Lundi 12 février 1 12 /02 /Fév 23:28

Hello, ami de la branle et du bon jus.

Poursuivons l'histoire commencée à la page précédente :

Le lendemain matin au réveil, le gros et le grand maigre tirent sur mes couvertures, et me disent de descendre, je m'exécute. Ils me disent: "C'est l'heure du p'tit déj." Comme je les regarde sans comprendre, le gros me dit: "Il faut nous purger les burnes, allez, tu nous suces!" Il me fait mettre à genoux, et me présente sa queue, je gobe il commence à me limer la bouche, il vient rapidement. Le grand maigre prend sa place, et me fourre la bouche sans ménagement, il vient rapidement, se retire et va pisser. Le gardien arrive, accompagné d'un prisonnier qui apporte le petit déjeuner. Le gardien me dit avec un petit sourire:
- T'as passé une bonne nuit?
Je vais pour dire ce qui s'est passé quand je rencontre le regard dur du grand maigre.
- Oui je vous remercie.
- Bon. Si tu veux, après le petit déjeuner, tu peux aller travailler avec les autres, tu veux?
- Pas aujourd'hui.
- Bon comme tu veux.
Le gros et le grand maigre partent travailler, le jeune leur dit qu'il va rester avec moi pour la première journée.
- Ok comme tu veux.
La porte se referme et je me retrouve seul avec le jeune.
- Bon moi c'est Thomas et toi?
- Moi c'est Marc.
- T'es là pour combien de temps?
- Quatre mois et toi?
- Moi, il me reste 3 mois. Quand je suis arrivé ils m'ont violé comme toi, ça a duré 1 mois tous les jours, et puis ils ont arrêté, maintenant ils me baisent 1 fois tous les 15 jours. Je n'y prends pas plaisir mais si je ne dis rien, ils me foutent la paix, alors...
- Tu étais homo avant?
- Non comme toi j'avais des copines, jamais je n'avais pensé que je baiserais avec des mecs ou que je me ferais baiser. Quand tu es entré hier soir je me suis dit: "le pauvre il va morfler", je n'avais pas le choix sinon ils m'auraient tapé dessus. Tu ne m'en veux pas?
- Non je ne t'en veux pas, tu as été doux avec moi et je dois dire que tu m'as donné 2 fois du plaisir. Je ne croyais pas qu'on pouvait jouir avec une queue dans le cul.
- Si tu veux ce soir après qu'ils t'auront encore baisé et qu'ils dormiront, tu pourras me baiser si tu veux.
La journée se passe sans encombre, et le soir de nouveau, le gros et le grand maigre me baisent, mais cette fois sans violence. Ils se couchent, et peu de temps après, les ronflements démarrent. Thomas attend un peu et vient me rejoindre.
"Je tiens parole, si tu veux me baiser, vas-y." Il caresse ma queue qui gonfle rapidement, se retourne et me présente son trou. J'avance le bassin, mon gland vient toucher son trou. Il me dit: "Vas-y!" Je pousse mon gland, il rentre sans trop d'effort. Ma queue glisse dans son trou, c'est doux chaud, je commence des va-et-vient. Il accompagne mes mouvements par des mouvements du bassin, il a tourne sa tête et me donne un baiser. Je vais jouir, lui dis-je. Je sens les contractions de son trou, il va jouir aussi. Ses contractions provoquent ma jouissance, je sens son jus venir dans mes doigts. Il se retourne, je l'embrasse en lui disant:
- Merci.
- Tu n'as pas à me remercier, j'y ai pris du plaisir aussi. Si tu veux on recommencera.
Les jours se suivent et se ressemblent, quand un matin de douche, le gros et le grand maigre y vont tout joyeux, ils reviennent propres et souriant. Le soir, je m'attends encore une fois à subir leurs assauts quand le gros nous dit: "On sort demain les gamins alors ce soir, c'est vous qui nous baisez." Thomas et moi, on se regarde incrédules, le grand maigre nous dit: "Oui on sort demain alors notre cadeau à nous, c'est qu'on vous offre notre cul pour vous remercier de nous avoir soulagé." Ce faisant ils baissent leur short et nous présentent leurs culs. Thomas me fait un signe, il me montre le grand maigre et me dit: "Je commence par le gros." Thomas file une claque sur les fesses du gros, celui-ci surpris se retourne. Thomas lui dit: "Suce-moi un peu pour m'aider à bander." Le gros s'exécute.
Je dis au grand maigre: "Et toi alors, tu vas me faire bander?" Il se retourne et commence à me sucer, il est doué le salaud. Thomas et moi nous sommes bien raides. "Allez, tournez vous!" Le gros et le grand maigre nous présentent leur cul. Thomas attrape les hanches du gros et sans préliminaire l'enfile jusqu'à la garde, le gros pousse un petit cri. Moi j'en fais autant, le grand maigre tente d'échapper mais je le rattrape et l'enfile d'un coup. Il pousse un cri, je ne m'en occupe pas et le lime sans faiblesse. Je vais venir, Thomas me lance un regard, je lui dis que je vais venir, il me dit que lui aussi. On lâche notre purée en même temps. On se retire. Le gros et le grand maigre se redressent. Thomas leur dit de nous sucer pour nettoyer nos queues. Ils vont pour protester, mais Thomas leur dit: "Allez, en vitesse!" et on échange le gros prend ma queue en bouche et le grand maigre prend Thomas. Nos queues reprennent de la vigueur.
Thomas leur dit: "Allez, en position." Les deux compères se retournent et nous présentent leur cul. Je prends le gros par les hanches et lui enfile ma queue d'un coup, il pousse un cri. Pendant ce temps Thomas enfile le grand maigre jusqu'à la garde. Thomas leur dit: "Allez les salopes, embrassez-vous." Ils s’embrassent pendant qu'on les lime. Je viens dans le cul du gros, je sens qu'il vient lui aussi, il pousse un long soupir. Thomas s'est vidé lui aussi et s'est retiré; le grand maigre se finit à la main.
Le lendemain au réveil, Thomas saute sur ses pieds me dit de descendre; on se lève et on présente nos queues pour le p'tit déj. Le gros et le grand maigre nous vident les burnes. "Bonne journée les mecs et profitez de la liberté."

