Histoires

Mardi 20 février 2 20 /02 /Fév 22:50

Mardi 20 février 2006

le compte à rebours

a commencé :

jour J - 10

Ami Gay, bi ou hétéro sympa, aujourd'hui, je n'en dirai pas plus que toi.

Voici immédiatement l'histoire du jour envoyée par Charly que je remercie chaleureusement.

Ce matin la, comme la plupart des matins, je suis arrivé le premier à mon travail. J'en profite alors pour bien commencer la journée. Je me connecte sur ton site pour y lire une histoire, mater la bite des copains, voir la vidéo. Dès les premiers clics je sens ma queue se gonfler de plaisir sous le pantalon. Difficile alors de la laisser ainsi. Premières caresses sur la bosse; puis une main qui se glisse sous le tissu. Les doigts jouent avec les poils pubiens, puis descendent frôler les couilles qui gonflent bien elles aussi. Bientôt, n'y tenant plus, j'ouvre la braguette et sort l'engin, bien raide, ruisselant. Je mouille mes doigts et astique mon gland, découvert. Il durcit encore plus et rougit de plaisir. Je forme un anneau avec pouce et index et le glisse le long de la hampe. Je descends jusqu'aux couilles, sorties elles aussi. Je les prends en main, les malaxe. Puis je reprends le mouvement. Quand le plaisir est bien monté, j'astique, avec tous les doigts, sous la verge, ou dessus (seul le pouce caresse le gland). Quand l'excitation est à son comble, certaines fois, je me lâche et la purée sort en giclée. J'évite le clavier ! J'essuie tout, vite fait, bien fait. Il m'arrive de me lécher les doigts.
Tout est remis en ordre, avant l'arrivée du premier collègue, un beau brun au regard sombre, au torse légèrement poilu, comme ses mollets que je reluque avec envie. J'imagine sa queue dressée, au milieu de cette touffe de poils, au dessus de couilles poilues aussi. Quand à son cul, je fantasme tous les soirs, avant de m'endormir, soulagé !

Ce matin-la, donc, j'avais ouvert mon site préféré ;) et je commençais déjà à bien m'amuser. Soudain, j'entends du bruit. Inhabituel à cette heure matinale ! Je remballe tout le plus vite possible. Et qui vois-je devant moi ? Le collègue qui hante mes nuits ! Il vient me serrer la main. Je vois alors son regard se porter sur ma braguette. Dans la précipitation je l'avais laissée ouverte. Je pique un fard, d'autant que l'effet de surprise n'avait pas totalement agi face à l'athlète, si vous voyez ce que je veux dire !
- Et bien, qu'est-ce qui te met dans un tel état ? Je comprends, tu reluque un site porno. Fais-moi voir.
Et là, pas le temps de réagir, il tourne l'écran vers lui.
- Et bien mon cochon, on profite des bureaux vides ? Mais t'es un vrai pédé ou quoi ? Quelque part, ça me dégoûte, mais je me suis toujours demandé quel plaisir...
- Te le demande plus ! tentais-je soudain ! Laisse-moi te montrer !
Alors il se mit à défaire sa ceinture, descendre sa braguette et baisser son pantalon. Surprise ! Il portait un boxer déjà trop petit pour son paquet. Sur que les photos du site l'avaient déjà bien excité ! Elles ne l'avaient pas dégoûté, bien au contraire !
Je lui mordillai sa queue à travers le boxer, puis tentai de la prendre en bouche.
- T’enlève jamais le papier des bonbons ?
Je lui baisse son boxer et son engin se dresse alors, prêt à être englouti dans ma bouche. Je ne résiste pas et tout en lui caressant les fesses et passant mes doigts dans sa raie je lui suce sa queue, sur toute la longueur. Je lui avale les couilles aussi, en tirant bien dessus. Puis je reviens à son étendard. Ses râles m’excitent à mort et ma queue n’en peut plus. Elle aussi jailli de ma braguette. A sa vue, il me prend par les aisselles et m’assoie sur le bureau. Il place mes jambes sur ses épaules et astique ma rondelle déjà toute humide de plaisir. Pas besoin de plus de préparation que le temps de mettre une capote. Lentement je sens alors sa queue me pénétrer. D’abord en douceur, mais ses va et vient s’accélèrent. Le bureau tremble, je m’agrippe.
- Ah oui ! Ah oui, c’est trop bon ! Plus fort ! Vas-y ! Gicle ! Gicle !
Ses yeux roulent de plaisir ! A l’instant suprême il sort de mon cul et un grand jet de sperm asperge mon torse qu’il vient alors lécher. Et tout en jouant avec sa langue sa main attrape mon pieu le caresse gentiment, l’applique sur mon ventre. Puis tout en m’embrassant pour m’éviter de crier il me masturbe à haute cadence. Je ne tarde pas à jouir mêlant mon suc au sien.

Avant que d’autres collègues n’arrivent nous allons vite fait aux toilettes pour nous essuyer et reprendre une allure de travail. Je ne sais toujours pas s’il est venu exprès plus tôt ce matin là. En tout cas il n’est pas dégoûté du tout et nous avons recommencé nos ébats plusieurs matins et même un soir où l’homme de l’entretien nous a surpris. Mais cela, c’est une autre histoire !

 

Si tu aimes les combats virils entre mecs, la vidéo suivante te plaira peut-être :

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Mate et astique-toi

 

A la prochaine

Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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