Samedi 3 mars
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15:22
Salut, ami du sexe entre hommes
Pour fêter l'aniversaire du blog, Bach, un fidèle ami visiteur qui nous a déjà offert sa queue, nous envoie une petite histoire bien chaude que je propose à ta lecture sans tarder.
Un bel après-midi de début d’automne ; à peine les feuilles prennent-elles une nuance dorée dans le soleil caressant et l’air tiède. Mon petit chemin préféré dans les bois, qui mène à un étang bordé de joncs, est cependant dérangé par les miaulements d’une tronçonneuse. C’est l’époque, me dis-je en me faisant une raison. Arrivé à l’étang, je vois ce qui cause ce bruit si malvenu : un bûcheron s’attaque à un vieux chêne qui menaçait de tomber au premier coup de vent. L’arbre est par terre, il découpe les plus grosses branches avec son engin hurlant. Quand il m’aperçoit il arrête la machine et essuie la sueur de son front. Torse nu, puissant, souriant, il me dit :
- désolé, ça fait du bruit pour un dimanche !
- pas grave, il faut bien que ça se fasse !
Je continue lentement mon chemin, admirant ce superbe male dans la force de l’âge, en pleine possession de son corps, majestueusement musclé.
Je le vois du coin de l’œil qui s’apprête à aller uriner. Il déboutonne son jean, se retourne. Je traîne les pieds : c’est trop joli, même de dos ! Un beau mâle qui pisse, c’est presque comme une éjaculation. Ne sachant pas si je me suis éloigné, il continue la conversation que je n’avais pourtant pas prolongée :
- Il fait chaud, non ? Tu veux boire un coup ?
Sa proposition me plait et m’étonne, surtout dans cette situation. Je ne me fais pas prier et me retourne vers lui, en train de secouer la dernière goutte d’un poignet vigoureux. Il enlève son Jean et me fait face, en slip Dim d’un noir qui va bien à son bronzage. Il sourit toujours en me tendant une bouteille de bière qu’il vient d’extraire de son sac. Nous trinquons. Je baisse les yeux vers ce qui me semble être une jolie bosse : il remet le paquet en place d’une main distraite, mais j’ai bien l’impression qu’un début de gonflement habite la-dedans ! Fantasme ?
Pour boire tranquille je m’assieds sur un petit tas de bois bien carré, et j’enlève mon T-Shirt pour mieux profiter des caresses du soleil qui inonde la clairière. Il me regarde en buvant, la tête en arrière et remarque :
- tu fais de la gym ?
- Oui, et de la natation. Et vous ?
Je ne l’ai pas tutoyé, encore impressionné par ses pectoraux carrés et son ventre plat bosselé d’abdominaux gonflés par le travail.
- Oh, moi, c’est la tronçonneuse qui me muscle !
- Et ben, ça marche drôlement bien !
Et n’y tenant plus, le cœur battant, je passe la paume de ma main sur son épaule et descend vers sa superbe poitrine. Tant pis s’il m’envoie une mandale, j’en ai trop envie !
Mais ça n’a pas l’air de lui déplaire. Il avance sa main vers moi, m’attrape par le cou et pose ses lèvres sur mon téton.
- Je t’ai déjà vu par ici : tu dragues ?
- Je me promène, mais s’il y a une rencontre à faire, je ne suis pas le dernier !
Il rit et pose ses lèvres sur les miennes, tout doucement. J’ose à peine ouvrir la bouche, incrédule, étonné et ému. Il me caresse et me serre contre lui, un bras passé autour de mes épaules.
- Je suis marié dit-il, et en terminant sa bière il ajoute : mais je n’ai rien contre les mecs… Et toi ?
- Je suis célibataire et je n’ai rien non plus contre les mecs !…
Halluciné, je le vois enlever son slip et s’agenouiller devant moi, toujours assis sur mon tas de bois. Il attrape mon Jogging par la ceinture et l’enlève en expert, mettant à l’air ma queue déjà bien énervée : la sienne est carrément bandée à fond et colle à son ventre, le gland largement au dessus du nombril. Je remarque que sa toison est soigneusement taillée, ne laissant qu’une belle touffe frisée, emperlée de sueur, et d’où émane une délicieuse odeur de bois chaud mêlé de cannelle… je chavire vers lui, vers sa bouche d’abord, puis vers son sexe tendu, et l’enfourne à fond malgré sa taille imposante. Une minute après, il me relève, me roule une pelle et c’est à mon tour de me faire avaler.
