La première fois que j'ai juté, je n'en ai pas gardé un excellent souvenir et voici pourquoi.

J'étais allé passé le week-end chez mon oncle, un "vieux" célibataire "endurci". J'aimais beaucoup aller chez lui car il était toujours aux petits soins pour moi et il avait l'art de me câliner, affectueusement et sans équivoque. Je précise tout de suite qu'il n'a jamais eu de geste déplacé envers moi. C'était un homme bien dans sa peau, homo sans s'en cacher et qui assumait parfaitement. Il me fascinait beaucoup et je peux même avouer que j'en étais amoureux. 

Quand je passais le week-end ou quelques jours de vacances chez lui, j'allais dormir avec lui dans son grand lit. Je me souviens que jeune enfant, je me blottissais dans ses bras et m'endormais aussitôt.

Ce soir-là, ce devait être au printemps, je ne me suis pas endormi de suite. Ma jeune sexualité naissante me titillait un peu. Je me posais des questions, j'avais envie de faire quelques découvertes, quelques comparaisons. J'ai donc attendu que mon oncle soit endormi pour examiner son sexe. Commençant par une approche timide, un effleurement du bout des doigts à travers le pyjama comme par inadvertance, je me suis enhardi progressivement jusqu'à baisser le pantalon pour en faire sortir le sexe. Ensuite, de plus en plus téméraire, j'ai approché le mien pour les faire se toucher. La manipulation de mon sexe et le contact avec celui de mon oncle n'a pas tardé à produire ses effets. Rapidement, je me suis mis à bander (je ne connaissais pas le mot à l'époque). De manipulations en manipulations, j'ai fini par sentir des contractions dans ma jeune verge, les saccades et les premiers jets du liquide visqueux. Je me suis senti défaillir, comme un grand vertige accompagner de l'impression que j'allais perdre connaissance.
Cela n'a pas duré, mais j'ai cru que j'étais malade, d'autant que je me rendais compte que le liquide qui était sorti de mon pénis n'était pas du pipi. J'ai alors été pris d'une peur panique qui m'a poussé à réveiller mon oncle.

Quand il s'est rendu compte de ce qui se passait et qu'il a vu mon air effrayé, il m'a pris dans ses bras avec un grand sourire, comme s'il était heureux et il m'a dit quelque chose du genre : "ah ah, mais ce n'est pas grave, seulement le signe que tu deviens un homme". Il m'a essuyé et m'a dit de dormir, ce que j'ai fait aussitôt.

Tout ceci ne m'aurait sans doute pas laissé de mauvais souvenirs si le lendemain matin mon oncle ne m'avait pas dit : "maintenant tu es devenu un grand garçon, il est temps que tu dormes seul".

On est alors aller acheter un clip clap qu'il a installé dans son bureau qui est devenu "ma chambre" depuis ce jour-là.

Jamais plus je n'ai pu dormir avec lui et je l'ai longtemps regretté par la suite, me reprochant d'avoir fait ce que j'avais fait.

Vous avouerais-je que j'ai longtemps fantasmé sur une aventure avec mon oncle ?

Ce n'est sans doute pas très excitant comme aventure, mais c'est mon histoire vécue.