Jeudi 16 mars 4 16 /03 /Mars 07:00

Hello ami Gay

J'espère que tout va bien pour toi.

Pour moi, c'est le paradis. Je viens de rencontrer un mec qui me plaît comme pas possible, je crois que je vais tomber amoureux fou de lui. Jusqu'à présent on a encore rien fait ensemble ; cette fois, j'aimerai que ça se passe bien et pas qu'on se prenne comme des objets et puis "bye, j'ai bien joui" comme c'est trop souvent le cas. On verra ce que l'avenir nous réservera. Je croise les doigts.

Et oui, je suis parfois "fleur bleue".

Hier soir et cette nuit, il y a eu quelques problèmes de gestion du blog. Tout d'abord, je prie les inscrits à la newsletter d'excuser les cafouillage dans l'envoi du soir : des problèmes techniques ont envoyé et publié à deux reprises des messages vides. Apparemment, d'après ce que j'ai pu lire sur le forum, je n'ai pas été le seul dans le cas. Ensuite, pas moyen de télécharger des photos ni d'y accéder pour les placer dans les messages. Maintenant, ça semble réglé.

 

Pour aujourd'hui, je vous propose une petite histoire trouvée sur le net.

Je devais avoir 15 ans et j?accompagnais mes parents en vacances vers le sud. Sur le trajet ils en ont profité pour faire une halte chez des vieux amis à eux dans les landes. Nous sommes arrivés tard le soir, et après un repas rapide, leur plus jeune fils m?a conduit à sa chambre ou un canapé m?attendait pour la nuit. Nous nous déshabillons et nous couchons. Le canapé s?avéra très grinçant et très peu confortable. Je suis très à cheval sur certain principe d?hygiène sexuel et je ne m?endors jamais sans une petite branlette. Mais cette fois, le canapé était vraiment trop grinçant ; la moindre tentative de mouvement faisait raisonner des couinements très suggestifs. Heureusement j?était très fatigué et m?endormais sans rien faire.
Cette négligence me fit vivre mon premier et dernier rêve érotique accompagné d?une éjaculation. Etrange expérience ; je faisait l?amour avec une copine de ma classe et, au l?instant ultime, je me réveillais en m?éjaculant sur le ventre. On ne peut pas dire que ce fut une expérience plaisante, je me suis réveillé en sursaut en me demandant ce qui pouvait bien m?arriver et le temps de comprendre, j?avais le caleçon et les poils couverts de sperme. Je suis aller faire une légère toilette et suis retourné me coucher honteux des taches qui couvrait mon caleçon.
Le lendemain matin, mon voisin de chambre était déjà réveillé et cherchais des vêtements dans son armoire. Je préférais attendre un peu avant de sortir du lit le temps de calmer mon érection matinale mais surtout pour m?assurer que mon caleçon n?avait plus les traces humides de la nuit. J?en profile pour le regarder se balader en slip dans la chambre. Il semblait un peu plus vieux que moi, mais pas beaucoup. Il était bronzé et sans être vraiment musclé semblait plutôt sportif avec une mention spéciale sur sa super paire de fesse moulé dans un slip bleu. Il tourne la tête vers moi. Il me surprend le regard fixé sur ses fesses, le lève les yeux gêné et il me dis « salut ! bien dormis ? », je lui répond que « le canapé n?est pas au top », et il me réponds « oui, il n?est pas trop confortable. Je t?ai entendu te lever cette nuit. Si tu le souhaites tu pourras prendre mon lit ce soir ». Qu?à t?il vu ? Que voulait-il dire ? Je me sens mal et je ne dis rien. Pendant qu?il met son blazer pour le petit déjeuner, je file vers la douche. La salle de bain donne directement sur la chambre ; pas de porte. J?allume l?eau, baisse mon slip et me glisse sous l?eau en tournant le dos à la chambre mous masquer mon érection encore vivace. Alors que je me savonnais, il s?avance vers moi en nouant sa cravate et me dis « tu préfères la plage ou le catamaran ? ». Je suis obligé de me tourner un peu vers lui et je réponds « cata ». Avec ou sans gaule, je ne suis pas très à l?aise à poils et ne sais pas ou me mettre. L?air de rien, il me répond « je m?en occupe » et il quitte la chambre.
La journée s?est passé sur le hobbycat avec un super force 4 bien laminaire en fin de journée. Un régale.
