les cuisses. Il a défait la ficelle de mon pantalon de pyjama qui est tombé sur mes chevilles, faisant apparaître ma tige qui se dresse de plus en plus ferme sous ces caresses. Puis il se met à caresser mes fesses d'une main. Je devine aux gémissements de Mat qu'il lui fait de même ! D'un doigt, il explore ma raie, remontant ce canyon depuis la base des bourses jusqu'à ma rondelle encore vierge. Et il joue avec ! Appuyant, en faisant le tour, la frottant. Il a du mettre du gel sur son doigt pour faire de telles caresses et je découvre ce nouveau plaisir que je n'imaginais pas. Puis, d'un geste sec, il enfonce son doigt en moi ! Je râle et entends Mat faire de même ! Il nous a pénétré en même temps et poursuit ses massages intérieurs Mat et moi à la fois !
Il s'y prend divinement. Je devine  qu'il doit avoir de sérieux penchants pour les garçons pour maîtriser un tel art ! Et il nous amène au bord de la jouissance, titillant nos prostates, nous faisant pousser de petits cris de plaisir.  Là encore, il s'arrête en nous laissant au bord de la jouissance. Une sorte de perversion après de tels moments de plaisir.
Il nous détache les mains, nous libérant enfin. Il me pousse sur mon lit et je m'affale sur le dos. Je le vois enfin de face. C'est vrai que c'est un beau mec : des cheveux sombres mi longs, des yeux verts, des pecs bien dessinés et une superbe tablette de chocolat. Il me regarde dans les yeux, fait un sourire et « on va s'occuper de toi maintenant »
Il m'attrape les pieds et les lèvent vers le plafond, décollant mon ptit cul du lit. Il dirige sa tige vers ma rondelle qu'il a savamment travaillée. Je sens son gland à l'entrée. C'est la 1er fois que je vais me faire prendre et j'ai peur. Il pousse lentement, et je le sens qui me pénètre, qu'il me remonte cm par cm. Ca me brûle, je sens que je vais hurler, mais il s'arrête, à peu près à mi course. J'ai l'impression qu'il cherche à formater mon cul à son cylindre : la douleur s'atténue, devient supportable et il reprend son exploration lentement. De ses mains qu'il a placé sur mes hanches, il me dirige, facilite sa pénétration. Arrivé au fond de moi, il s'arrête de nouveau, me faisant savourer l'instant. Son chibre en moi, le contact de ses couilles contre mes fesses, mes chevilles sur ses épaules, ses mains sur ma peau. Puis il commence à me pilonner. D'abord lentement, puis de plus en plus fort. J'adore cette découverte ! Cette première sodo ! Je sers de temps en temps les fesses pour profiter du passage de ce cylindre magique. Je sens des spasmes agiter sa tige, puis des jets puissants me mouiller de l'intérieur. Il a joui en moi ! Il sort en extrayant sa queue débandante.
« Si tu veux jouir maintenant, baise ton pote ! »
C'est la 3e fois qu'il me laisse au bord de ma jouissance, et je ne me fais pas prier. D'ailleurs Mat qui a profité du spectacle pour se branler ne se fait pas prier et se met direct à 4 pattes sur le parquet. Là je connais ces sensations. Ce n'est pas la 1er fois que je baise Mat et excité comme je le suis, il va prendre ! Par contre, je suis pas sûr que ça puisse durer très longtemps !
Les mains sur ses épaules, ma queue en place, raide et n'en pouvant plus, je pénètre  Mat d'un coup sec et commence à le limer. Je frotte mon torse sur son dos de temps en temps : il adore cela ! Par contre, j'étais loin d'imaginer que profitant d'un moment où allongé sur Mat mon cul s'ouvrait grand, notre bizuteur profiterait de cette position pour me prendre de nouveau.
Cela se fit cette fois sans douleur, et très rapidement nos rythmes se synchronisèrent, amplifiant les coups de boutoir que recevait Mat. J'étais en extase, pris en sandwich et découvrant les doubles plaisirs !
Je me vidais le premier, suivi de Mat, puis du bizuteur.
Il se releva, se rhabilla et sorti.
Ce fut un sacré bizutage !

 

 

Comme je n'avais mis aucun article sur le blog dimanche, j'ai comblé le trou en postant hier une courte série de photo que j'ai agrémentée d'un petit commentaire. Ah, si les rêves pouvaient devenir réalité! Le monde du travail en serait transformé et plus personne de demanderait de congé : distributeur de yaourt.

Autre nouvelle série de photo, un beau beur se donne du juteux plaisir.

Comme chaque jour, voici maintenant le petit lien vidéo.

Clique et mate

A la prochaine.

Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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