 
Nous sommes seuls, maintenant depuis 3 semaines et nous nous aimons tous les soirs.
Quand un soir la porte s'ouvre, on nous amène un jeune. Le gardien se retire. Le jeune est un peu effrayé, nous le rassurons, tu ne risques rien, on ne va pas te violer. Le jeune monte dans son lit, nous nous caressons, le jeune nous regarde sans rien dire. Nous l'oublions et nous nous aimons. Plus tard dans la nuit nous entendons le bruit caractéristique d'une branlette, c'est le petit dernier qui se soulage.
Le lendemain soir il va pour se coucher, se déshabille quand il enlève son pantalon, son slip est super tendu, il tente de cacher son érection, Je lui dis:
- Si tu veux, tu peux baiser avec nous.
- Non, non, dit-il tout rouge.
- Allez, on voit bien que tu bandes! dit Thomas.
- Non, non, dit-il sans conviction.
Je pose une main sur son paquet il ne bouge pas; Thomas s'est approché de lui et lui caresse les fesses, il me réagit pas. Doucement, je fais glisser son slip, sa queue libérée vient frapper son ventre je la prends en bouche et commence une pipe. Il gémit doucement. Thomas lui roule une pelle d'enfer. Il se libère et se laisse aller au plaisir. Nous finissons la soirée à trois.
Les jours ont passé Thomas est libéré aujourd'hui. Je l'embrasse avant que le gardien n'arrive, il me dit qu'il m'attendra quand je sortirai. Il est parti, le petit jeune couche avec moi de temps en temps, mais ce n'est pas pareil qu'avec Thomas.
Mon tour arrive, je donne un baiser au petit jeune. Formalités et puis la porte de la prison s'ouvre. Thomas est là, il sort de la voiture, prend mes affaires qu'il met dans le coffre, nous montons. La porte de la prison s'est refermée, il passe un bras autour de mes épaules me donne un long baiser et me dit:
- Bienvenue dans le monde libre. Tu sais où aller?
- Non.
- Viens chez moi si tu veux.
Mon cœur fait un bond. Je lui fais un grand sourire et lui dis avec joie:
- Je n'osais pas te le demander.
Un grand sourire illumine son visage.
- Tu resteras tant que tu voudras, je t'aime.
- Merci, Thomas. Moi aussi je t'aime, tu m'as manqué terriblement.
- Ok allons y, la vie est belle...

Bonne semaine

Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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