En début de soirée, il faut nous préparer pour le dîner. Une chemise et le caleçon que j?avais oublié en boule et poisseux dans la salle de bain, m?attendent propre et sec sur mon lit. Nous nous déshabillons en débriefant nos exploits de la journée. En deux secondes, il se retrouve à poils et fille à la douche. Pendant que nous discutons, il est face à moi et se savonne avec application. Etant dans la même situation le matin même je le regarde l?air de rien. Avec application, il se savonne les couilles les fesses puis se malaxe ostensiblement la queue jusqu?à obtenir une érection. Pas très forte, mais érection quand même. Je m?interroge : Ses gestes sont-ils aussi innocents qu?ils n?y paraissent ? Me teste t?il ? Impossible à savoir mais je profile du spectacle qu?il m?offre : Une plutôt belle queue fine mais bien proportionné. Il se penche et se décalotte devant moi. Son prépuce doit être étroit et il grimace pour dégager le gland. Tout en faisant son office il me regarde en souriant. Le doute n?est plus possible mais je ne sais pas s?il souhaite juste s?exhiber, ou me tester pour allez plus loin. Je ne réagis pas mais j?ai conscience qu?en restant devant lui sans détourner le regard je le pousse à allez plus loin. Quand il sort de la douche, son érection est réelle et il me frôle avec sa queue en posant sa main sur mon épaule. Je prends sa place dans le bac troublé, le frôlement déclancher un forte émotion en moi, mon c?urs s?accélère et je sens des battements dans mon sexe signe d?une érection en cours de formation. Je n?ai pas son aisance, et je me sens rougir. Tout en discutant, je me lave en étant moins démonstratif que lui. J?essais plutôt de contrôler mon érection mais c?est très difficile avec son regard qui se balade sur tout mon corps. J?arrête l?eau et il me dit brutalement « Tu ne te lave jamais le gland ? ». C?est une opération plutôt intime que je prévoyait pas faire devant lui. « heu si? » Dis-je vraiment rouge de honte et, plutôt que de couper court à la discussion et sortir de la douche, je pousse le levier de la douche et me fait une toilette hyper-express de mes partie intimes et repousse aussitôt le levier. Il rigole et me dis, « c?est vraiment bâclé ! On ne t?a jamais appris ? Je vais te montrer ». Alors qu?il avait la main déjà tendue, je le repousse violemment. La serviette qui lui servait de pagne tombe par terre et il me dit « T?es homo ou hetero ? ». Je lui réponds « plutôt hetero » prenant conscience au moment ou je le disais que le « plutôt » ne n?excluait aucune éventualité. Il me répond « moi aussi alors tu n?as rien à craindre. De toute façon tu en a autant envie que moi. » A sa réponse ambiguë, mon sexe s?est immédiatement levé. Il a tendu la main sur mon sexe et se mis à jouer le rôle du prof en hygiène : « Alors tu la prends puis tu tires la peaux vers le bas pour dégager complètement le gland, puis tu savonnes abondamment et puis tu savonnes ». J?hallucinais ! Il me savonnait le gland. Avec talent d?ailleurs car son savonnage ressemblait étrangement à une fellation : je ne sentais pas vraiment de mouvements mais des petits glissements humides et sensuelles. Je le laissais me malaxer le gland une petite minute mais sentant que je perdais rapidement le contrôle et voyant que la situation allait devenir gênante je me dégageais et le remerciait pour cette instructive leçon. Nous remîmes les pantalons de flanelles et les blazers du matin pour rejoindre nos parents qui attendaient le récit de nos exploits du jour. Le dîner achevé nous déclinâmes l?invitation des nos parents d?aller casinos pour nous offrir un digestif, un petit pétard et un billard.
L?heure de se coucher arrivant, mon c?ur battait en montant l?escalier qui conduisait à la chambre. J?appréhendais ce qui allait arriver : Je savais que n?allais pas pouvoir résister à ses avances et cette pensé me faisait déjà bander. En entrant, il pris mon oreiller sur le canapé et le lança sur son lit, tranchant définitivement sur le choix du lit. Tant mieux, ça m?évitais de faire semblant d?hésiter. On s?est déshabillé, lui complètement, moi en caleçon et on s?est glissé sans le lit. On bandait fermement tous les deux. A peine dans le lit, il a éteint la lumière, se blottit contre moi et a commencé à me caresser les cuisses. L?obscurité avait fait tomber mes tabous et j?écartais les cuisses pour l?inviter à aller plus loin. Sa main était habile, il faisait glisser sa main en partant du genou puis par l?intérieur des cuisses entraient dans mon caleçon me caressait un peu les couilles puis redescendait. Je me décidais à commencer à jouer avec son sexe en le caressant du bout des doigts en arrivant au bout du gland, je sentie qu?il mouillait abondamment. Je pensait être un gros mouilleur, mais lui c?