Il relève la tête vers moi et d’une voix étouffée, il demande :
- Prends-moi !
J’ai la tête au bord de l’explosion, j’ai du mal à le croire !
Je fouille dans la poche de mon Jog et attrape une Kpote, qu’il déballe et m’enfile en un tournemain. Il m’allonge sur le dos et, face à moi, il s’empale doucement sur mon sexe chauffé à blanc. Je vois son visage s’éclairer au fur et à mesure que ma bite entre en lui, puis il pousse un profond soupir :
- Que c’est bon !
Il bouge doucement ses reins, centimètre par centimètre, en soufflant chaque fois que mes couilles s’écrasent sur les siennes ; j’attrape son pieu toujours bandé et commence à le branler au même rythme que ses mouvements de bassin. Son souffle s’accélère, mais pas ses mouvements. Nous sommes tous les deux sur un nuage de jouissance, nous survolons le plaisir sans avoir cette rage de conclure qui souvent gâche la fête des brèves rencontres. Tout en le masturbant d’une main, je caresse sa merveilleuse poitrine, passant légèrement sur les tétons dont la pointe est devenue bien dure.
Il se penche et embrasse ma bouche à nouveau, passionnément, amoureusement, langoureusement. Mais sa respiration s’affole, ses mouvement sur moi s’accélèrent, sa bite durcit encore dans ma main et c’est l’explosion dans un cri puissant : un jet de foutre passe au dessus de ma tête, un autre atterrit sur mon cou, encore un sur mon ventre ; en geignant de plaisir je décharge moi aussi et nous retombons bouche contre bouche, à peine soulagés par ce violent orgasme. Plusieurs minutes se passent, nous ne pouvons pas arrêter de nous embrasser. J’ai redurci dans son cul magnifique et ma main est à nouveau pleine de sa somptueuse bite. Mais il le dégage péniblement, m’embrasse encore en me relevant et me dit :
- Quand est-ce que tu veux que je te livre du bois ?
- Ce soir, ce serait bien, non ?
Depuis je vais souvent voir les coupes se faire dans notre clairière, et il me livre régulièrement du bois, en prévision des soirées d’hiver que nous allons passer devant la cheminée !
- désolé, ça fait du bruit pour un dimanche !
- pas grave, il faut bien que ça se fasse !
Je continue lentement mon chemin, admirant ce superbe male dans la force de l’âge, en pleine possession de son corps, majestueusement musclé.
Je le vois du coin de l’œil qui s’apprête à aller uriner. Il déboutonne son jean, se retourne. Je traîne les pieds : c’est trop joli, même de dos ! Un beau mâle qui pisse, c’est presque comme une éjaculation. Ne sachant pas si je me suis éloigné, il continue la conversation que je n’avais pourtant pas prolongée :
- Il fait chaud, non ? Tu veux boire un coup ?
Sa proposition me plait et m’étonne, surtout dans cette situation. Je ne me fais pas prier et me retourne vers lui, en train de secouer la dernière goutte d’un poignet vigoureux. Il enlève son Jean et me fait face, en slip Dim d’un noir qui va bien à son bronzage. Il sourit toujours en me tendant une bouteille de bière qu’il vient d’extraire de son sac. Nous trinquons. Je baisse les yeux vers ce qui me semble être une jolie bosse : il remet le paquet en place d’une main distraite, mais j’ai bien l’impression qu’un début de gonflement habite la-dedans ! Fantasme ?
Pour boire tranquille je m’assieds sur un petit tas de bois bien carré, et j’enlève mon T-Shirt pour mieux profiter des caresses du soleil qui inonde la clairière. Il me regarde en buvant, la tête en arrière et remarque :
- tu fais de la gym ?
- Oui, et de la natation. Et vous ?
Je ne l’ai pas tutoyé, encore impressionné par ses pectoraux carrés et son ventre plat bosselé d’abdominaux gonflés par le travail.
