Mardi 25 avril 2 25 /04 /Avr 23:08

Salut ami visiteur 

Gay ou bi, amateur des plaisirs de la queue, j'espère que tu vas bien.

Pour moi, pas de problème. J'ai encore profité du beau temps pour faire un peu de sport en pleine nature, malgré les échéances qui se rapprochent et qui me laisse peu de temps. Mais ne t'inquiéte pas, je n'ai pas l'intention de te laisser tomber. J'en reserverais toujours un peu pour le blog. N'hésite pas à revenir régulièrement. Il y aura encore du neuf chaque jour.

Pour aujourd'hui, je te propose une histoire bandante qui m'a été envoyée par un visiteur. Tu peux toi aussi, si tu le souhaites, m'envoyer tes histoires, qu'elles soient vécues réellement ou issue de tes fantasmes.

Jipé, ça va faire 3 ans et demi que je le connais et que je vais chez lui toutes les semaines. C’était quand j’étais en première rénové, après les examens de Noël.

J’avais un gros échec en Néerlandais, moins de 30 %, et ma mère voulait que je prenne des cours particuliers.

Il faut dire que c’est une matière que je n’aimais pas, surtout avec la prof qu’on avait, une femme sèche et sévère, qui ne riait jamais et qui n’arrêtait pas de nous engueuler pour un oui ou pour un non. En plus, elle ne parlait qu’en flamand pendant toute l’heure de cours et je ne comprenais rien de ce qu’elle disait. Evidemment, comme elle n’était pas très sympathique, je ne faisais pas trop d’effort pour l’écouter et je préférais m’amuser et rigoler avec mon voisin si bien que je me retrouvais très souvent à la porte du cours. Mais, je m’en foutais pas mal, surtout que dans le couloir, je me retrouvais souvent avec le même gars de troisième, Bertrand, qui m’entraînait dans les toilettes du fond du couloir pour aller fumer et rigoler comme des malades en faisant les 400 coups…

Faut dire aussi qu’il me plaisait bien, Bertrand, à l’époque. Je crois que j’étais un peu amoureux de lui, il me fascinait à cause de tout ce qu’il osait faire et en plus, il m’avait pris en amitié.

Bref, l’année scolaire était mal partie et à la réunion de parents de décembre, on avait déjà dit à ma mère que si on ne prenait pas des mesures radicales, j’allais rater mon année.

Elle a donc décidé de me faire donner des cours particuliers de Néerlandais et m’a déniché le Jipé, un Flamand originaire de Tongres, qui travaille dans la même boîte qu’elle.

Avant de connaître Jipé, j’avais déjà été amoureux d’un homme : mon instit de 5ième primaire, Monsieur K, un grand homme blond d’une trentaine d’années avec lequel je rêvais de dormir. Evidemment, ce n’était qu’un rêve car Monsieur K était marié et père d’un petit garçon de 2 ou 3 ans.

 J’avais aussi déjà entendu parlé d’un instit qui faisait des choses avec les élèves. Certains racontaient que Monsieur M, l’instit des 3ième, passait sa main dans le short des élèves et allait même jusqu’à leur caresser le zizi. Il y en avait même un qui se vantait que Monsieur M lui avait montré sa bite et l’avait laissé la toucher. Je ne sais pas si c’et vrai, mais l’année suivante, Monsieur M n’était plus là. De toute façon, je n’aurais pas aimé jouer à ça avec lui parce que je ne le trouvais pas beau et pas très sympathique. Mais je dois pourtant avouer que cette histoire m’excitait quand même et que j’imaginais plein de choses avec des instits qui nous montraient leur queue, nous faisaient jouer et jouaient avec la notre.

Mais, revenons en à Jipé.

Je n’avais pas trop envie de suivre des cours particuliers de Néerlandais. Surtout que c’était le mercredi après-midi que je devais y aller et qu’à ce moment-là, il y a beaucoup d’autres choses plus intéressantes à faire. C’est donc avec des souliers de plomb que je suis allé chez lui pour la première fois.