était un fontaine : Dés que j?étalais la goûte qui perlait sur son gland, je sentais qu?une autre apparaît encore plus grosse. Un flux continue s?écoulait et je pouvait sans problème faire glisser ma main. C?était vraiment existant et l?envie me vint de le sucer. Je pris une goutte sur le bout de mon index et je gouttais : c?étais chaud et très bon. Je me décidais à me pencher vers lui pour le sucer. En comprenant ce que j?allais faire, il me retiens, me fis retirer mon caleçon et se mis en 69 et il goba immédiatement mon gland pour le sucer violement. « doucement ! » lui dis-je sentant qu?il allait un peu trop vite pour moi et souhaitant surtout profiter au maximum de mon fantasme. Je commençais à doucement lécher le surplus de mouille, le goût était vraiment exaltant. Il fit de même, il avait compris que nous avions tout notre temps et qu?il fallait faire durer le plaisir : Nous réglâmes donc le rythme sur celui de l?autre en étant le plus long possible : quand je commençais à le sucer, il me suçait quand il me branlait, je le branlais puis je me mis à le téter en faisant rouler ma langue autour de son gland et il faisait de même. Quand je sentais la pression venir, je m?arrêtais et quand il voulait continuer, il avançait son bassin et j?ouvrais la bouche pour le gober. Sa mouille abondante était enivrante et je l?aspirais goulûment, je pense que ça m?existait plus que les caresses qu?il me faisait. Ca m?excitait bien plus que la mouille des filles que je découvrais plus tard. Sentant que ces moments avaient suffisamment durés, je pris sa queue et le suçais avec passion comme une sucette dont on veut tirer tout le jus. Je désirais ardemment le vider, l?aspirer en entier. Il fit de même et nous jouîmes presque en même temps. Je sentis un puissant jet chaud m?envahir la bouche, le je premier jet m?avais déjà remplis la bouche, j?avalais rapidement puis recommençais de sucer pour ne rien perdre mais les jets suivants furent trop nombreux et trop abondants qu?ils me remplir ma bouche puis giclèrent sur mon visage dans un bruit de liquide visqueux sous pression. La pluie terminé j?était trop dégoûté pour avaler, je crachais le sperme sur la flaque qui avait coulée sur les draps et m?essuyait la bouche dégoûté mais satisfait de cette expérience. Je ne mettais pas concentré sur mon propre plaisir mais il lui avait tout avalé et semblait satisfait lui aussi de l?expérience. Nous essuyâmes un peu le sperme du lit et nous nous endormîmes en chien de fusil.
C?est dans cette position que je suis réveillé, il était dernière moi et je sentais son sexe sur le bas de mon dos. J?avais mon érection matinale habituelle et je trouvais la situation existante ; j?ai donc remué un peu les fesses et le l?ai sentis bouger pour faire glisser sa queue sur les fesses puis entre mes jambes. J?ai serré les cuisses et il a fait des mouvements de va et viens. En bout de course, Je sentais sa queue me caresser les couilles. C?est un truc que depuis j?aime faire le matin avec ma copine, je suis derrière elle, ma queue entre ses jambes et mon gland au niveau de sa vulve et je sens lentement son sexe s?humidifier sur mon gland au fur et a mesure qu?elle se réveille. Quand elle se sent prête elle se penche un peu en avant et s?empale doucement sur moi : je sens son vagin humide engloutir ma queue pendant qu?elle gémis. Mais revenons à nos moutons : pendant qui me donnait des coup de rein je me branlais au même rythme. Fantasme de la sodomie ? Peut-être mais je ne l?envisageait pas sur le moment. Nous avons éjaculé très vite, lui sur mes fesses et moi sur le lit.
Quelques heures plus tard, nous reprîmes la route avec mes parents. Inutile de dire que j?étais rêveur?

 Avant de te quitter, ça va devenir une habitude, je te propose un petit lien.

 

C'est ici 

Et puis, si tu aimes le blog, parles-en à tes copains. Plus il y a de passage et plus j'ai des possibilités de le développer. N'hésite pas non plus à faire des commentaires, ça fait progresser.

A la prochaine et bonne journée.

Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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