- Oh, moi, c’est la tronçonneuse qui me muscle !
- Et ben, ça marche drôlement bien !
Et n’y tenant plus, le cœur battant, je passe la paume de ma main sur son épaule et descend vers sa superbe poitrine. Tant pis s’il m’envoie une mandale, j’en ai trop envie !
Mais ça n’a pas l’air de lui déplaire. Il avance sa main vers moi, m’attrape par le cou et pose ses lèvres sur mon téton.
- Je t’ai déjà vu par ici : tu dragues ?
- Je me promène, mais s’il y a une rencontre à faire, je ne suis pas le dernier !
Il rit et pose ses lèvres sur les miennes, tout doucement. J’ose à peine ouvrir la bouche, incrédule, étonné et ému. Il me caresse et me serre contre lui, un bras passé autour de mes épaules.
- Je suis marié dit-il, et en terminant sa bière il ajoute : mais je n’ai rien contre les mecs… Et toi ?
- Je suis célibataire et je n’ai rien non plus contre les mecs !…
Halluciné, je le vois enlever son slip et s’agenouiller devant moi, toujours assis sur mon tas de bois. Il attrape mon Jogging par la ceinture et l’enlève en expert, mettant à l’air ma queue déjà bien énervée : la sienne est carrément bandée à fond et colle à son ventre, le gland largement au dessus du nombril. Je remarque que sa toison est soigneusement taillée, ne laissant qu’une belle touffe frisée, emperlée de sueur, et d’où émane une délicieuse odeur de bois chaud mêlé de cannelle… je chavire vers lui, vers sa bouche d’abord, puis vers son sexe tendu, et l’enfourne à fond malgré sa taille imposante. Une minute après, il me relève, me roule une pelle et c’est à mon tour de me faire avaler.
Il relève la tête vers moi et d’une voix étouffée, il demande :
- Prends-moi !
J’ai la tête au bord de l’explosion, j’ai du mal à le croire !
Je fouille dans la poche de mon Jog et attrape une Kpote, qu’il déballe et m’enfile en un tournemain. Il m’allonge sur le dos et, face à moi, il s’empale doucement sur mon sexe chauffé à blanc. Je vois son visage s’éclairer au fur et à mesure que ma bite entre en lui, puis il pousse un profond soupir :
- Que c’est bon !
Il bouge doucement ses reins, centimètre par centimètre, en soufflant chaque fois que mes couilles s’écrasent sur les siennes ; j’attrape son pieu toujours bandé et commence à le branler au même rythme que ses mouvements de bassin. Son souffle s’accélère, mais pas ses mouvements. Nous sommes tous les deux sur un nuage de jouissance, nous survolons le plaisir sans avoir cette rage de conclure qui souvent gâche la fête des brèves rencontres. Tout en le masturbant d’une main, je caresse sa merveilleuse poitrine, passant légèrement sur les tétons dont la pointe est devenue bien dure.
Il se penche et embrasse ma bouche à nouveau, passionnément, amoureusement, langoureusement. Mais sa respiration s’affole, ses mouvement sur moi s’accélèrent, sa bite durcit encore dans ma main et c’est l’explosion dans un cri puissant : un jet de foutre passe au dessus de ma tête, un autre atterrit sur mon cou, encore un sur mon ventre ; en geignant de plaisir je décharge moi aussi et nous retombons bouche contre bouche, à peine soulagés par ce violent orgasme. Plusieurs minutes se passent, nous ne pouvons pas arrêter de nous embrasser. J’ai redurci dans son cul magnifique et ma main est à nouveau pleine de sa somptueuse bite. Mais il le dégage péniblement, m’embrasse encore en me relevant et me dit :
- Quand est-ce que tu veux que je te livre du bois ?
- Ce soir, ce serait bien, non ?
Depuis je vais souvent voir les coupes se faire dans notre clairière, et il me livre régulièrement du bois, en prévision des soirées d’hiver que nous allons passer devant la cheminée !
Je remercie très chaleureusement l'ami Bach pour sa délicate attention et pour cette histoire très bandante.
Bonne branle...