Jipé, c’était pas madame C, il était très gentil, souriant, patient, aimable, … Il me parlait en français, m’expliquait comment je devais prononcer les mots, me faisait répéter plusieurs fois les mots et me tapotait les genoux pour m’encourager quand je trébuchais sur les mots, … Ce n’était pas du tout comme les cours, il me recevait toujours avec quelque chose à boire, des petits biscuits à manger, il s’intéressait à ce que j’aimais, comment ça allait, … Puis aussi, il me parlait de ce qu’il aimait, il me faisait écouter la musique, me montrait des petits films ou dessins animés en flamand, …

Très vite, j’ai aimé aller chez lui et m’asseoir à côté de lui, je sentais qu’il m’encourageait avec sa main sur mon genou et qui me caressait la cuisse. Les petits bisous sur la joue ou dans le cou qu’il me donnait quand je répondais bien ne me dérangeaient pas. Au contraire, j’aimais bien et je me suis enhardi à mettre moi aussi ma main sur sa jambe.

Finalement, j’allais chez lui avec plaisir, même plus que quand je vais chez mon père qui est finalement plus froid et plus distant.

Puis un jour, à force de l’habitude, machinalement et sans penser plus loin, comme je le fais quand je vais chez mon père, je l’ai embrassé en arrivant chez lui. Ca n’a pas eu l’air de l’étonner ni de le déranger plus que cela. Je me suis repris, un peu gêné puis me suis dis pourquoi pas tout compte fait et il m’a répondu, en effet pourquoi pas puisque nous sommes maintenant deux vieux amis.

Jusque là, il n’y a eu entre nous rien d’autre que des relations de « prof » à « élève », ou plutôt, rien d’autre que des relations amicales ou comme celles d’un neveu avec son oncle. Et je n’imaginais rien d’autre que cela d’ailleurs. 

Un jour, après deux ou trois mois que j’allais chez lui, ça devait être aux environs de Pâques, en m’installant dans le fauteuil du salon pour regarder un feuilleton en anglais sous-titré en néerlandais, pendant qu’il allait chercher le jus de fruit dans la cuisine, j’ai vu un magasine qui traînait sur la table du salon et qui a attiré mon regard avec sur sa couverture deux hommes à moitié nus : « Têtu ». J’ai pris le magasine pour le feuilleter, mais à l’intérieur, il y en avait un autre avec des hommes plus du tout vêtus et des photos plutôt salaces. Alors, j’ai vite remis le magasine sur la table avant qu’il ne voit que je l’avais regardé. Mais ça m’a quand même intrigué parce que j’avais envie de regarder tout ça de près. Ce jour là, je n’ai pas trop suivi le feuilleton. A la fin du feuilleton, n’en pouvant plus de curiosité, j’ai pris le magasine en lui demandant : «  c’est quoi, çà ? ». Mais, il me la retiré des mains en me disant que ce n’était pas pour moi, que j’étais un peu trop jeune pour regarder ça. Alors, par curiosité autant que par jeu, parce que j’avais remarqué qu’il était gêné et qu’il était devenu tout rouge, j’ai insisté et essayé de lui reprendre des mains. Il s’est alors fâché en disant que c’était tout à fait impossible, qu’il ne pouvait pas me montrer ça, que j’étais trop jeune, que j’allais en parler à tout le monde, qu’il aurait de gros ennuis… Mais je lui ai fait comprendre qu’il était trop tard, qu’il n’avait pas besoin de laisser traîner ça, que je savais tenir ma langue et que de toute façon, s’il ne me laissait pas voir, il aurait vraiment des ennuis… Puis je lui ai tiré la tête, lui reprochant de ne pas avoir confiance en moi, de me prendre pour rien du tout alors que moi je croyais que je pouvais compter sur lui, que je croyais qu’il était mon meilleur ami, que je n’avais jamais rien dit quand il me caressait et me donnait des bisous, qu’il pourrait tout avoir de moi, que je lui refuserais jamais rien, … Alors il m’a dit que s’il ne voulait pas c’était pour mon bien, parce qu’il avait peur que je sois choqué et je lui ai répondu que si j’étais choqué, il n’aurait qu’à me déchoquer. Et je lui ai repris le magasine hors des mains. Il était rouge comme une pivoine et en transpiration, mais il m’a dit « comme tu voudras, mais jure moi que tu ne diras jamais rien à personne ». Puis il est reparti dans la cuisine.

