Le Sex Gay Blog des Copains
Le plaisir de la branle et du sexe entre mecs
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Samedi 16 décembre
6
16
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/Déc
03:45
Salut ami du blog.
Comment vas-tu en ce début de week-end ?
Pour nous, pas de problème. Le travail ne manque pas et mon PetitCoeur est toujours en examens mais nous avons quand même profité de la fin de semaine pour faire une petite sortie.
L'histoire chaude de nos amis Steven, Max, Juan et André se poursuit après un premier épisode dans les pissotières de la gare, un second dans le train et un troisième chez Steven où Max et Juan faisaient la connaissance d'André, voici le quatrième épisode qui se termine, entièrement écrit par notre ami Wilfrid que nous remercions chaleureusement.
A ce moment Steven rentre avec le chien et s’aperçoit que l’on ne l’a pas attendu pour faire une connaissance approfondie
« Eh bien, mes cochons, je vois que vous ne vous êtes pas ennuyés. Mais avant toute chose vous devriez aller prendre une bonne douche car depuis ce matin entre les toilettes publiques, le train et ici avec mon père adoptif, vous commencer à être plutôt empesés par le foutre sec et à ressembler à des petits cochons. Ensuite on passera à table pour reprendre des forces et ayant pris du retard à cause du chien je m’occuperai de vous. »
Donc, Max montra le chemin de la salle de bain à Juan et André qui le suivirent à poil, avec toujours une demi érection. Max entre le premier dans la cabine de douche, règle la température de l’eau et se met sous le jet, suivi par Juan qui s’empare de la savonnette et commence à lui savonner le dos, puis les fesses et l’entre fesses en en profitant pour lui introduire un doigt puis deux et trois dans l’anus, opération simplifiée par la mousse de savon. Sous les râles de plaisir de Max, il retire ses doigts pour introduire son sexe hyper gonflé par l’excitation. André se glisse à son tour derrière lui et sans ménagement lui défonce la rosette ne tenant plus lui aussi d’excitation. Juan pousse un grand cri et se raidi de douleur sous cette intrusion brutale. André commence un lent va et vient et tout se transforme rapidement dans l’arrière train de Juan en une vague de plaisir intense qui le fait feuler comme un chat en chaleur. Steven ayant entendu le cri se précipite et ne peut que constater la situation : Max appuyé au mur de la cabine de douches avec le sexe de Juan profondément enfoncé en lui, et André en train de sodomiser celui-ci à tout va. Aussitôt cela déclenche chez lui à la fois une vague de colère « alors c’est comme cela que vous vous nettoyés bande de dégueulasses, vous n’en avez jamais assez.. » et en même temps cela lui procure une érection à lui faire mal dans tout le sexe. C’est à ce moment, voyant son état par la bosse énorme visible au bon endroit de son pantalon, que André se retire et lui dit « prend ma place, c’est un vrai bonheur, profites–en aussi ».
Il sort alors de la douche et se précipite sur Steven qu’il entreprend de déshabiller à toute vitesse. Il s’agenouille devant lui pour lui retirer le pantalon et le slip et se retrouve avec sous le nez l’énorme sexe de Steven tout bandé. Ne pouvant résister à la tentation il le prend en bouche et commence un lent va et vient, en s’attardant sur le gland , sa langue tournant tout autour, titillant le méat, montant et descendant le long du frein ; tout cela faisant frémir et gémir de plaisir Steven.
Voyant cela Juan reprend sa sodomie de plus belle, labourant à toute force le cul de Max qui se masturbe en même temps. Rapidement ces deux compères se retrouvent dans un état de non retour et secoués de spasmes et criant l’un et l’autre leur plaisir respectif, éjaculent des flots saccadés de sperme l’un dans les entrailles de Max et l’autre sur le carrelage de la douche. Apres s’être longuement embrassés, ces deux amants las et repus se rincent rapidement et disparaissent vers le séjour après s’être essuyés mutuellement, ce qui leur redonna un semblant de vigueur au niveau du bas ventre laissant augurer de nouveaux ébats .
