Histoires

Lundi 26 février 1 26 /02 /Fév 17:39

Hello, ami branleur

J - 4

As-tu reconnu le magnifique étalon qui fait l'ouverture du billet du jour ? Qu'en dis-tu ? Il a une jolie baguette magique notre Harry Potter ! C'est notre ami Jan Bardy qui nous a envoyé cette photo. Daniel Radcliff, nous dit-il, a bien grandi. Il joue sur scène à Londres "Equus", pièce dans laquelle il apparait complètement à poil (de face, ça ne dure pas longtemps) !

Jan nous a aussi communiqué le lien suivant qui pourrait donner quelques idées aux navetteurs quotidiens des chemins de fer : une belle façon de ne pas perdre trop son temps dans les trains.

Le lien de Jan Bardy : Aller

Du train à la gare, il n'y a qu'un pas que je te propose de franchir avec cette histoire :

En rentrant, Paul, après m’avoir demandé, mit un disque de raï ce qui me permit de danser un peu sous leurs yeux pour bien les allumer. Ils me regardaient rouler des hanches puis retirer mon haut de survêt, le faire tournoyer au dessus de ma tête, leur exhiber mon débardeur rouge et, dedans, ma peau cuivrée et ms petits téton noir qui débordaient sur le côté.
Là j’étais bien : excité, admiré, lascif comme une pute en chaleur, je brillais de tout mes feux dans le regard des papies et ça me plaisait beaucoup !
- Tu es super, me dit Paul. Enlève ton pantalon maintenant sinon ta queue va le faire exploser…
Je m’approchai de lui.
- Baisse le toi-même…
Il ne se le fit pas dire deux fois et, me saisissant aux hanches, il fit glisser lentement et en même temps mon survêt et mon caleçon.
Ma grosse queue lui bondit au visage, chaude, gonflée prête à avaler. C’est ce qu’il fit tandis que Sylvain s’approchait derrière moi. Il m’enleva mon débardeur en caressant mes pectoraux au passage puis se colla à mon dos ; je me retournai pour lui donner mes lèvres. Au passage je nous vis tous les trois dans les glaces du salon : moi nu et bandant, sucé par devant par Paul et croisant ma langue avec celle de Sylvain par derrière.
Sylvain me caressa partout, m’écarta les fesses et me lécha le trou du cul puis vint rejoindre la bouche de son pote sur ma queue et mes couilles qui ruisselaient de leurs salives.
- Foutez vous à poil, je veux vous baiser, leur dis-je, précédent leurs désirs et ne voulant pas leur gicler trop tôt sur le visage, car ils suçaient, léchaient, gobaient, bouffaient, embrassaient terriblement bien…
- On va dans la chambre, dit Paul, nous entraînant, en commençant à  se déshabiller, vers une pièce qui me rappela les chambres du bordel de Berlin où je m’étais retrouvé une fois : murs noirs, glaces partout, masques et objets africains ici et là, grand lit découvert, gel et capotes sur la table de nuit… Tout était préparé pour la baise… Les deux pépés étaient bien des salopes totales. Il allait falloir que j’assure !
Je m’écroulai sur le lit cuisses et bras écartés pour qu’ils m’admirent en se déshabillant et j’adorai sentir leurs regards excités sur ma peau, ma queue, mon bel anus imberbe que, contrairement à beaucoup de rebeus, je ne cherche jamais à cacher.
Comme je l’avais senti leurs corps n’étaient pas bien terribles : Paul trop gros, les chairs de Sylvain un peu pendouillantes. Mais ils bandaient durs tous les deux ; la queue de Paul était petite et non circoncise, je n’aimais pas ça, mais celle de Sylvain était grosse et décalottée. Quand il s’agenouilla sur le lit à côté de mon visage je la suçai direct. Paul, pendant ce temps me caressa, lécha, suça partout : queue, couilles, anus tétons, aisselles…
Après qu’il m’ait roulé une pelle avec la queue de son copain entre nos deux bouches, Sylvain me dit :
- Baise-le !
- Oui, il aime comment ?
- Par derrière. Mets-toi à 4 pattes Paul, Aziz va te la mettre.
- Oh oui, baise-moi Aziz, dit Paul en m’offrant son cul, l’écartant à deux mains.
Je mis un doigt puis deux dans son anus exhibé, rasé et chaud, qui ne me déplaisait pas. Lui, au moins, on était sûr qu’il se faisait baiser depuis longtemps et par des grosses queues : ça rentrait tout seul. Il se tortillait et gémissait déjà quand j’arrivai à trois doigts dans son trou.
Sylvain, pendant ce temps, nous matait puis vint sucer ma queue et le cul de Paul. Ensuite, il mit une capote, non sans mal, sur mes 22 centimètres, épais, très durs, bandés à mort. Il rajouta du gel sur mon zob encapuchonné et dans le trou de Paul. Il guida ma queue vers l’anus qui l’avala sans peine, jusqu’aux couilles.
Je limai Paul longuement et dans plein de positions, caressé par Sylvain qui s’arrêtait souvent pour nous regarder et pour s’empêcher de décharger trop tôt.
Paul jouissait très profondément du fond de son cul et couinait, soufflait, râlait quand je lui pilonnais la prostate.
Nous nous mations tous les trois dans les glaces autour du lit. J’aimais voir ce très beau rebeu que j’étais entre ces deux papys défraîchis mais lubriques. J’aimais que Sylvain, régulièrement, me donne sa queue à sucer, me caresse les couilles ou risque un doigt le long de ma queue dans l’anus de son pote.
- Je peux faire une ou deux photos, me demanda-t-il ?
- Bien sûr dis-je, l’idée flattant mon côté hyper exhib.
Les cinq minutes suivantes il nous mitrailla au flash. J’ai adoré sentir qu’il cadrait le visage en extase de Paul, ma queue au sortir de son cul, mes abdos contractés quand je le renculais, mon grand sourire et mes yeux pétillants quand je regardais l’appareil photo en face…
Tant d’exhibition accrut ma jouissance.
- Vous voulez me voir gicler comment, leur demandai-je ?
- Viens te vider sur la gueule de Paul me dis Sylvain.
- Oui, arrose moi de foutre chaud, renchérit Paul.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Je déculai rapidement, m’arrachai la capote et vins me branler au dessus du visage de Paul, à califourchon sur son torse.
En moins de vingt secondes je contractai tous mes muscles pour me vider les couilles sur lui. Sous l’objectif de Sylvain qui avait du mal à photographier et se branler en même temps, plein de longues giclées chaudes, crémeuses, abondantes, vinrent inonder la face de Paul et au-delà, la glace en face de moi et une partie du lit.
Je m’écroulai, épuisé, apaisé, heureux. Je les vis se branler en me regardant, me caressant, se caressant. J’entendis leurs râles quand ils se giclèrent dessus.
Eux aussi s’écroulèrent un long moment sur le lit.
Une heure plus tard, je repartais heureux, avec 60 Euros et un cd-rom de photos numériques obscènes en poche. Une fois de plus, j’avais joint l’utile et l’agréable. J’avais eu et donné du plaisir.

Le lien de Jan Bardy : Retour

Bonne semaine

Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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