Histoire vraie
Je me promenais en vélo en forêt de SENART, un après midi du moi de mai.
J’errais au gré de petits sentiers par curiosité de savoir où tous ces chemins peuvent aller.
J’étais loin de penser à ce qui allait m’arriver.
Dans une petite clairière faite autour d’un vieux chêne, je posais mon vélo pour une pose pipi.
Je m’installai près des arbres bordant la clairière, et me mis à pisser avec bonheur. Me croyant seul, ma main s’attarda sans doute à secouer un peu longuement ma queue, pour faire tomber la dernière goutte, ce qui lui fit aussitôt prendre un peu plus de relief.
Au moment où je regardais avec une certaine fierté mon engin dressé, un type sortit des buissons devant moi, et me dit :
 - Ouah, très belle bite !
Je bredouillai :
 - Je suis en train de pisser excusez moi.
 - Ça fait un moment que je t’observe et tu as vraiment une très belle queue, me répondit-il.
Et il me prit ma bite dans sa main et se mits à la caresser du bas vers le bout.
Je ne m’attendais pas à cela et ses caresses me faisaient terriblement bander.
Avec son autre main, il sortit sa bite. Je n’oublierais jamais cette queue, un diamètre impressionnant, très trapue et veinée, et surtout un gland tout plat et bosselé.
Il me demanda de le regarder et il se mit à se masturber en pivotant sa main sur son gros engin en frottant le bout avec son pouce. Sa bite devint vite très rouge. Il  pris alors  ma main pour le branler et il se remit à me masturber.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, je me mis à mouiller très fort et je sentais que j’allais jouir. Je n’ai pas pu m’empêcher de gémir quand la première giclée est partie dans un jet long qui arrosa le ventre de mon partenaire, et ce fut une dizaine de secousses qui expulsa tout mon sperme qui coula sur sa main.
Ma jouissance augmenta son excitation. Il m’arrêta dans mes caresses et me retourna pour m’enculer. Son énorme engin ne pouvant me pénétrer, il frotta sa bite pendant quelques minutes entre mes fesses tout en me masturbant. La vitesse de sa main sur ma queue m’entraîna dans une nouvelle jouissance et mon sperme partit se perdre dans les feuilles.
 - Tu jouis plus vite que ton ombre, me dit-il, à mon tour de jouir, branle-moi bien.
Je repris donc ma masturbation rotative sur cette grosse queue devenue horriblement sanguine et violette. Ses râles m’indiquaient qu’il n’y en avait plus pour longtemps avant l’arrivée du point suprême. C’est dans un grognement que le bout de sa bite plate se recouvrit comme un lac de son sperme, lac qui finit à la troisième giclée par déborder sur ma main.
Il vit que je bandais à nouveau et il me demanda de me masturber devant lui et c’est avec un plaisir fou que j’expulsais mon sperme dans une troisième jouissance.
L’inconnu repartit aussi vite qu’il était venu et, de cette aventure, je conserve ancré le souvenir de cette énorme bite à bout plat.