Histoires

Mardi 20 février 2 20 /02 /Fév 00:23

Salut, ami Gay, bi ou hétéro sympa.

Aujourd'hui, c'est Mardi Gras et, pour célébrer le Carnaval, je viens de publier une petite série photos de circonstance. Je te souhaite de bien fêter l'événement en faisant bonne chère. 

La première histoire chaude du jour met en scène un livreur de 25 ans à la recherche d'un bon mâle :

Deux mots sur moi : 25 ans, bien musclé, belle gueule, p'tit cul serré et surtout bien gaulé. Avec une envie totale de tirer ma crampe. Je ciblais les gars qui passaient dans la rue pendant que je déchargeais mes caisses. Un livreur, ça voit tout...
Je remarque un bar dans la rue où rien que des hommes entrent. Je me dis " OK, juste une pause, rien que pour voir". Une fois les packs livrés et après avoir supporté la meuf qui devait signer... une chieuse... je me gare au mieux et je bouge mes fesses vers l'endroit. Putain, c'est sombre ! Quelques gars au bar. Du tout venant. Des mecs quoi. Je vise un mâle.
La quarantaine, baraqué, la gueule carrée, de la viande sur les bras et qui devait s'emmerder total. C'est clair, ça sentait le matou ! Je me gare tout près, histoire de montrer que j'existe et je commande à boire. Putain, ce mec sentait le gnou ! Et ça, je ne résiste pas. Un mec, ça doit sentir le mec. Un gros paquet et l'odeur en plus et je décolle…
Je palpitais à mort. Ca devait se voir, remarque. A un moment, son regard me dit que j'étais une bonne cible. Ni une ni deux, sans avoir l'air d'y toucher, le pote se colle à moi, histoire de me dire un truc à l'oreille et me murmure "une bonne grosse bite, ça te dit ?".
Merde, je me suis accroché au bar. J'étais prêt pour la totale. On file dans les toilettes. Sans souci. Le barman devait connaître l'animal. Il n’a pas bronché.
Et on se retrouve dans les chiottes. Le mec savait ce qu'il faisait, bordel ! Passé la porte, je me suis pris une langue baveuse au fond de la gueule, deux mains sur le cul et un paquet sur le ventre. Et ce n'était pas seulement le mien. Ce type puait l'homme et le calibre qui me coinçait contre le mur, ce n’était pas un petit doigt, non plus.
Il a commencé à me lécher le cou, les oreilles. Il a soulevé mon tee-shirt et il a continué. Boutons défaits, braguette ouverte, bite sortie et mon homme qui me file une des ces coup de langue sur le manche, Ouahh ! Je me dis " c'est ton heure de gloire, mon gars. Tu vas te faire ramoner. Ben tiens !
Je le ralentis quant même, juste le temps de regarder ce qu'il a dans le boxer. Maman ! Un monstre : deux grosses balles et dessus un gourdin bien gros. Avec la peau. Et l'odeur...
Je n’ai pas résisté. A genoux, vive la sucette. Putain, je délirais. Ca, c'était de l'homme !
On n'a pas traîné. Dix secondes plus tard, on était à poil tous les deux. On s'est peloté, on s'est bavé dessus, léché, reniflé. Des doigts dans le cul. Les bites bien mouillées. On s'est bouffé le cul. Putain ! Je ne sais pas si ça gênait  les mecs qui allaient pisser mais je peux te dire que moi je m'en foutais.  Après une belle prise de couilles, on a giclé des litres. Comme des bêtes. La totale.
Après, le palpitant au top, on a dû se calmer quand même. On a échangé les calebars, histoire de garder l'odeur et on s'est ramené peinards au bar. Je puais le foutre, bordel. J'avais les fesses pleines de salive. Marqué par l'homme. Ca n'avait pas duré une demi-heure !
Quand je me suis assis dans le camion, je sentais encore sa langue sur ma rondelle...On s'est revu mais c'est une autre histoire.

Puisque c'est jour de fête, je te propose aujourd'hui une seconde histoire :

Salut, je m'appelle Riad, j'ai 22 ans, et je suis étudiant à la Fac de droit d'Alger, 74 kg, 1m75, blanc, lèvres pulpeuses, gros cul, une vrais petite salope, comme vous l’avez deviné. Je suis passif à fond et je kiffe grave les blacks plutôt bien baraqués et bien montés.
Cette histoire m'est arrivée lors de la dernière foire internationale d'Alger où j'ai aperçu un grand black, dans les 1m90, 40-45 ans, barbus, avec un gros ventre, portant un pantalon classique.
De sa chemise ouverte, je peux apercevoir des poils qui sortent, la chaleur commence à monter en moi, je le dévore du regard, je m'en fous qu'il puisse le remarquer, car sur le moment, je commence à mouiller du Cul et du Zob.
Le gros cochon a dû remarquer mes regards, car il commence à mater mon gros cul de salope blanche. Mais je ne peux pas l'approcher car deux hôtesses du même stand lui collent au cul. Je décide alors de faire un tour pour revenir quelques minutes plus tard. Hélas, il n’y a personne au stand.
Une main chaude me tape sur l’épaule : c'est mon étalon noir :
- Alors jeune homme, est-ce que je peux vous aider ? Me demande-t-il avec un accent africain.
- Ça dépend, je veux acheter un cadeau pour un ami, un bijou par exemple...
Il me montre des tas de trucs traditionnels africains, des pendentifs… On passe presque un quart d'heure à discuter de l'Afrique, quand je lui dis sans aucun scrupule et en riant :
- Il paraît que les blacks ont tous un gros zizi…
Il me fixe du regard et me répond :
- Oui, peut-être, en tout cas moi j'ai une queue très normale, 25 cm, quoi !
Quand il me dit 25 cm, j'ai envie de me donner à lui tout de suite, je reste bouche bée pendant une seconde et il poursuit :
- Tu ne me crois pas ? Si tu veux, je peux te le prouver ?
C’est une invitation directe. Je lui dis :
- Oui, avec plaisir mais où ?
- Viens avec moi, tu vas voir…
Il m'emmène vers une petite chambre dans un pavillon dont il a la clé. Il ouvre, on entre, puis il ferme la porte à double tour et se tourne vers moi en sortant une énorme queue de son pantalon.
- Oh mon dieu, je murmure.
- Alors, elle te plaît ma queue ? Elle est pour toi !
Je la prends bien dans ma main et je commence à la dévorer, elle fait dans les 23 cm avant qu'il ne bande à fond. Je suis excité comme une vraie khaba, je le suce et lui lèche les couilles de temps en temps.
- Tu aimes ma grosse queue de black, espèce de pute. Allez, avale mes couilles.
Il me prend par le cou, il m'embrasse sauvagement avec sa langue, il me retourne, il me lécha le cul, c'est trop bon.
Mais il prend vite son gros engin, et il me le met bien à fond dans le cul, ça me fait tellement mal… Il me mène comme une chienne, je commence à me masturber pendant qu'il me baise comme une garce...
Ses grosses couilles tapent directement sur les miennes quand il rentre et sort.
Cinq minutes plus tard, je jouis.
Il me prend par les cheveux puis lâche sa sauce blanche sur mon visage.
J’avale tout ce que je peux de sperme et je tire les dernières goûtes de sa bite.
On se rhabille quelques minutes plus tard et on se quitte aussi simplement.

Et pour terminer, un petit clip vidéo :

A la prochaine.

Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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