Steven arc-bouté sous l’effet des caresses buccales de André dit alors : « ils viennent de sortir, je ne pourrai prendre ta suite dans le cul de juan, mais cela ne fait rien car tu l’avais trop écarté. Par contre, toi tu as moins servi et est plus étroit donc tu vas le remplacer. » Sans ménagement il le pousse sous la douche, lui enduit la rosette de savon, se masturbe avec la mousse et le pénètre de toute sa longueur avec un râle de plaisir. André se cambre un maximum et aussitôt se met a se trémousser l’arrière train afin de sentir en lui la grosse bite qui le travaille. Steven alors vicieusement, sort de lui entièrement pour se réintroduire aussitôt à fond, lui laissant à peine le temps de se resserrer un tant soit peu. Il recommence ce manège à plusieurs reprises ce qui mène André aux portes de l’extase et le fait crier son plaisir par des encore …encore….c’est bon …. Continue….défonces-moi…..et d’un seul coup sans prévenir il est pris de tremblements de convulsions et se met à gicler à tout va. L’effet ne se fait pas attendre sur Steven qui à son tour se déverse en lui en longues et puissantes giclées ; puis l’un et l’autre, épuisés se laissent glisser le long du carrelage et se retrouvent assis sous le jet de la douche. Ils s’embrassent tendrement et se disent qu’il faut aller retrouver les autres et manger un peu pour se redonner des forces.
En arrivant à la porte du séjour, ils entendent des gémissements et des soupirs qui les font se regarder et se dire avec un clin d'oeil « et ça continue ». Ils ouvrent la porte et voient Max couché sur le dos sur le canapé avec par dessus lui en 69, Juan qui s'est emparé de son énorme queue d'une main et qui de l'autre fait des ronds avec la paume sur le gland hyper gonflé et bien décalotté. Régulièrement il se crache dans le creux de la main pour bien lubrifier son action et donner ainsi un maximum de sensation ; Max, lui se tortille sous cette caresse vicieuse et tout en gémissant essaye de garder en bouche la longue queue de Juan. Atteignant sans doute le seuil du supportable Max a un soubresaut plus important que les autres et voila nos deux compères qui chutent du canapé sur le sol. Steven et André éclatent de rire et devant leur tête effarée leur disent « stop, on arrête tout pour le moment, cela suffit amplement, il faut maintenant reprendre des forces et essayer de se reposer un tant soi peu avant de continuer, sinon nous ne tiendrons pas le coup. Tout le monde a table ».
Tous alors, tout en chahutant plus ou moins, bien que complètement crevés, s'occupent qui a mettre la table, qui a préparer le repas.
A suivre.
« Eh bien, mes cochons, je vois que vous ne vous êtes pas ennuyés. Mais avant toute chose vous devriez aller prendre une bonne douche car depuis ce matin entre les toilettes publiques, le train et ici avec mon père adoptif, vous commencer à être plutôt empesés par le foutre sec et à ressembler à des petits cochons. Ensuite on passera à table pour reprendre des forces et ayant pris du retard à cause du chien je m’occuperai de vous. »
Donc, Max montra le chemin de la salle de bain à Juan et André qui le suivirent à poil, avec toujours une demi érection. Max entre le premier dans la cabine de douche, règle la température de l’eau et se met sous le jet, suivi par Juan qui s’empare de la savonnette et commence à lui savonner le dos, puis les fesses et l’entre fesses en en profitant pour lui introduire un doigt puis deux et trois dans l’anus, opération simplifiée par la mousse de savon. Sous les râles de plaisir de Max, il retire ses doigts pour introduire son sexe hyper gonflé par l’excitation. André se glisse à son tour derrière lui et sans ménagement lui défonce la rosette ne tenant plus lui aussi d’excitation. Juan pousse un grand cri et se raidi de douleur sous cette intrusion brutale. André commence un lent va et vient et tout se transforme rapidement dans l’arrière train de Juan en une vague de plaisir intense qui le fait feuler comme un chat en chaleur. Steven ayant entendu le cri se précipite et ne peut que constater la situation : Max appuyé au mur de la cabine de douches avec le sexe de Juan profondément enfoncé en lui, et André en train de sodomiser celui-ci à tout va. Aussitôt cela déclenche chez lui à la fois une vague de colère « alors c’est comme cela que vous vous nettoyés bande de dégueulasses, vous n’en avez jamais assez.. » et en même temps cela lui procure une érection à lui faire mal dans tout le sexe. C’est à ce moment, voyant son état par la bosse énorme visible au bon endroit de son pantalon, que André se retire et lui dit « prend ma place, c’est un vrai bonheur, profites–en aussi ».