J’ai regardé avec beaucoup de curiosité le magasine intérieur, en ouvrant des yeux comme des soucoupes volantes et j’en suis pas revenu qu’on pouvait faire des choses comme ça. Les images que je voyais m’excitaient énormément et je sentais ma queue se gonfler dans mon slip. J’avais une envie folle de me branler et j’étais heureux qu’il soit parti dans la cuisine, parce que je crois que j’aurais été terriblement gêné qu’il me voie dans l’état où j’étais.

Les images m’excitaient trop. J’avais trop envie de me branler, mais j’étais aussi très gêné par ce que je voyais et aussi parce que je me demandais ce qu’il allait penser de moi.  J’avais peur qu’en me voyant bander, il me prenne pour un dévergondé. J’avais peur de regarder trop longtemps, il allait penser que j’y prenais plaisir et c’était d’ailleurs vrai. Finalement, je me suis précipité aux toilettes et suis allé me branler.  Avec ce que j’avais vu, j’avais la bite bien dure et déjà mouillée. Il ne m’a pas fallu plus de temps pour juter que pour pisser.

J’avais peur qu’il ne devine ce que j’avais fait mais j’ai vite repris un air dégagé, comme si cela ne m’avait rien fait et je suis allé le rejoindre à la cuisine où il faisait la vaisselle, mais j’étais quand même assez gêné, je pensais à ce que dirait ma mère si elle savait que j’avais regardé un livre comme ça et je suis allé le supplier de ne le dire à personne et il m’a répondu « non, ce sera notre secret, ça ne t’a pas trop choqué ? »  Je lui ai répondu que non.

Quand j’ai voulu le payer pour la leçon, il m’a dit de garder l’argent pour moi, que c’était mon cadeau mais que je ne devais pas le dire à ma mère.

Cette semaine-là, je n’ai pas arrêté de gamberger. Les images se bousculaient dans ma tête. Je me demandais pourquoi Jipé lisait des trucs pareils, je me demandais s’il avait les même réactions que moi. Je l’imaginais en train de lire et de se branler. Je l’imaginais en train de faire avec des autres hommes ce que j’avais vu sur les photos. Je m’imaginais faire ça avec d’autres, et finalement, les images se mélangeant les unes aux autres, je me voyais faire ça avec Jipé pendant mes leçons particulières. Je crois bien que je ne me suis jamais autant branlé que cette semaine-là. Quoi que …

Le cours suivant s’est passé comme si de rien n’était. Je n’ai pas voulu reparler de son magasine de peur qu’il ne se doute de quelque chose. Pourtant, il y avait plein de questions que je me posais. De son côté, il n’a pas non plus fait allusion à cet événement, comme s’il l’avait déjà oublié ou comme si ça n’avait aucune importance. Pourtant, pour moi, ça en avait beaucoup. Je n’arrêtais pas d’y penser. Aucune allusion non plus la semaine d’après.

La troisième semaine, c’est lui qui a rompu le silence : « et quoi gaillard, m’a-t-il dit, qu’est-ce qui ne va pas ? T’es pas à ton affaire ces temps-ci. Si tu as un problème, tu sais bien que tu peux m’en parler. Tu es au courant de mes petits secrets, je t’ai fais confiance, alors si tu as un problème, tu peux aussi me faire confiance et m’en parler ».