Il sort alors de la douche et se précipite sur Steven qu’il entreprend de déshabiller à toute vitesse. Il s’agenouille devant lui pour lui retirer le pantalon et le slip et se retrouve avec sous le nez l’énorme sexe de Steven tout bandé. Ne pouvant résister à la tentation il le prend en bouche et commence un lent va et vient, en s’attardant sur le gland , sa langue tournant tout autour, titillant le méat, montant et descendant le long du frein ; tout cela faisant frémir et gémir de plaisir Steven.
Voyant cela Juan reprend sa sodomie de plus belle, labourant à toute force le cul de Max qui se masturbe en même temps. Rapidement ces deux compères se retrouvent dans un état de non retour et secoués de spasmes et criant l’un et l’autre leur plaisir respectif, éjaculent des flots saccadés de sperme l’un dans les entrailles de Max et l’autre sur le carrelage de la douche. Apres s’être longuement embrassés, ces deux amants las et repus se rincent rapidement et disparaissent vers le séjour après s’être essuyés mutuellement, ce qui leur redonna un semblant de vigueur au niveau du bas ventre laissant augurer de nouveaux ébats .
Steven arc-bouté sous l’effet des caresses buccales de André dit alors : « ils viennent de sortir, je ne pourrai prendre ta suite dans le cul de juan, mais cela ne fait rien car tu l’avais trop écarté. Par contre, toi tu as moins servi et est plus étroit donc tu vas le remplacer. » Sans ménagement il le pousse sous la douche, lui enduit la rosette de savon, se masturbe avec la mousse et le pénètre de toute sa longueur avec un râle de plaisir. André se cambre un maximum et aussitôt se met a se trémousser l’arrière train afin de sentir en lui la grosse bite qui le travaille. Steven alors vicieusement, sort de lui entièrement pour se réintroduire aussitôt à fond, lui laissant à peine le temps de se resserrer un tant soit peu. Il recommence ce manège à plusieurs reprises ce qui mène André aux portes de l’extase et le fait crier son plaisir par des encore …encore….c’est bon …. Continue….défonces-moi…..et d’un seul coup sans prévenir il est pris de tremblements de convulsions et se met à gicler à tout va. L’effet ne se fait pas attendre sur Steven qui à son tour se déverse en lui en longues et puissantes giclées ; puis l’un et l’autre, épuisés se laissent glisser le long du carrelage et se retrouvent assis sous le jet de la douche. Ils s’embrassent tendrement et se disent qu’il faut aller retrouver les autres et manger un peu pour se redonner des forces.
En arrivant à la porte du séjour, ils entendent des gémissements et des soupirs qui les font se regarder et se dire avec un clin d'oeil « et ça continue ». Ils ouvrent la porte et voient Max couché sur le dos sur le canapé avec par dessus lui en 69, Juan qui s'est emparé de son énorme queue d'une main et qui de l'autre fait des ronds avec la paume sur le gland hyper gonflé et bien décalotté. Régulièrement il se crache dans le creux de la main pour bien lubrifier son action et donner ainsi un maximum de sensation ; Max, lui se tortille sous cette caresse vicieuse et tout en gémissant essaye de garder en bouche la longue queue de Juan. Atteignant sans doute le seuil du supportable Max a un soubresaut plus important que les autres et voila nos deux compères qui chutent du canapé sur le sol. Steven et André éclatent de rire et devant leur tête effarée leur disent « stop, on arrête tout pour le moment, cela suffit amplement, il faut maintenant reprendre des forces et essayer de se reposer un tant soi peu avant de continuer, sinon nous ne tiendrons pas le coup. Tout le monde a table ».
Tous alors, tout en chahutant plus ou moins, bien que complètement crevés, s'occupent qui a mettre la table, qui a préparer le repas.
A suivre.
Que va-t-il se passer maintenant ? Chauds comme ils sont, ce serait étonnant qu'ils en restent là. Attendront-ils la fin du repas avant de reprendre leurs ébats ? Et après le dîner que feront-ils ? A toi de le dire, il n'est pas nécessaire d'être un grand écrivain pour lancer la suite...
Un autre film (en français), des photos, la bite du copain, ... t'attendent sur notre nouveau blog à découvrir en cliquant sur le lien ci-dessous :