En parler, ce n’était pas vraiment facile, j’étais plutôt mal à l’aise puis je me suis quand même lancé. Je lui ai dis que justement, je n’arrêtais pas de penser à son magasine, que je me posais plein de questions, que ça m’excitait, que j’avais envie d’encore le voir, que je voulais savoir quel effet ça lui faisait quand il le regardait, pourquoi il l’achetait, s’il avait aussi envie de se branler en le lisant, s’il avait déjà fait des choses comme ça avec des hommes, …

On était installé au salon, lui dans un fauteuil et moi dans le divan. Alors, il est venu s’asseoir à côté de moi dans le divan et a mis sa main sur ma cuisse, comme il avait l’habitude de le faire. Comme il faisait beau ce jour là, j’étais en short. Sa main était directement sur ma peau, il me caressait la jambe en me parlant. Sa main me caressait machinalement toute la cuisse, du genou jusqu’à l’aine et je trouvais cela très agréable. Je ne me souviens plus vraiment de tout ce qu’il m’a dit, mais c’était du genre : « ne t’inquiète pas, c’est tout à fait normal ces questions, tes réactions sont naturelles, moi aussi ces images ça m’excite, ça me fait bander, oui je me branle en les regardant, mais le sexe c’est pas seulement ce qu’on voit là-dedans,  ça peut être plus simple, le plaisir d’être avec quelqu’un qu’on aime bien, … » Puis, prenant ma main dans la sienne et la guidant vers son sexe, il me dit : « tiens, sens, rien qu’à être là avec toi et à te caresser, ça me fait bander. Tu sens ? Tu veux voir ? »  Puis, passant sa main sur mon sexe, il me demande « et toi, les caresses, ça te fait bander ? » Et, en déboutonnant mon short et en descendant la tirette, il me di : «  fais voir ». Il a alors pris en main mon sexe déjà un peu durci, mais pas en érection complète, et l’a fait sortir de sa cachette pendant que de mon côté je me débattais avec sa tirette et j’essayais bien maladroitement de lui sortir le sexe hors du slip. Pour répondre à mes tentatives désespérées de lui sortir le sexe, il s’est levé et a baissé d’un seul coup le pantalon et le slip. Son énorme bitte en pleine érection est alors sortie de sa prison comme un diable hors de sa boîte. Il s’est penché vers moi, a descendu mon short et mon slip, puis après avoir donné un bisou au bout de mon zizi gonflé, il s’est mis à me lécher le sexe tout entier, verge et testicules.

C’est ainsi que mes aventures parascolaires, mais très instructives, avec Jipé ont commencé.

C’est un as de la langue, et pas seulement de la langue Néerlandaise. C’est aussi un excellent professeur et je crois pouvoir dire qu’avec lui je fais d’énormes progrès. D’ailleurs, depuis que je le fréquente, je n’ai plus d’échec en Néerlandais. En plus, s’il y avait des examens de sexe, je réussirais haut la quette grâce à tous ses cours particuliers que je suis assidûment et pour lesquels, je suis généreusement payé par ma mère. Car elle me donne chaque semaine 20 € pour payer les cours de Flamand que Jipé ne me fait plus payer depuis longtemps.

 Attention, il ne faut pas croire qu’entre Jipé et moi, ce n’est qu’une histoire de sexe sans plus. Bien sûr ce n’est pas le grand Amour avec un grand A majuscule, mais ce que nous faisons ensemble est rempli d’amour sincère. Il y a entre nous beaucoup d’affection, de douceur, d’attention, de respect, …

Si on ne pouvait plus se voir, j’en serais très malheureux. D’ailleurs, nous allons partir bientôt en vacances en Hollande ensemble pour une immersion totale dans la langue de Vondel.

Les leçons de masturbation continuent. Aujourd'hui, c'est la seconde partie des plaisirs du gland. Mets-toi en tenue pour participer activement au cours en cliquant ici.

Enfin, pour ne pas déroger à nos habitudes, voici le petit lien coquin.

Clique ici

Bon amusement.

A la prochaine  

Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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